Archives pour la catégorie Développement personnel

Travailleurs non salariés et formations

L’accès à la formation professionnelle est souvent associé au statut de salarié… Or il existe des solutions pour permettre aux dirigeants non salariés (auto-entrepreneur, indépendants, professionnels de santé…) de pouvoir également bénéficier d’opportunités pour se former dans leur entreprise.

Le fonctionnement des cotisations pour la formation

BON A SAVOIR : Qu’est-ce que la Contribution Formation Professionnelle (CFP) ?

Pour les travailleurs indépendants et les micro-entrepreneurs qui souhaitent effectuer une formation professionnelle et qu’elle soit prise en charge, ils doivent verser en février de chaque année une contribution à la formation professionnelle (CFP).

Qui doit payer la contribution à la formation professionnelle ?

L’ensemble des entreprises sont concernées par la participation au financement des actions de formation continue de leur personnel et des demandeurs d’emploi, en payant une contribution annuelle, quel que soit leur nombre de salariés, la nature de leur activité et leur statut juridique (entreprise individuelle ou société). Son montant dépend du nombre de salariés. Tout comme pour les entreprises, les travailleurs non salariés (TNS) payent une cotisation auprès de l’URSAAF, dans ce même objectif qu’est le droit à la formation. Leur CFP fait donc partie intégrante des cotisations URSSAF des TNS et est fonction de leur rémunération, et non du nombre de salariés au sein de leur entreprise, s’il y en a.

Qui bénéficie des formations professionnelles ?

Les formations étaient orientées jusqu’à présent de façon significative vers les salariés des entreprises. Or il est possible pour les entrepreneurs individuels, travailleurs non salariés (TNS) de pouvoir bénéficier de la même façon de la formation continue tout au long de leur carrière professionnelle.

La prise en charge des formations pour les travailleurs indépendants

En contrepartie de la Contribution à la Formation Professionnelle (CFP) imposée aux travailleurs non salariés, ils peuvent, sous certaines conditions, bénéficier du financement total ou partiel de leurs formations. Cette mesure est également valable pour les conjoints collaborateurs si la CFP-conjoint a été payée et qu’ils dépendent d’un Fonds d’Assurance Formation (FAF), déterminé en fonction de la nature de leur activité.

Comment obtenir des financements ?

Jusqu’à présent, le financement des formations pour les TNS était uniquement lié au code NAF de l’entreprise. Désormais, il est également possible de compléter ce droit en établissant un dossier de droit à la formation, via votre compte sur www.moncompteformation.gouv.fr.

Vos droits à la formation ont dû être alimentés en 2020 au titre de vos activités 2018 et 2019. En cas de pleine activité sur ces deux années, le montant des droits est de 860 €. Il peut être complété si besoin par une demande auprès d’un FAF ou OPCO (Opérateur de Compétences). Les droits sont calculés au prorata de la période d’activité déclarée à l’ACOSS (il s’agit de la caisse nationale des URSSAF. Elle assure la collecte des cotisations destinées à garantir le financement du modèle social français, et leur redistribution.)

BON A SAVOIR : Les démarches, dans le cadre d’un financement par un FAF, sont à effectuer au minimum 1 mois avant de débuter une formation et doivent être faites pour chacune des formations s’il y en a plusieurs.

PETIT RAPPEL

Pour les personnes qui étaient salariés avant le 1er janvier 2015, date de passage du DIF (Droit Individuel à la Formation) au CPF (Compte Personnel de Formation), il est important de penser à saisir vos heures sur votre CPF avant le 31 décembre 2020. La démarche s’effectue en ligne sur le site « mon compte formation ».
La déclaration de la contribution à la formation professionnelle (CFP) est à effectuer avant mars 2021.
Pour définir l’ensemble des possibilités de financement de la formation professionnelle aux employeurs, consultez notre article sur Chef d’entreprises : formez-vous !

Pour tous renseignements complémentaires, contactez-nous au 0805 690 063 (appel gratuit) ou par e-mail (info@audavia.fr).
Audavia est en cours de certification pour QUALIOPI et reste d’ici 2021 Datadocké.

