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inscription rse pour la performance d'entreprise

Votre démarche RSE comme un levier de performance globale et durable

Conscients des attentes de leurs parties prenantes en matière de RSE (Responsabilité Sociétale d’Entreprise), les dirigeants ont besoin d’identifier clairement ses bénéfices pour engager leur entreprise dans une démarche organisée et pertinente. Cela leur permet de passer d’une logique de redevabilité ou de conformité à une logique d’opportunité, d’une contrainte de court terme à un projet d’entreprise, créateur de valeur et inscrit dans le moyen / long terme.

Adopter une vision élargie de la création de valeur…

Si les évaluations de retour sur investissement en matière de RSE tendent à se développer, il reste toujours délicat, et parfois impossible, de déterminer ce qu’un tel engagement rapporte comptablement : la plupart des rendements sont intangibles, non monétisables et rarement de court terme alors même qu’ils ont un impact fort sur la création de valeur dans, par et pour l’entreprise.
Accroître le bien-être, la productivité et l’attachement de ses collaborateurs, renforcer sa marque employeur ou son image de marque sont quelques-uns des nombreux exemples de création de valeur immatérielle.

S’engager en RSE c’est aussi :

  • s’offrir une réflexion globale et sans la pression de l’urgence pour s’interroger sur sa pérennité et son business model
  • ouvrir le champ des possibles tout en identifiant mieux les risques en amont, qu’ils soient environnementaux, juridiques, financiers, sociaux ou réputationnels.
  • poser un autre regard sur son activité et ses pratiques au quotidien pour améliorer son fonctionnement interne et partenarial
  • interagir avec ses parties prenantes (que l’on aura pris soin d’identifier) pour accélérer l’innovation et anticiper les évolutions du marché
  • anticiper les contraintes, réglementaires ou de marché
  • faciliter son accès à des financements

Certains diront qu’il faut aussi piloter le court terme et la trésorerie ; ils sont inquiets à l’idée de perdre leur temps, leur énergie et leur argent. … Si la préoccupation est légitime, la démarche RSE a ses bénéfices même sous cette focale : elle peut engendrer des économies opérationnelles souvent non négligeables, dès lors qu’on s’attelle à la baisse des consommations d’énergie et des factures d’achats, la réduction des pertes matières ou encore la diminution du risque d’accidents, de l’absentéisme, de la contribution AGEFIPH…

D’autres enfin estimeront qu’impliquer ses équipes pour contribuer aux enjeux environnementaux et sociaux n’est pas rentable… jusqu’à ce qu’ils adoptent le prisme d’un projet RSE qui fait grandir l’entreprise, contribue à sa pérennité à moyen long terme et à son développement commercial à court terme.

Quelle valeur doit-on en effet attribuer à une démarche RSE qui, construite et valorisée, permet de déclencher un renouvellement de contrat auprès d’un client stratégique ou le gain d’un appel d’offres auprès d’un prospect convoité ?

Déployer une démarche RSE pour contribuer et en rendre compte de façon
crédible

Afin que les bénéfices évoqués ici soient tangibles, il s’agit pour le dirigeant et ses équipes de s’engager de manière pertinente et efficace.

Comment ? en structurant son projet, en le déployant en cohérence avec les objectifs de l’entreprise mais aussi au bénéfice de ses parties prenantes, en lui donnant du sens (voir notre article Comment construire et déployer sa démarche RSE ?).

Dans cette optique, la démarche RSE permet de limiter les impacts négatifs et de maximiser les impacts positifs. La démarche est alors crédible pour les acteurs, nombreux, qui ont des attentes vis-à-vis de l’entreprise (voir notre article Manager sa Responsabilité Sociétale d’Entreprise). Crédible, elle le devient aussi pour ceux qui la portent : elle est plus facilement valorisable, différenciante et pérenne.

Pour tous renseignements complémentaires, contactez-nous au 0805 690 063 (appel gratuit) ou par e-mail (info@audavia.fr). Audavia est certifié QUALIOPI.

Responsabilité Sociétale d’Entreprise

Manager sa RSE : quelles attentes vis-à-vis de votre entreprise ?

« Responsable », « durable », « neutralité carbone », « transition », « éthique »… ces mots sont omniprésents dans l’actualité des derniers mois. Au-delà du « bruit » autour de la responsabilité sociétale des entreprises, la prise en compte des enjeux environnementaux, sociaux et sociétaux par les entreprises – car la RSE c’est cela – est, aujourd’hui plus que jamais, attendue de la part de toute société, quel que soit son secteur d’activité ou sa taille.

Certains y voient une contrainte de plus… d’autres, de plus en plus nombreux, l’envisagent comme une opportunité, une manière de revisiter l’entreprise, son activité, ses missions, son fonctionnement…en douceur ou de manière plus radicale mais, dans tous les cas, avec des bénéfices tangibles à la clé…

Des attentes tous azimuts à prendre en compte

A l’heure où embauche de collaborateurs et rétention des talents sont des problématiques majeures, quelques chiffres issus d’études récentes éclairent sur les liens entre engagement RSE de l’entreprise et attentes des collaborateurs :

  • 78% des salariés opteraient, à offres équivalentes, pour une entreprise engagée dans la transition écologique
  • 86 % des salariés en poste considèrent que la RSE est un sujet important ou prioritaire
  • 40% des collaborateurs indiquent que l’engagement RSE de leur entreprise renforce leur fierté d’appartenance
  • 62% des jeunes sont prêts à refuser un poste dans une entreprise qui manque d’engagement social/environnemental

Pour accéder à de nouveaux marchés ou renouveler ses contrats, justifier d’actions RSE, ou mieux, d’une démarche RSE construite et active, est un sésame qui tend à se répandre pour travailler avec les donneurs d’ordre, publics comme privés. De levier de différenciation commerciale, l’engagement RSE devient progressivement un incontournable des appels d’offres, parfois même un pré-requis pour déposer son mémoire technique.
Ainsi, d’après l’étude « La parole aux fournisseurs » :

