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16 septembre 2025

Le guide IA réconfortant pour la démystifier, la comprendre et l’adopter.

visage mi humain mi robot sur fondréseaux de neurones IA

Comprendre l’IA est la condition nécessaire pour ne plus en avoir peur. Avec une multitude d’IA génératives et de tâches liées, de plateformes comme ChatGPT, Gemini, DeepSeek, etc, il est légitime de se sentir submergé et perdu. L’appréhension et l’anxiété liées à l’intelligence artificielle viennent d’une méconnaissance de son fonctionnement et d’un manque d’approche simple et constructive.

Ce guide IA (qui se veut réconfortant) est coécrit avec Lenny Daho – ingénieur en solutions IA et automatisation no-code. Il vous aide à démystifier l’IA, comprendre d’où elle vient, comment elle fonctionne. Découvrez les leviers pour une adoption pro-active et sereine.

Au menu

  1. Le contexte de l’IA : entre peurs et opportunités
  2. Connaître l’IA et la démystifier : qui est-elle ?
  3. L’IA dans le quotidien : elle est présente depuis bien longtemps
  4. Comment adopter une approche offensive sereine ?
  5. L’avis de l’expert : Lenny Daho
  6. Ressources et outils pour adopter l’IA
  7. Conclusion : se préparer et oser l’IA

1. Le contexte de l’IA : entre peurs et opportunités

La peur de l’IA est un mécanisme normal et humain face à une technologie inconnue. De plus, elle est alimentée culturellement par d’innombrables récits de science-fiction depuis la nuit des temps. Ces histoires cultivent l’idée que les machines puissent un jour remplacer l’homme et le dominer.

Quand l’IA générative déferle en 2019 auprès du grand public, les inquiétudes se cristallisent : menace sur l’emploi, menace de domination de la technologie sur l’homme, transhumanisme, etc. Une des grandes craintes est celle d’une capacité à prendre des décisions imprévisibles et autonomes. Le développement (ultra rapide) de l’IA augmente ses propres performances et les risques d’échapper au contrôle humain.

L’utilisation et le déploiement de cette technologie doit donc se faire selon une éthique et des lois règlementées. Telle est la mission de l’IA ACT à l’échelle européenne.

L’histoire rassurante de l’homme et des technologies

Un peu de philosophie positive : l’histoire nous prouve que l’humanité a toujours su s’adapter et dominer ses inventions. L’homme déploie des technologies pour améliorer ses conditions de vie et la société. Bien sûr, ces évolutions ont profondément modifié l’organisation sociale, les rapports entre des hommes entre eux et avec le travail.
Fut un temps où allumer des réverbères était un métier, celui de « falotier ». Il a disparu avec l’avènement de l’éclairage électrique ! Et pourtant l’homme est toujours là, la société a évoluée et la qualité de vie avec elle. Ainsi l’homme est fondamentalement actif, créatif et capable de s’adapter et de contrôler ses propres inventions technologiques.

« L’histoire montre que l’homme a su développer dans le passé une triple capacité à s’adapter au changement technique, à savoir la capacité à trouver de nouvelles solutions aux problèmes qu’il pose, la capacité à appliquer ces solutions et la capacité à en tirer les conséquences »sources Cairn.info – article de Faranak Farzaneh et André Boyer.

Deux approches face à l’IA : défensive et offensive

  • Défensive : l’homme a un rôle passif qui se résume à affronter les changements engendrés par l’intelligence artificielle. Face à cette technologie qui repousse sans cesse les limites de ce qu’elle peut faire, cette approche n’est actionnable qu’à court terme, épuisante, et ne génère aucun bénéfice pour l’homme et la société.
  • Offensive : cette approche met l’accent sur les capacités d’adaptation et de prise de contrôle de l’homme. Elle permet d’identifier des mécanismes pour s’emparer de l’IA et la dominer plutôt que la subir.

2. Comprendre l’IA et la démystifier : définition et fonctionnement de l’IA ?

L’IA est définie comme la capacité d’un ordinateur (ou d’un robot contrôlé par un ordinateur) à effectuer des tâches associées à l’intelligence humaine et de manière plus rapide.

Pour faire simple, l’apprentissage d’une IA (Deep Learning et Machine Learning) est une discipline qui crée des systèmes de réseaux de neurones et de traitement de données pour reproduire nos facultés cognitives.