Co-financer votre formation : les nouvelles possibilités !

Le droit à la formation est valable pour tous les actifs : salariés, professions libérales ou non-salariés, conjoints collaborateurs, mais aussi pour les personnes à la recherche d’un emploi.

Pour accéder à cette opportunité professionnelle, vous disposez d’un Compte Personnel de Formation (CPF), qui vous suit durant toute votre vie professionnelle. Pour rappel, le CPF a remplacé le Droit Individuel à la Formation (DIF), depuis le 1er janvier 2015.

Depuis le 3 septembre 2020, les salariés ont de nouveaux droits pour accéder à la formation. On vous en dit plus.

L’employeur peut abonder le CPF de ses salariés

Depuis la création du DIF/ CPF, les salariés avaient à disposition un crédit annuel de base de la caisse des dépôts, en fonction de leur contrat de travail. Il était donc possible d’accéder à des formations dans le cadre de la montée en compétences au sein de l’entreprise ou pour le développement individuel de chacun.

Aujourd’hui, chaque employeur dispose d’un accès simplifié pour abonder ce compte salarié CPF. Ce dernier vient donc s’ajouter aux droits de base. Cette nouveauté devait être mise en place en milieu d’année mais les conditions sanitaires ont décalé le projet à cette rentrée scolaire.

Il est donc possible, à présent et en collaboration avec l’entreprise d’augmenter son capital CPF et d’accéder aux formations souhaitées via le compte en ligne https://www.moncompteformation.gouv.fr/

Comment alimenter le CPF ?

Cette dotation de l’entreprise peut se présenter sous plusieurs formes :

  • Sur la base du volontariat de l’employeur, par exemple, si ce dernier souhaite développer les compétences de son équipe dans un domaine utile à l’entreprise.
  • Sur demande d’un projet de formation du salarié, l’entreprise peut alimenter ce compte permettant ainsi un accompagnement financier pour payer le reste à charge du compte.
  • Les versements obligatoires :
    •  lors du licenciement d’un salarié pour le refus d’un accord collectif, l’employeur doit réaliser un paiement d’un minimum de 3.000 euros
    • si l’entreprise ne respecte pas ses obligations en termes d’entretien professionnel (à compter de janvier 2021).
    • Pour les actifs chômeurs, il y a aussi des solutions d’accompagnement financier sur le crédit du CPF, par pôle emploi. Pour en savoir plus, cliquez ici

Dans tous les cas, il est possible de financer ou co-financer à titre personnel sa formation via le portail mon compte formation.

Côté employeur…

Côté entreprise, l’objectif était de faciliter l’accès et les possibilités des dirigeants, dans la démarche de crédit sur le compte de formation. L’employeur peut tout effectuer via une plateforme internet, en quelques clics seulement.

Pour cela, l’entreprise souhaitant abonder d’un crédit supplémentaire un ou plusieurs de ses salariés se rend sur le portail de déclarations sociales Net-entreprises.fr. Il doit y renseigner quelques données sur les salariés pour lesquels il souhaite réaliser un abondement CPF et le montant qu’il souhaite leur verser. Il suffit ensuite de réaliser un virement à la Caisse des dépôts, qui elle-même crédite directement les comptes de formation des salariés concernés.

Un projet de formation peut donc être l’objet d’un échange avec l’employeur afin qu’il puisse faciliter la montée en compétences de ses salariés, et, par la même occasion, de son entreprise !

Pour tous renseignements complémentaires, contactez-nous au 0805 690 063 (appel gratuit) ou par e-mail.

Audavia est en cours de certification pour QUALIOPI et reste d’ici 2021 Datadocké.

Chef d’entreprise : formez-vous !

Lorsque l’on parle de formation professionnelle, on pense souvent à la formation des collaborateurs salariés, des demandeurs d’emploi ou porteurs de projets. Mais qu’en est-il des chefs d’entreprise ?

Pourquoi la formation professionnelle quand on est chef d’entreprise ?