  • plus de 70% des fournisseurs interrogés sont régulièrement sollicités par
    leurs clients sur les sujets de RSE
  • dans 79% des appels d’offres, la RSE est abordée. Evolution également en B to C du côté des consommateurs, avec la prise en compte des enjeux RSE comme un élément de choix qui s’affirme au moment de l’acte d’achat…

Même constat du côté des partenaires d’affaires des entreprises :

  • 88% des sociétés de gestion private equity intègrent les critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans leurs décisions d’investissement
  • 71% des investisseurs se disent prêts à annuler un investissement si les critères ESG/RSE ne sont pas bons

Au-delà des chiffres évoqués ci-dessus, la réalité de cette tendance s’inscrit également dans le droit : depuis la loi Pacte, entrée en vigueur en 2019, l’article 1833 du Code Civil a été complété, imposant à chaque société d’être gérée « dans son intérêt social, en prenant en considération les enjeux sociaux et environnementaux de son activité ».
Depuis plusieurs années, la pression réglementaire s’accroît, impactant de plus en plus d’acteurs économiques. Il est à noter que dans les mois à venir, le périmètre des sociétés soumises à l’obligation de reporting RSE vis-à-vis du droit européen sera étendu. Dès janvier 2023, ces obligations s’appliquent en effet à un plus grand nombre d’entreprises. L’approche RSE concernant l’ensemble de la chaine de valeur se traduira par une exigence accrue vis-à-vis de leurs fournisseurs.

Faire face à la « pression RSE » …

Ce tour d’horizon illustre la montée en puissance d’une certaine forme de « pression RSE » de la part des parties prenantes de l’entreprise, quelles qu’elles soient. Pression qui peut devenir une opportunité pour tout dirigeant qui décide de l’envisager comme telle parce qu’il en a compris tous les bénéfices (voir notre article Votre démarche RSE est un levier de performance globale et durable).

D’après une étude réalisée par Bpifrance Le Lab, 90% des dirigeants de PME et ETI françaises mènent des actions RSE alors qu’ils n’ont aucune obligation de publier un rapport dédié.
Un chiffre qui démontre que, longtemps considérée comme un sujet réservé aux grands groupes, la RSE est bien présente au-delà des grandes entreprises. Pour autant, l’absence de démarche structurée et partagée ne joue pas en faveur de l’efficacité et de la visibilité de ces démarches : elles restent alors un atout parcellaire pour l’entreprise et vis-à-vis de ses partenaires.

Ainsi, seuls 50% des dirigeants de PME/ETI estiment avoir une véritable démarche RSE et 25% une démarche avec un plan d’actions à court ou moyen terme (voir notre article Comment construire et déployer sa démarche RSE ?).

Tout pour réussir…

Les PME et les ETI ont pourtant tout pour réussir en la matière : réactivité forte, circuit de décision court, capacité à se remettre en cause et à innover rapidement, relations de confiance et proximité avec leurs principaux partenaires… Armer le dirigeant et ses équipes pour intégrer la RSE au quotidien et à la stratégie de l’entreprise permet d’aborder sereinement et efficacement la RSE et de répondre aux attentes explicites et implicites rappelées ici.

Pour tous renseignements complémentaires, contactez-nous au 0805 690 063 (appel gratuit) ou par e-mail (info@audavia.fr). Audavia est certifié QUALIOPI.

travail_flexible

Pourquoi recourir au travail flexible ?

Depuis la pandémie de Covid-19, les salariés en France et dans le monde n’ont plus les mêmes priorités vis-à-vis du travail. Selon une étude WTI (Work Trend Index) menée par Jared Sparato vice-président Corporate (Modern Work) chez Microsoft : « 53 % des personnes sondées à l’échelle mondiale (48 % en France) sont plus susceptibles aujourd’hui de donner la priorité à la santé et au bien-être au travail qu’avant la pandémie. ». Les résultats de ces multiples études dans le monde poussent les entreprises à réfléchir à de nouvelles organisations de travail. Se pose alors la question du travail flexible : ce mode de travail souple entre télétravail et présentiel, extension des plages horaires de travail ou réduction de la semaine de travail à 4 jours.

Quels sont les avantages et inconvénients de ce mode d’organisation ? Comment le mettre en place ?

En quoi consiste le travail flexible ?

En 2020, la pandémie mondiale a obligé de nombreuses entreprises à revoir leurs organisations de travail pour faire face aux restrictions. Deux ans après, de nombreux salariés ont trouvé des avantages au télétravail, au travail souple et sont aujourd’hui favorables à ce fonctionnement au quotidien. Découvrez d’ailleurs nos astuces pour bien télétravailler ici !

Le travail flexible peut s’organiser sous plusieurs formes :

  • l’alternance entre travail à distance et en présentiel ;
  • plages horaires élargies (7h-20h par exemple) pour que chacun puisse trouver le rythme qui lui convient ;
  • semaine de 4 jours au lieu de 5 ;
  • annualisation ou mensualisation du temps de travail ;
  • lieux de travail libres.

Cette liste est bien sûr non exhaustive puisque chaque entreprise peut avoir sa propre définition du travail souple.

Les avantages du travail souple

Le travail flexible présente de nombreux avantages pour les salariés, s’il est bien organisé. L’un des principaux reste le gain de temps de transport : en évitant de prendre la voiture ou les transports en commun, on est moins fatigué et donc plus productif ! Ce temps économisé peut même être consacré au travail.

Autre point fort : il est plus facile de concilier vie professionnelle et vie personnelle avec un emploi du temps plus souple. On peut emmener les enfants à l’école le matin, avoir une seconde activité ou un loisir le soir ou encore profiter de la pause déjeuner pour avancer sur ses tâches ménagères à la maison.

Le travail flexible, dans sa globalité, engage plus les salariés qui sont reconnaissants de la confiance accordée par leur manager. Ils ont ainsi plus tendance à rester longtemps dans l’entreprise, ce qui contribue à la réduction du turnover.