« C’est une imitatrice des compétences cognitives de l’homme avec une analyse plus rapide. Dans l’apprentissage Deep Learning, le rôle de l’humain est central. Il garde le contrôle de la machine. » – Lenny Daho

Histoire chronologique de l’IA : les grandes dates

  • 1943 : 1er modèle mathématique pour la création de neurones (par les scientifiques Warren McCullough et Walter Pitts)
  • 1950 : 1er ordinateur à réseau de neurones (par Marvin Minsky et Dean Edmonds à Harvard).
  • 1950 : 1er test d’évaluation des IA (Turing Test), encore utilisé de nos jours. Il pose les fondations de l’intelligence artificielle d’aujourd’hui.
  • 1956 : naissance de l’IA telle qu’on la connait en 2025 : ses fondements, sa vision, ses objectifs (conférence « Dartmouth Summer Research Project on Artificial Intelligence » de John McCarthy).
  • 1959 : invention du terme Machine Learning (IBM Arthur Samuel).
  • 1989 : premier réseau de neurones capable de reconnaitre des chiffres manuscrits (Yann Le Cun) à l’origine du Deep Learning.
  • 1997 : 1er système de jeu d’échec qui a battu Garry Kasparov (Deep Blue).
  • 2000 : arrivée des assistants personnels intelligents (Apple Siri, Google assistant, Microsoft Cortana, Amazon Alexa).
  • 2009 : le Deep Learning s’impose dans de nombreux domaines dont la reconnaissance vocale, la traduction, la reconnaissance d’images.
  • 2019 : Arrivée des IA générative pour le grand public (programme GPT-2 Open AI).

Portrait-robot et principes de l’IA

  • L’IA n’est pas consciente : elle fonctionne sur des algorithmes et des données. Elle ne pense pas par elle-même et n’a pas d’émotions.
  • Elle ne cherche pas à dominer le monde. Cassons le mythe d’un terminator destructeur.
  • L’IA est un outil au service de l’humain qui détermine sa finalité et la programme.
  • Elle est « étroite »*, c’est-à-dire qu’elle réalise une seule tâche de manière quasi parfaite pour accélérer ou automatiser un processus. C’est le modèle le plus utilisé aujourd’hui au service du grand public.
  • Elle a trois types de compétences distinctes : la classification, la reconnaissance vocale, l’analyse/réflexion.
  • Elle permet trois types d’interactions utilisateur : exécuter une tâche (selon des règles très précises), discuter avec l’homme (chatbot), générer des réponses en exploitant des sources externes en temps réel, comme NoteBook LM de Google (RAG ou génération à enrichissement contextuel)

*IA générale ou profonde : réalise plusieurs tâches cognitives comme un humain (hypothétique pour l’instant) – IA forte ou superintelligence : signes de conscience, raisonnement philosophique (impossible à créer de nos jours)

3. L’IA dans le quotidien : les algorithmes ce n’est pas nouveau !

Il n’y a rien de nouveau concernant l’IA. Elle est présente dans notre quotidien depuis bien longtemps en termes d’algorithmes, de traitement de données et de restitution : des technologies pour faciliter la vie.
Voici une liste non exhaustive d’applications IA:

  • IA et divertissement : les algorithmes de recommandation (Netflix, Spotify, etc)
  • IA au travail : les filtres anti-spam. Une boîte mail utilise les algorithmes et le traitement de données pour identifier et bloquer les courriers indésirables avant qu’ils n’arrivent dans votre boîte de réception.
  • IA à la maison : les assistants vocaux. Siri, Google Assistant ou Alexa utilisent des technologies d’IA pour comprendre vos commandes et vous fournir des réponses ou accomplir des tâches.
  • IA et santé : elle aide les médecins à diagnostiquer plus rapidement certaines maladies en analysant des images médicales.
  • IA et traduction automatique : des outils comme Google Translate s’appuient sur l’IA pour traduire des textes en temps réel.

4. Comment adopter une approche IA offensive et sereine

Adopter une approche offensive face à l’IA, c’est se donner les moyens de la maîtriser et de l’utiliser pour faire progresser la société humaine. L’histoire et la philosophie nous enseignent que l’être humain est par nature « politique » et agit collectivement pour façonner son environnement. La création de l’intelligence artificielle s’est donc faite dans une intention d’améliorer la condition humaine et de répondre à des attentes sociales. L’objectif final est bien d’adapter l’IA à la société humaine et non l’inverse.

L’avènement de l’IA depuis 2019, accessible à tous, mène aujourd’hui à une surenchère fulgurante de solutions : Gemini, chat-GPT, DALL-e, DeepSearch, etc… Comment s’y retrouver parmi tous ces outils et les adopter de manière contrôlée et sereine ?

Quels mécanismes pour s’emparer de l’IA ?

Utiliser l’IA avec une approche offensive comprend trois phases progressives.