Le marché du travail, les technologies, les techniques de management ou bien encore les réglementations sont autant de points qui définissent le fonctionnement d’une entreprise et qui évoluent constamment. Pour être à la hauteur de ses responsabilités et faire performer son activité, le chef d’entreprise doit maîtriser ces évolutions.

Habituellement perçue comme une perte de temps, la formation professionnelle et personnelle sont pourtant un investissement indispensable afin de rester compétitif en matière de compétences et d’innovations. Être dirigeant et se former, c’est non seulement valoriser son image, mais c’est aussi et surtout mettre toutes les chances de son côté pour être compétent et performant sur le long terme.

Zoom sur les financements possibles :

Suivant votre statut, vous pouvez peut-être bénéficier d’un financement ou d’une aide à la formation professionnelle.

Les travailleurs non-salariés (TNS) cotisent obligatoirement au financement de la formation professionnelle, via une contribution spécifique auprès d’un organisme collecteur.

Le code NAF de l’entreprise permet de vous aider à déterminer l’organisme dont vous dépendez.

Voici les organismes qui se partagent la gestion des TNS :

  • AGEFICE (www.agefice.fr) finance les formations des dirigeants non-salariés des secteurs du commerce, de l’industrie et des services.
  • FIFPL (www.fifpl.org) est le Fonds Interprofessionnel de Formation des Professionnels Libéraux (à l’exclusion des médecins).
  • Le FAFCEA (www.fafcea.com) pour les artisans non-salariés
  • La Chambre des métiers de votre région pour tout professionnel non salarié (artisan) inscrit au répertoire des métiers.
  • FAF PM (www.fafpm.org) est réservé aux médecins ayant un exercice libéral et à leur conjoint collaborateur.
  • FAF PECHE (www.spppcm.fr) pour les dirigeants non-salariés du secteur de la pêche et des cultures marines.

Les règles de gestion et financement varient grandement entre ces différents OPCO (Opérateurs de Compétences).

Les dirigeants d’entreprise peuvent également bénéficier d’un crédit d’impôt sur leur formation jusqu’au 31 décembre 2022. Tous les statuts de dirigeants sont concernés à l’exception des micro-entrepreneurs. Vous trouverez les explications relatives à ce dispositif sur le site www.economie.gouv.fr.

Nouveauté : Les TNS auront leurs droits à la formation crédités sur 2020 au titre de leurs activités en 2018 et 2019, consultez votre CPF. Les droits sont calculés au prorata de la période d’activité déclarée à l’ACOSS.

N’hésitez pas à contacter votre région qui peut aussi être une source d’aide et de financement.

Quelle(s) formation(s) suivre ?

Le panel de formations professionnelles étant tellement large, qu’il est parfois difficile de savoir précisément laquelle choisir pour soi (voire ses équipes).

Voici quelques points essentiels à prendre en considération pour vous aider à faire le bon choix :

  1. Le thème : comme nous le disions précédemment, le catalogue sur le marché du travail est large. C’est pourquoi, vous devez connaître vos attentes et vos objectifs et pour cela, nous vous recommandons de prioriser vos objectifs. En effet, si votre priorité semble être d’améliorer le dialogue avec vos équipes ou leur organisation, vous vous orienterez vers une formation « Management ». Si par contre, vous souhaitez connaître les clés d’une communication efficace sur les réseaux sociaux, c’est donc vers une formation « Communication Digitale » qu’il va falloir vous orienter…
  2. Le budget : faite le point avec les différents interlocuteurs mentionnés plus haut dans cet article, discutez-en avec votre comptable et vous pourrez déterminer le budget que vous allez investir dans votre formation.
  3. Le temps : dépendant entre autres de votre budget, le temps que vous consacrerez à la formation est un investissement important. Nous savons comme il est difficile pour les chefs d’entreprise de s’absenter de leurs responsabilités. Cependant, il faut bien comprendre que la formation est indispensable à la réussite de leurs fonctions. Alors, réfléchissez à votre organisation et trouvez le planning qui vous conviendra le mieux. Chez Audavia, vous programmez vos sessions de formation directement avec le formateur, afin de vous aider à vivre pleinement ce temps pédagogique, tout en maîtrisant la poursuite de votre activité professionnelle.
  4. Le lieu : suivant le type de formation que vous choisirez, il vous faudra peut-être vous déplacer. Si vous ne disposez pas du temps nécessaire pour vous déplacer ou si vous souhaitez absolument que la formation ait lieu en extérieur de l’entreprise pour pouvoir vous concentrer au maximum, cela pourra déterminer le type de formation que vous choisirez. Chacun de nos centres disposent d’une salle de formation que nous mettons à votre disposition. De plus, nos formateurs sont mobiles et souples afin de répondre à vos contraintes logistiques.