Les obstacles que l’on peut rencontrer

Si le travail flexible a beaucoup de points forts, on peut également faire face à des obstacles lors de sa mise en place. Il est indispensable de définir des règles dans cette organisation de travail pour que chacun ait un cadre bien défini. Cela permettra d’éviter que les salariés aient du mal à déconnecter du travail s’ils sont sur leur lieu de vie ou encore de prévenir le surmenage de certains qui pensent devoir faire « plus » pour prouver qu’ils travaillent bien en télétravail.

Au niveau du matériel, il faut bien sûr munir les employés des outils numériques adaptés au travail à distance avec des environnements de travail partagés, car garder le lien social avec les autres membres de l’entreprise est important pour tous.

Enfin, les managers doivent faire confiance à leurs équipes pour ne pas tomber dans le téléharcèlement !

Comment mettre en place le travail flexible ?

Tout d’abord, vous devez choisir l’organisation de travail flexible qui correspond à votre entreprise. Vous pouvez choisir de proposer des jours de télétravail et des jours de présentiel sur la semaine, une solution qui est mise en place depuis deux ans dans beaucoup d’entreprises ou collectivités françaises. Vous pouvez aussi vous essayer à des changements plus importants comme agrandir les plages horaires de travail de vos salariés : ceux qui le souhaitent peuvent commencer tôt le matin ou finir après le dîner si cela leur convient. Enfin, certaines entreprises à l’étranger sautent le pas en passant à la semaine de 4 jours, comme Buffer aux Etats-Unis qui a constaté une productivité en hausse et des salariés plus heureux et moins stressés !

Une fois que vous avez défini l’organisation de travail souple que vous souhaitez mettre en place au sein de votre entreprise, vous devez munir chaque employé du matériel adéquat (ordinateur et téléphone portables, outils de collaboration, etc.). Vous devez également établir des règles de travail claires pour vos salariés. Une formation en management à distance peut vous aider à gérer au quotidien votre équipe.

Pour tous renseignements complémentaires, contactez-nous au 0805 690 063 (appel gratuit) ou par e-mail (info@audavia.fr). Audavia est certifié QUALIOPI.

sécurité au travail formation sst

Devenir sauveteur secouriste du travail, pour qui, pourquoi et comment ?

La sécurité au travail est aussi importante pour les salariés que pour les dirigeants d’entreprise. Ces derniers sont dans l’obligation de prévoir des équipements indispensables pour garantir la sécurité de leurs employés comme des extincteurs, une armoire à pharmacie ou encore un défibrillateur. Mais ce n’est pas tout, des employés doivent être formés en tant que sauveteur secouriste du travail. L’INRS (Institut National de Recherche et de Sécurité) recommande même d’avoir un effectif de 10 à 15 % de salariés certifiés « Sauveteur Secouriste du Travail (SST) » dans chaque entreprise. Sachant que pour certains métiers à risque, comme sur des chantiers de travaux dangereux, cette formation est obligatoire.

Qu’est-ce qu’un sauveteur secouriste du travail ?

Un sauveteur secouriste du travail est un travailleur qui est capable d’appliquer les gestes de premiers secours pour aider une personne en attendant l’arrivée des secours lors d’un accident sur le lieu de travail. Le sauveteur secouriste du travail (SST) suit une formation d’une durée entre 12 et 14 heures, généralement répartie sur 2 journées afin d’assurer la sécurité au travail. Cette formation repose sur 4 principes :

  • protéger ;
  • examiner ;
  • alerter ;
  • secourir.

Une fois ces notions de bases étudiées, des cas concrets sont proposés pour apprendre les premiers gestes, comme soigner une brûlure, faire un massage cardiaque ou mettre la victime en position latérale de sécurité (PLS).

Les missions des sauveteurs secouristes du travail sont les suivantes :

  • dispenser les gestes de premiers secours lors d’un accident ou incident sur le lieu de travail (chute, brûlure, malaise, blessure, arrêt cardio-respiratoire, etc.) ;
  • alerter les secours d’urgence spécialisés en fonction de l’incident ;
  • contrôler régulièrement le bon fonctionnement des appareils de secours (défibrillateur, extincteur, etc.) ;
  • organiser l’évacuation du personnel en cas d’incendie, de catastrophe naturelle ou d’attentat.

Les salariés formés en tant que sauveteurs secouristes du travail sont aussi habilités à faire de la prévention des risques professionnels au sein de l’entreprise, notamment auprès des métiers à risque. Ils sont ainsi garants de la sécurité au travail.

Pourquoi devenir sauveteur secouriste du travail ?

C’est bien connu, les quelques minutes qui suivent un accident en attendant l’arrivée des secours sont cruciales. L’intervention d’un sauveteur secouriste du travail sur le lieu d’un incident permet, dans de nombreux cas, de stabiliser la victime jusqu’à son arrivée à l’hôpital. Le rôle du sauveteur secouriste du travail est donc essentiel mais aussi valorisant pour le salarié qui décide de passer la formation. C’est lui qui participe à la mission de sécurité au travail au sein de l’entreprise.

Sur le plan personnel, suivre la formation SST peut aussi permettre de se sentir plus à l’aise lors d’une situation d’urgence et surtout de savoir effectuer les bonnes manipulations rapidement. Tout ce que l’on apprend en formation peut être reproduit sur le lieu de travail comme sur son temps personnel, à la maison ou dans la rue !

Pour passer la certification SST, aucun prérequis n’est exigé. Elle peut être financée par le CPF ou entrer dans le cadre de la formation professionnelle continue et être mise en avant lors d’une recherche d’emploi par exemple. Les demandeurs d’emploi, comme les étudiants, peuvent également passer la formation SST. Une fois effectuée, celle-ci est valable 24 mois. Ensuite, une formation dite de recyclage, d’une durée de 7 heures doit être suivie. Celle-ci se nomme MAC (Maintien et Actualisation des Compétences). Enfin, la formation sauveteur secouriste du travail est équivalente au niveau PSC1 (Prévention et secours civiques de niveau 1) et peut donc mener vers une reconversion dans les métiers de la sécurité et du secours.

Quels sont les métiers où être sauveteur secouriste du travail est indispensable ?