  1. Apprendre à travailler avec l’IA : c’est une phase d’adaptation à ce nouveau contexte de travail. Une étape où l’identification des compétences et la formation sont nécessaires (apprendre à prompter par exemple).
  2. S’approprier l’IA : une étape de collaboration homme-machine où l’utilisation de l’outil avec la supervision de l’homme redessine les solutions proposées par les organisations (innovations).
  3. Maîtriser la machine : cette phase est celle où l’IA sert les interactions sociales, où les rapports sociaux sont redéfinis, et où l’IA devient secondaire voire banale. Par analogie, Whatsapp a par exemple façonné de nouvelles façons d’interagir au service du collectif et s’est imposé dans toutes les sphères : étudiants, familles, recrutement … pour devenir une norme de communication sociale.

Les compétences professionnelles utiles pour s’approprier l’IA

La réalisation de ces étapes offensives suppose dès maintenant d’identifier dans les entreprises, les compétences nécessaires pour une interaction avec l’IA réussie :

  • compétences managériales projets et leadership
  • compétences créatives
  • compétences en stratégie et communication
  • compétences en gestion du changement et des conflits
  • compétence en stratégie RSE

5. L’avis de notre expert Lenny Daho, ingénieur solutions IA

Lenny Daho- ingénieur spécialisé IA & automatisation no-code, développe des solutions IA pour les entreprises dans des secteurs variés comme la santé ou le marketing.

Qu’est-ce qu’une IA techniquement ?

Réponse : un raisonnement statistique et de corrélation.

« L’IA est un système de raisonnement statistique basé sur les mathématiques. Plus on lui donne de données plus elle doit les corréler avec ce qu’elle a déjà appris. Elle apprend statistiquement. Elle crée des expériences qu’elle finit par reconnaître et qu’elle valide.»

Qu’est-ce que le Deep Learning pour les non experts ?

Réponse : un entrainement à partir de données précises

« Le Deep Learning consiste à entrainer les IA et les réseaux de neurones avec des bases de connaissances (données) en leur assignant un rôle très précis. C’est comme un enfant qui apprend à lire. Il faudra plusieurs lectures d’un même mot pour qu’il le comprenne. Cette répétition permet aux neurones d’identifier et de valider. Un neurone IA (un peu moins complexe qu’un neurone biologique humain) suit le même schéma. Plus il voit une donnée, plus il la reconnaît facilement et peut alors s’en servir. »

Quel est le rôle de l’homme dans l’apprentissage d’une IA ?

Réponse : classer les données et vérifier l’intégration par l’IA

« Lors de l’entraînement, on définit une base de données. Puis par la suite, on intègre des nouvelles données et on doit vérifier qu’il y a bien une corrélation avec la base déjà apprise. Dans ce processus, l’humain doit classifier en amont puis vérifier que l’IA a bien classé et intégré les nouvelles données. Il garde un contrôle sur toute la chaîne d’apprentissage. »

Quelle est la plus grande idée totalement fausse sur l’intelligence artificielle ?

Réponse : la connaissance absolue

« Croire que l’IA est une source de connaissance absolue. Ce n’est pas vrai. Elle ne connait que les données qu’on lui intègre. De plus, elle répond de manière statistique et non en conscience. »

Pourquoi l’IA fait-elle peur ?

Réponse : les révolutions font peur et sont perçues comme une menace

« C’est légitime, ce qu’on ne connait pas fait peur. Les révolutions technologiques comme l’électricité, l’ordinateur, internet, le nucléaire ont toujours eu mauvaise presse au départ. Mais l’homme s’adapte. Quand il apprivoisera l’IA, sa peur disparaitra. L’IA peut être envisagée comme une menace potentielle sur l’existence humaine, comme le nucléaire. Mais aujourd’hui, on en est loin, même si le Center for AI Safety la considère comme une priorité mondiale en terme de régulation, de réglementation et d’éthique. L’IA Act à l’échelle européenne en est une illustration et une nécessité d’utilité publique. »

Quels conseils donner à un novice qui souhaite travailler avec l’IA ?

Réponse : s’entraîner, tester, se former, prompter.

« Avant de prendre en main un outil dans un contexte professionnel, il faut avoir une connaissance métier approfondie. C’est indispensable pour superviser, analyser et valider les réponses d’une IA. Ensuite, il faut s’entraîner, tester et ne pas hésiter à poser des questions basiques sur l’utilisation. Enfin, maîtriser le prompt est essentiel pour cadrer les réponses dans un objectif métier précis. »

Quelles sont les compétences à déployer pour travailler avec l’IA ?