L’article R.4224-15 du Code du travail précise que dans les entreprises où l’on accomplit des travaux dangereux, il faut au minimum un salarié qui soit formé en SST pour pouvoir donner les premiers secours en cas d’urgence. Il indique également que sur les chantiers qui emploient au moins 20 personnes pendant plus de 15 jours et où sont réalisés des travaux dangereux, la présence de plusieurs salariés formés en tant que sauveteur secouriste du travail est obligatoire.

Plusieurs métiers à risque comme ceux de la sécurité ou du secours requièrent la certification SST. C’est le cas des sapeurs-pompiers, des policiers ou gendarmes ou encore des agents de sécurité par exemple. En prise directe avec des situations qui peuvent avoir un caractère d’urgence, ils doivent pouvoir réagir rapidement et efficacement.

Audavia vous propose la formation de sauveteur secouriste du travail et peut organiser une session groupée pour plusieurs membres de votre personnel. Nous proposons également une initiation aux premiers secours sur une journée si vous disposez de moins de temps. Pour tous renseignements complémentaires, contactez-nous au 0805 690 063 (appel gratuit) ou par e-mail (info@audavia.fr). Audavia est certifié QUALIOPI.

formation langues certification

Quelles sont les langues qu’il faut savoir parler aujourd’hui ?

Aujourd’hui, il est indispensable de parler une ou plusieurs langues étrangères que ce soit pour voyager ou pour votre carrière professionnelle. Si l’anglais reste prédominant car plus d’un tiers de la population mondiale le parle et le comprend, d’autres langues peuvent être intéressantes à connaître. Suivre une formation en anglais ou dans une autre langue étrangère peut vous ouvrir de nombreuses portes pour votre avenir professionnel. Vous pouvez également passer une certification dans la langue de votre choix pour attester de vos compétences. Audavia vous propose de faire un tour sur les langues qu’il faut savoir parler aujourd’hui.

Les langues européennes

Que vous ayez le souhait de traverser l’Europe en train ou de vous lancer sur un marché à l’export européen, vous former en italien, portugais ou autre langue étrangère européenne est un atout non négligeable. Chez Audavia, nos consultants formateurs sont tous natifs de la langue que vous apprendrez.

L’anglais

Comme nous le disions plus haut, l’anglais reste une langue à connaître absolument que ce soit à titre personnel, comme à titre professionnel. De nombreuses certifications pour cette langue peuvent mettre en avant votre niveau de maîtrise comme le TOEIC, Linguaskill ou encore la certification en langue CLOE. Ces certifications en langue sont éligibles au CPF (Compte Personnel de Formation).

Le portugais

Le portugais fait partie des langues émergentes ces dernières années. En effet, en Europe de nombreux échanges ont lieu avec le Portugal, notamment pour les industries textiles par exemple. Mais le portugais est aussi la langue principale du Brésil, 8e puissance économique du monde et 1er pays producteur de l’Amérique du Sud. Une formation en portugais peut donc vous donner accès à un nouveau marché européen et international.

L’espagnol, l’italien et l’allemand

Côté langues européennes, vous trouverez bien sûr l’allemand, l’italien et l’espagnol dont les formations en langue vous seront plus qu’utiles si vous travaillez sur un marché en lien avec nos pays voisins. Ces trois langues peuvent être validées par une certification  CLOEPIPPLETBRIGHT Language ou DCL dont le passage est possible avec Audavia.

formation langue européenne

Les langues internationales hors Europe

D’autres formations en langues non européennes sont disponibles chez Audavia : russe, chinois, arabe ou encore thaïlandais ou hindi. Cette liste est non-exhaustive et vous trouverez toutes les formations en langue étrangère ici !

Le chinois mandarin

Le chinois mandarin est la langue la plus parlée au monde avec près d’1,2 million de locuteurs dans le monde. La Chine est la 2e puissance mondiale, derrière les Etats-Unis, et son rôle sur la scène internationale n’est plus à démontrer. Savoir parler le chinois mandarin est un atout considérable sur son curriculum vitae. Cela vous donnera accès à de nombreuses opportunités professionnelles à l’international et vous démarquera d’autres personnes qui ne le parlent peut-être pas.

Le japonais et le thaïlandais

Du côté de l’Asie, le japonais et le thaïlandais sont également deux langues étrangères intéressantes à connaître si vous travaillez sur un marché asiatique. Chacune avec leurs spécificités, ces deux langues vous ouvriront les portes de postes situés dans des niches, car il n’est pas commun de les connaître.

L’arabe

L’arabe est la langue officielle d’une vingtaine de pays en Moyen-Orient et en Afrique avec environ 300 millions de locuteurs. C’est aussi l’une des six langues officielles des Nations Unies et la seconde langue la plus parlée en France avec 4 millions de locuteurs. Suivre une formation de langue en arabe vous donnera accès à des marchés internationaux et vous permettra aussi de voyager dans de nombreux pays en connaissant la langue mais aussi la culture qui s’y rattache.

Suivre une formation en anglais ou dans une autre langue étrangère vous permettra de vous démarquer au sein de votre entreprise ou d’atteindre de nouveaux objectifs avec des marchés en Europe ou à l’international. Les certifications en langue que vous pouvez passer chez Audavia mettent en avant vos connaissances linguistiques aux yeux du monde professionnel. Alors n’attendez plus pour trouver la langue étrangère qui vous correspond !

Pour tous renseignements complémentaires, contactez-nous au 0805 690 063 (appel gratuit) ou par e-mail (info@audavia.fr). Audavia est certifié QUALIOPI.

certification formation en bureautique

Les certifications proposées par Audavia en bureautique et sur la méthode agile

Vous avez des compétences professionnelles et vous souhaitez les afficher sur votre CV. Pour vous aider dans vos démarches auprès de recruteurs ou mettre en avant vos acquis professionnels, pensez aux certifications ! Ces dernières, obtenues à la suite d’une formation certifiante, attestent de vos connaissances concernant la bureautique, le digital ou la méthode agile et peuvent donner une échelle de vos compétences à vos (futurs) employeurs. Audavia, organisme de certification et de formation propose les certifications TOSA, DigComp, Scrum et SaFe Agilist®.

TOSA, la pro de la bureautique

Le TOSA, abréviation de Test On Software Applications, regroupe de nombreuses applications informatiques, digitales ou de codage et offre des tests d’évaluation pour chacune d’entre elles. Reconnus dans plus de 30 pays, les certifications TOSA sont une référence en matière d’informatique.

Sous forme de QCM, les tests sont basés sur des situations réelles en entreprises et demandent de faire des manipulations sur le logiciel concerné. TOSA a rassemblé ces évaluations de compétences en informatique sous différentes entités :

  • TOSA Desktop : logiciels Microsoft (Excel, Word, PowerPoint, Access), Google (Sheets, Docs et Slides) et libre de droit (Writer, Calc ou Impress) ;
  • TOSA Graphics : logiciels PAO et CAO (Adobe Photoshop, Illustator, InDesign ou Autocad) ;
  • TOSA Digital : référentiel européen DigComp, cyber-sécurité, CMS WordPress ou l’environnement Google Workspace ;
  • TOSA Code : PHP, Python, Java, C#, HMTL5 ou même Angular JS et 2.

Depuis le début de l’année 2022, il est nécessaire d’obtenir un score minimum sur un total de 1000 points pour obtenir la certification TOSA du logiciel choisi. Découvrez ici le barème minimum à obtenir par logiciel. Selon vos résultats, un diplôme numérique vous sera remis, il est valable 3 ans. Votre certification est également référencée sur LinkedIn.

La particularité de TOSA Digcomp

La certification TOSA Digcomp regroupe l’ensemble des compétences digitales globales qu’un travailleur peut connaître sur son environnement informatique. Cette formation certifiante est individuelle et personnalisée avec Audavia, organisme de formation et de certification.

Parmi ses objectifs principaux, on peut retrouver :

  • la découverte ou l’approfondissement de ses connaissances sur les outils informatiques et numériques (maîtrise de l’environnement informatique, des périphériques, navigation sur Internet, outils de bureautique, etc.) ;
  • la résolution de problèmes informatiques et de sécurité (contact avec le service d’assistance technique, installation des mises à jour, etc.) ;
  • le recueil et l’échange d’informations (recherches sur Internet, sauvegarde de données, utilisation des courriels, partage de fichiers, utilisation des réseaux sociaux, vigilance sur le web, etc.) ;

La certification TOSA DigComp donne un résultat allant du statut initial à expert, en passant par basique, opérationnel et avancé.

La certification SaFe Agilist®

La certification SAFe Agilist® s’adresse aux dirigeants d’une initiative de changement Lean-Agile pour développer la bonne culture et appliquer les principes et les pratiques du Scaled Agile Framework® (SAFe®) pour pouvoir ainsi assurer le soutien des équipes, des programmes et de la gestion de portefeuille de programmes Agile.

Cette formation permet de découvrir la méthode agile à l’échelle SAFe (principes, organisation, rôles, indicateurs) et décerne le titre d’Agiliste SAFe certifié (SA).

Audavia, organisme de formation et de certification, dispense des formations SAFe pour conduire les élèves formés aux certifications administrées par la Scaled Agile Academy. Elles ont pour but de démontrer la capacité des professionnels à appliquer les principes du framework SAFe, de la pensée Lean et du flux de développement produit, à l’échelle d’un département ou d’une entreprise dans sa globalité. Cette formation certifiante est éligible au CPF.

Le framework Scrum

Cette approche a été conçue par Ken Schwaber et Jeff Sutherland. Il s’agit de définir comme étant un cadre de travail (framework) pour le développement, la livraison et la maintenance de produits complexes. Celui-ci est principalement destiné à des chargés de projet.

Cela s’appuie sur trois piliers :

  • La transparence
  • L’inspection
  • l’adaptation

Ces trois piliers tendent à faire en sorte que toutes les parties prenantes soient impliquées un maximum dans le projet, tout en ayant connaissance des tâches de chacun.

Les certifications Professional Scrum Product Owner (PSPO1, PSPO2), Professional Scrum Master (PSM1, PSM2) ou bien encore Professional Scrum Developer (PSD1) , obtenues à la suite de formations certifiantes au sein d’un organisme de formation comme Audavia, sont une véritable valeur ajoutée sur votre curriculum vitae. Elles mettent en avant vos compétences en les situant sur une échelle de valeur nationale voire internationale. Elles sont des références dans le monde professionnel et peuvent vous démarquer de potentiels concurrents.

Découvrez toutes les certifications proposées par Audavia ici.

Pour tous renseignements complémentaires, contactez-nous au 0805 690 063 (appel gratuit) ou par e-mail (info@audavia.fr). Audavia est certifié QUALIOPI.

certification en langues etrangères

Les certifications en langue étrangère proposées par Audavia

Aujourd’hui, il est pratiquement obligatoire de savoir parler une langue étrangère, notamment l’anglais, pour être concurrentiel sur le marché du travail. De nombreuses entreprises l’utilisent au quotidien et c’est un réel atout à avoir sur son CV. Pour mettre encore plus en valeur cette compétence ou pour ajouter une nouvelle corde à votre arc, pensez aux certifications. Ces dernières permettent d’évaluer votre niveau dans une langue étrangère grâce à une formation certifiante, comme le TOEIC pour l’anglais par exemple. Elles sont reconnues en France mais aussi à l’international. Audavia est un organisme qui vous propose des formations mais aussi, si vous le souhaitez, le passage d’une certification. Nous vous présentons ci-dessous celles qui sont disponibles pour les langues étrangères.

Les certifications pour l’anglais uniquement

L’anglais reste la langue la plus parlée au monde et c’est encore plus vrai dans le monde du travail. Que vous exerciez dans le domaine du commerce ou du digital, les expressions anglaises font souvent partie de votre quotidien. Des certifications internationales comme le TOEIC ou le Linguaskill de l’Université de Cambridge sont d’excellents indicateurs de votre niveau d’anglais.