Réponse : expertise métier, organisation, analyse critique et autocritique

« Quand on travaille avec l’IA, il faut en amont maîtriser son sujet et savoir être organisé dans ses idées. Si vos idées sont floues, les réponses de l’IA le seront aussi. Il faut bien définir ses objectifs et ce que l’IA peut apporter pour les atteindre. Puis il faut rechercher les outils IA qui correspondent à nos objectifs et besoins. Une capacité d’analyse critique des réponses est ensuite indispensable. En ce qui concerne les hallucinations et les biais cognitifs, l’autocritique est également un pilier car l’IA ira toujours dans le sens qu’on lui impose. Elle ne nous contredit pas ! Elle est déjà censurée sur les biais cognitifs sexuels et raciaux par exemple. »

Comment voyez-vous l’évolution de l’IA dans les 5 à 10 prochaines années ?

Réponse : intégrée, contrôlée et banalisée

« Les entreprises implémentent de plus en plus l’IA dans leur systèmes. Elle sera bientôt banalisée et on l’intègrera au quotidien sans s’en rendre compte. Comme on l’a fait avec les ordinateurs. L’être humain finit toujours pas s’adapter, s’approprier et contrôler les technologies. Dans cette perspective, le contrôle de l’IA sur l’alignement est un travail mené pour faire en sorte que l’intelligence artificielle fasse ce qu’on lui demande dans le respect des lois et de l’éthique. »

Sur le terrain, comment les entreprises s’emparent-t-elles de l’IA ?

Réponse : attentes orientées résultats immédiats ou orientées process.

« Il y a deux grands types d’approche auxquels j’ai été confronté. La première, un dirigeant qui ne comprend rien à l’IA et ne cherche pas à comprendre en détail. Il cherche du résultat immédiat et de la productivité en automatisant les tâches. Il a confiance en l’outil IA développé car sa capacité d’analyse critique lui permet de juger de la pertinence et de l’efficacité des résultats donnés par l’IA.
L’autre approche est celle d’un client qui souhaite utiliser une solution IA à laquelle ils pourront implémenter des documents techniques internes pour obtenir des résultats tangibles, sans avoir à consulter ces documents. Cette stratégie suppose de former deux équipes internes. Les administrateurs de l’agent IA pour pouvoir le modifier et le faire évoluer, et les ingénieurs pour l’utiliser efficacement. »

Une phrase d’encouragement pour s’y mettre en toute confiance ?

« C’est le premier pas qui compte. Testez, faites votre analyse critique et voyez ce que vous en tirez. »

6. Ressources et outils pour adopter l’IA

L’arrivée de l’IA massive dans les entreprises impose d’investir dans le développement de nouvelles compétences humaines en formant les salariés. Dans une idée d’approche offensive, les formations en transition digitale, management, conduite du changement, RSE et développement personnel sont incontournables.

Compétences techniques et digitalesInformatique et IAPrompt EngineeringAnalyse de donnéesSEO et réseaux sociaux
Maîtriser les bases de l’IAAppendre à communiquer efficacement avec l’IAApprendre à utiliser des outils de gestion de données (Power BI par exemple)Apprendre à rester visible en ligne avec l’IA
Compétences managériales et humainesManagement et leadershipGestion des risquesRSEDéveloppement personnel
Gérer le changement et animer une équipeIdentifier et anticiper les défis liés à l’IAIntégrer la responsabilité sociale dans l’utilisation de l’IAGérer les conflits, motiver les équipes, favoriser la communication

Notre sélection de formations pour s’approprier l’IA

Compétence digitales :

Compétences managériales

Compétences en développement personnel

Notre sélection d’articles IA pour pousser la réflexion

En résumé : se préparer et oser l’IA

L’Intelligence Artificielle, malgré des inquiétudes légitimes concernant l’emploi, la régulation et l’éthique, offre une opportunité pour l’évolution de la société humaine. Loin d’une approche défensive et passive, l’histoire nous enseigne la capacité de l’homme à s’adapter, à s’approprier et à maîtriser ses innovations technologiques.
Une approche offensive en trois phases – apprendre, s’approprier et maîtriser l’IA – abordée collectivement et orientée vers les besoins sociaux, est alors un levier de progrès, de liberté et de bien-être.
L’IA est un outil que l’homme peut utiliser pour son propre bénéfice dans un cadre éthique et réglementé. Dans ce contexte galopant, le plan « Osez l’IA » de l’Etat a été lancé en juillet 2025 pour accélérer la diffusion de l’intelligence artificielle dans toutes les entreprises françaises.

Nos remerciements à Lenny Daho pour sa participation.

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Sandrine LABORDE


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