Le TOEIC, une certification connue

Reconnu dans le monde entier, le Test Of English for International Communication (TOEIC) permet l’évaluation de vos compétences en anglais sur un registre professionnel. Il évalue 4 compétences linguistiques :

  • la compréhension orale et écrite avec le test TOEIC “Listening and Reading” ;
  • l’expression écrite et orale avec le test TOEIC “Speaking and Writing”.

Son résultat est valable 2 ans et il est éligible au CPF (compte personnel de formation).

Le Linguaskill

Tout comme le TOEIC, le Business Language Testing Service (BULATS, appelé désormais Linguaskill) permet d’évaluer votre niveau en anglais dans un contexte professionnel. Il est également reconnu à l’international. Ce test informatique est auto-adaptatif, c’est-à-dire que les questions posées correspondent automatiquement à votre niveau en anglais.

Audavia est certifié par ETS Global et Cambridge English en tant qu’organisme de formation et de certification pour le TOEIC et le Linguaskill. Grâce à une formation certifiante, Audavia peut vous permettre de préparer ces épreuves et de vous y inscrire, notamment dans le cadre de votre CPF.

Les certifications pour les différentes langues étrangères

Même si l’anglais reste prépondérant sur le marché du travail, il est toujours utile de connaître une ou plusieurs langues étrangères. Cela peut vous démarquer de vos concurrents potentiels ou vous ouvrir les portes d’un nouveau marché. Audavia, organisme de formation et de certification, propose également les certifications suivantes.

La certification CLOE

La Certification CLOE (Compétences Linguistiques Orales et Écrites) certifie vos compétences selon le Cadre européen commun de référence pour les langues (CECRL). Allant du niveau A1 à C2, c’est une référence européenne qui est reconnue dans de nombreux pays.

Les titulaires d’une certification CLOE peuvent attester de leurs compétences à communiquer en situations courantes ou professionnelles dans tous les secteurs d’activités (industrie, tourisme, tertiaire, logistique, santé, recherche, commerce international, import/export, communication…).

Le certificat CLOE est valable à vie et concerne l’anglais, l’allemand, l’espagnol, l’italien et le français langue étrangère, cette certification est éligible au CPF.

Le test Leveltel pour évaluer une langue à l’oral

Leveltel est le seul test existant qui évalue votre aisance à l’oral lors d’interactions en langue étrangère dans un contexte professionnel. Votre évaluateur, dont c’est toujours la langue maternelle, s’adapte à votre niveau pour échanger et découvrir vos compétences dans la langue choisie. Il se base sur 5 critères :

  • L’efficacité grammaticale ;
  • Le vocabulaire métier ;
  • Le vocabulaire courant ;
  • La compréhension orale ;
  • La fluidité de l’expression.

Chez Audavia, vous pouvez obtenir une formation certifiante pour les langues suivantes : anglais, allemand, espagnol, italien et français langue étrangère pour passer le Leveltel.

Bright Language

Les tests de Bright Language sont utilisés dans 80 pays et sont disponibles pour 11 langues différentes : anglais, français, espagnol, italien, allemand, portugais, néerlandais, flamand, suédois, russe et chinois mandarin.

L’examen comporte deux parties : grammaire et structures puis compréhension orale. Bright Language propose de comparer le niveau du candidat aux attentes de l’entreprise qui l’emploie.

Le Diplôme de Compétence en Langue

Le ministère de l’Éducation Nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche a son propre Diplôme de Compétence en Langue (DCL). Il évalue la capacité d’utilisation d’une langue (anglais, allemand, arabe, breton, chinois, espagnol, français langue étrangère, italien, portugais et russe) dans un contexte personnel et professionnel. Le DCL s’attache à 5 domaines de compétence :

  • compréhension de l’oral ;
  • compréhension de l’écrit ;
  • communication interactive ;
  • expression écrite ;
  • expression orale.

La certification Pipplet Flex

Très rapide à passer (en 30 minutes seulement), le test Pipplet Flex évalue la prononciation, l’aisance à l’oral, la capacité à organiser et structurer un récit, à utiliser un registre de langue adapté au contexte.

Pipplet propose des tests pour de très nombreuses langues étrangères :

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Pour tous renseignements complémentaires, contactez-nous au 0805 690 063 (appel gratuit) ou par e-mail (info@audavia.fr). Audavia est certifié QUALIOPI.

aide à la formation professionnelle

Comment financer sa formation professionnelle ? 

L’objectif du gouvernement est clair : tout travailleur doit pouvoir se former tout au long de sa vie professionnelle, qu’il soit salarié ou indépendant. C’est ainsi qu’il a mis en place depuis le 1er janvier 2019 une contribution unique à la formation professionnelle et à l’alternance (CUFPA). Toutes les entreprises françaises cotisent et permettent ainsi aux travailleurs de bénéficier de crédit de formation pour améliorer leurs compétences ou se reconvertir dans un autre secteur. De nombreuses aides à la formation sont disponibles, découvrez ci-dessous quel financement de formation vous correspond selon votre situation professionnelle. 

Qui finance la formation professionnelle ? 

La formation professionnelle est un droit pour chaque salarié ou travailleur indépendant. Pour que chacun puisse bénéficier de financement pour sa formation professionnelle, des cotisations sont prélevées chaque année auprès de différentes personnes morales ou physiques.

Effectif moyen de l’entrepriseTaux de cotisation
Jusqu’à 10 salariés0.55 %
A partir de 11 salariés1 %

Les travailleurs indépendants 

Les indépendants sont redevables d’une contribution à la formation professionnelle (CFP) auprès de leur Fonds d’Assurance Formation (FAF). Chaque secteur d’activité dispose du sien. Pour connaître ses droits en tant qu’indépendant et savoir de quelle aide à la formation on peut disposer, il faut se rapprocher de son FAF (FIFPL ou AGEFICE). Depuis 2020, les droits à la formation des travailleurs indépendants figurent aussi sur leur compte formation. Profitez-en pour vérifier si les années 2018 et 2019 ont bien été créditées. 

Le plan de développement des compétences

Anciennement appelé plan de formation, le plan de développement des compétences est obligatoire pour toutes les entreprises françaises, quel que soit leur statut juridique ou leur taille. Cela fait partie de leurs obligations en matière de formation au sein de l’entreprise, selon le code du travail. Les salariés peuvent ainsi acquérir de nouvelles compétences pour occuper un autre poste dans la même entreprise par exemple ou améliorer celles qu’ils possèdent déjà comme lors de l’ouverture d’une société sur un marché international par exemple (langue étrangère, etc.). Les entreprises disposent ainsi d’un financement dédié à la formation professionnelle. 

Les aides à la formation professionnelle 

financement de la formation professionnelle

Selon votre situation professionnelle, salarié, demandeur d’emploi ou travailleur indépendant non salarié, vous pouvez prétendre à différentes aides à la formation. 

Le Compte Personnel de Formation 

Le Compte Personnel de Formation (CPF) remplace le droit individuel à la formation (DIF) et offre la possibilité aux travailleurs de cumuler des euros (sur une base de 15€ de l’heure, avec des plafonds annuels allant de 500 à 800€ selon le niveau de formation ou la situation du salarié ou de l’indépendant). Les droits sont acquis dès 16 ans (15 ans pour les jeunes en apprentissage) et jusqu’à la retraite. Le CPF permet de suivre une action de formation, un bilan de compétences, une VAE (Validation des acquis de l’expérience) ou de se former pour créer ou reprendre une entreprise. Toutes les formations éligibles au CPF sont disponibles sur le site mon compte formation

Le congé de transition professionnelle

Le congé de transition professionnelle (CTP) remplace le congé individuel de formation (CIF). Ce dispositif permet d’utiliser son CPF dans un cadre particulier puisqu’il est possible de se former sur son temps de travail ou en partie. Cette aide à la formation a pour vocation de faciliter la reconversion professionnelle du salarié. Les formations éligibles au CPF sont les mêmes pour le CTP (VAE, bilan de compétences, reprise ou création d’entreprise). 

La reconversion ou promotion par alternance (Pro-A)

Ce dispositif offre l’opportunité aux salariés peu ou non qualifiés d’alterner des périodes de formation et d’activité professionnelle. La promotion par alternance (Pro-A) leur permet de faire évoluer leur carrière professionnelle en interne dans leur entreprise ou de se diriger vers une reconversion professionnelle. 

L’Aide Individuelle à la Formation

Pôle Emploi propose une Aide Individuelle à la Formation (AIF) pour financer tout ou partie d’une formation suivie par un demandeur d’emploi, un bénéficiaire du contrat de sécurisation professionnelle (CSP), de transition professionnelle (CTP) ou de congé de reclassement (CRP). Ces derniers peuvent utiliser leur compte professionnel de formation (CPF) et Pôle Emploi peut apporter un complément si le montant du CPF n’est pas assez élevé.

Vous l’aurez compris, il existe de nombreux financements pour les formations professionnelles, que vous soyez en reconversion ou que vous ayez juste envie d’améliorer vos compétences. Ces aides à la formation permettent à chacun de faire évoluer sa carrière professionnelle tout au long de la vie. 

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google workspace ou office

Google Workspace vs Microsoft Pack Office : avantages et inconvénients

Quasiment toutes les entreprises utilisent aujourd’hui des outils de bureautique au quotidien. Si le leader Microsoft et son Pack Office sont bien connus des professionnels, Google et son panel d’applications en ligne comme Docs, Sheets ou Slides commencent à faire leur place dans l’univers de la bureautique. L’idéal est de bénéficier d’une formation en bureautique ou sur le pack Office pour être performant avec ces outils. Mais quel pack choisir ? Petit tour d’horizon des avantages et inconvénients de l’utilisation Google Workspace ou de Microsoft Office 365.

Google Workspace : une nouvelle offre d’outils bureautiques

On connaissait Google en tant que leader des moteurs de recherche sur Internet mais connaissiez-vous ses applications de bureautique en ligne ? Très proches de celles de Microsoft, elles sont disponibles uniquement en ligne.

Les forces de Google Docs, Sheets et Slides

Pour se connecter aux outils de bureautique de Google Workspace en ligne, il suffit d’avoir un compte Google ou Gmail, aucune licence particulière n’est demandée. Les applications sont très simples d’utilisation, surtout si on est déjà un habitué du traitement de texte, des feuilles de calculs ou de diaporamas. Le gros point fort de Google Workspace est l’aspect collaboratif de ses outils car, il est tout à fait possible de travailler à plusieurs et en même temps sur un fichier, puisque tout est disponible en ligne. Enfin son plus gros avantage reste son prix, puisque pour les particuliers et TPE il est possible d’utiliser la version gratuite. Pour les entreprises qui souhaitent pousser un peu plus les options, un abonnement est proposé à un tarif moins onéreux que celui de Microsoft Office.

Les faiblesses des outils Google

Si c’est un avantage d’avoir accès à ses fichiers de n’importe où, cela a aussi ses limites. C’est le cas lorsqu’on travaille sur de gros fichiers en ligne avec la suite de Google Workspace. Des ralentissements et des bugs peuvent parfois avoir lieu. Contrairement au Pack Office, aucune application ne peut s’installer sur le disque dur de l’ordinateur et il est assez complexe d’enregistrer les fichiers sur ce dernier. Enfin, moins de personnes travaillent dessus et il faut penser à convertir les fichiers lors d’échanges inter-entreprises par exemple. Une formation en bureautique peut vous aider à maîtriser Google Docs, Sheets et/ou Slides. 

Le Pack Office, leader sur le marché

pack office

Microsoft Word, Excel ou PowerPoint restent des outils incontournables pour de nombreux professionnels en France et à l’étranger. Même si le Pack Office est une référence, quelques points négatifs permettent aux petits nouveaux concurrents de faire leur place sur le marché.

Les avantages du Pack Office en bureautique

Les outils de Microsoft sont très répandus dans le monde du travail et des formations dédiées au Pack Office permettent d’améliorer ses compétences sur l’un de ses logiciels (Outlook, Word, Excel, etc.). L’expérience de Microsoft lui permet de proposer des fonctionnalités toujours plus efficaces à chaque nouvelle version. Leurs applications sont très stables, notamment sur des travaux lourds et il est aujourd’hui possible d’enregistrer sur le cloud tous ses fichiers pour y avoir accès partout.

Les inconvénients des outils du pack Office

Contrairement à Google Workspace, aucune version gratuite n’est disponible pour Microsoft 365. C’est le plus gros point négatif du Pack Office : son prix. Que l’on choisisse l’abonnement annuel (minimum 69€/an pour les particuliers) ou en une fois pour un accès à vie (149€ pour usage personnel et familial). Le système de licence est d’ailleurs assez complexe à installer selon la formule choisie et les mises à jour régulières. Enfin le partage de fichiers peut s’avérer plus délicat qu’avec les outils de Google.

Le youtubeur Pierre alias SEOX94 explique relativement bien les principales différences entre les deux environnements de travail : Google Workspace ou Microsoft 365 sur cette vidéo.

Les certifications TOSA : un atout majeur sur votre CV

Si vous êtes déjà à l’aise sur les outils de bureautique, que ce soit sur ceux d’Office ou sur ceux de Google, ou si vous souhaitez faire une formation en bureautique, les certifications TOSA sont une référence en matière de validation des acquis. Ces certifications sont validées après avoir passé des tests sous forme de QCM sur le ou les logiciels de votre choix (Word, Excel, PowerPoint, Outlook, Google Sheets, Google Docs, Google Slides, etc.). Audavia vous propose des formations pour tout niveau sur le pack Office mais aussi sur les outils de Google Workspace. Les formations d’Audavia pour passer les certifications TOSA peuvent être financées par votre CPF que ce soit à distance ou en présentiel.

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harcèlement et télétravail

Télétravail et harcèlement

Depuis deux ans maintenant, beaucoup d’entreprises ont intégré le télétravail à leurs méthodes de fonctionnement. Qu’il soit mixte avec des jours en présentiel ou total (certaines entreprises étant passées à 100% en travail à distance), le télétravail impose certaines conditions et une nouvelle forme de management à distance. Malheureusement, le télétravail peut faire naître un nouveau type de harcèlement. Alors comment réagir face à une situation de harcèlement en télétravail ?

Quels sont les signes de harcèlement en télétravail ?

Si le harcèlement au travail n’est pas une nouveauté, il est plus difficile à remarquer dans le cadre du télétravail. Pour autant, il peut être bel et bien réel, même à distance. Derrière son écran d’ordinateur ou son téléphone, la personne se sent davantage protégé et ne voyant pas les réactions de son interlocuteur à l’autre bout du fil ou de l’autre côté de l’écran, il se permet davantage de choses. Des comportements inappropriés peuvent alors apparaître ou continuer si tel était déjà le cas en présentiel.

Pour faire pression, certains harceleurs contrôlent les horaires de connexion de leurs subordonnés, les appellent plusieurs fois par jour pour vérifier l’avancée de leurs tâches ou encore envoient des demandes à quelques minutes d’intervalle sur plusieurs canaux différents, allant même jusqu’à utiliser des canaux privés comme les SMS ou l’application WhatsApp sans accord préalable.

Voici quelques éléments qui peuvent vous alerter sur des situations de harcèlement au travail :

  • des écrits comme les échanges de mails ou rapports avec l’utilisation de la couleur rouge en correction, de lettres capitales ou sans formules de politesse (bonjour, merci, etc.).
  • des demandes irréalisables car le salarié ne possède pas les outils à distance pour effectuer la tâche demandée ou dans des délais impossibles à tenir.
  • des propos grossiers, racistes ou sexistes dans des e-mails ou sur une messagerie instantanée.
  • des commentaires désobligeants lors de visioconférences.

Selon le blog RH, de nouveaux cas de harcèlement moral émergent comme le bore-out, l’opposé du burn-out. Le salarié est alors victime d’épuisement professionnel causé par l’ennui car il est mis à l’écart par son supérieur hiérarchique volontairement. On l’écarte de certaines réunions, on ne lui donne plus de tâches de travail à réaliser. Souvent réalisé en groupe, ce type de harcèlement au travail révèle un comportement de bouc émissaire pour la personne ciblée.

Tout ou partie de ces comportements déviants sont à prendre en compte pour pouvoir qualifier la situation de harcèlement au travail ou en télétravail et en avertir les personnes compétentes en la matière. Les conditions de travail à distance doivent permettre aux salariés de se sentir protégés par leur entreprise.  

Que faire face à ce type de situation ?

Tout d’abord, il faut savoir que dans les conditions de télétravail, le salarié bénéficie du droit à la déconnexion. C’est-à-dire qu’il a le droit d’avoir des horaires fixes, des temps de pause ainsi qu’une pause déjeuner bien définie. En dehors de ces horaires, son manager n’a pas l’autorisation de l’appeler ou de lui envoyer des e-mails, que ce soit tard le soir comme le week-end.

Si la situation devient vraiment impossible à vivre au quotidien, n’hésitez pas à en parler à vos collègues dans un premier temps pour partager vos ressentis car votre situation n’est peut-être pas isolée. Vous pouvez également vous tourner vers votre médecin généraliste ou la médecine du travail pour demander de l’aide. Un représentant du personnel ou votre direction des ressources humaines sont aussi à votre disposition pour trouver une solution à cette situation de harcèlement au travail rapidement.

La direction des ressources humaines doit d’ailleurs élaborer, si ce n’est pas déjà fait, une charte ou une convention qui regroupe les conditions de travail en télétravail pour votre entreprise. Un dispositif de prévention contre le harcèlement au travail, même en télétravail, doit être mis en place pour que les salariés puissent se confier librement s’ils se trouvent dans cette situation. C’est pour cela que la formation en gestion de conflit ou de situation de crise est important pour tout dirigeant ou directeur de ressources humaines pour faire face à ces nouvelles situations de télétravail.

Enfin, le bien-être au travail comme en télétravail doit être une priorité des managers. Des salariés heureux et bien dans leurs baskets seront plus productifs et plus investis dans leurs missions et leurs entreprises alors soyez vigilants face à des comportements déviants qui pourraient se terminer en harcèlement au travail.

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