L’ADN d’Audavia étant le sur mesure, nous passons justement en revue ces éléments ensemble dans le but de mettre en place une formation personnalisée qui corresponde exactement à vos attentes et besoins.

Souvent oubliée, la formation professionnelle des dirigeants est pourtant un élément clé de la réussite d’une entreprise. Donc, il est temps de vous former ! Et n’hésitez pas à nous contacter si vous avez la moindre question.

L’externalisation de la formation : un gain de temps pour vous !

L’univers de la formation et ses réglementations sont en constante évolution et l’État tend à faire de la formation une véritable priorité pour les entreprises.

Le contexte actuel de chômage couplé à la crise économique et sanitaire ne fait que favoriser cette tendance afin de préserver l’emploi en renforçant les compétences des salariés.

Pour les entreprises, la gestion du plan de développement des compétences des différents salariés est extrêmement chronophage et demande rigueur administrative et logistique ainsi qu’une veille continue des évolutions réglementaires. Chez Audavia, nous vous proposons de prendre en main tout cela grâce à une externalisation de la formation.

Externaliser la formation : en quoi cela consiste ?

Externaliser la gestion des formations de votre entreprise permet de vous libérer de cette charge administrative conséquente. Audavia peut vous proposer de le faire de la manière suivante :

  • Nous vous accompagnons sur l’élaboration de votre plan de développement des compétences. En étroite collaboration, nous établissons ensemble les priorités à donner à certaines thématiques de formation et certains collaborateurs, tout en prenant en considération les meilleurs dispositifs de financement envisageables. La prise en considération des différents paramètres de votre entreprise, permet de faire des propositions adaptées à votre stratégie, vos salariés et votre budget.
  • Nous montons les dossiers administratifs et vous aidons à identifier les meilleurs dispositifs de financement. C’est certainement l’une des parties administratives les plus chronophages pour vos équipes et que nous prenons en charge de A à Z. Nous agissons en votre nom et communiquons avec votre OPCO ainsi que les salariés et managers concernés.
  • Nous sélectionnons les meilleurs experts (formateurs) pour permettre à vos collaborateurs de bénéficier de formations sur mesure, en adéquation avec leurs objectifs et la stratégie de l’entreprise. Nous travaillons avec des consultants formateurs qui partagent nos valeurs pédagogiques (rigueur et qualité) et qui vivent pour leur passion de l’enseignement. Nous mettons tout en œuvre pour que chaque stagiaire ressorte satisfait et reparte avec des compétences supplémentaires au-travers de nouveaux acquis bien ancrés.
  • Nous partageons avec vous les bilans et retours de chaque formation afin que vous puissiez réaliser un suivi précis pour chaque collaborateur années après années.

De plus, en faisant ce choix vous diminuez le nombre d’interlocuteurs et donc favorisez la communication entre les différents acteurs. Ainsi, vos salariés se sentiront plus écoutés et valorisés, l’organisme collecteur saura vers qui se tourner et vos équipes administratives seront soulagées.

Enfin, vous êtes sécurisé sur la qualité de la prestation de formation. En disposant d’un interlocuteur unique en qui vous avez confiance, vous savez que chaque formation sera à la hauteur de vos attentes.

Comment mettre en place cette externalisation ?

Il vous suffit de prendre contact avec nous afin de réaliser ensemble un point sur votre fonctionnement actuel et vos attentes. Nous prendrons ensuite le temps de discuter en équipe de la meilleure solution d’accompagnement possible basée sur la taille de votre entreprise, vos attentes et les objectifs définis ensemble.

Pour cela vous pouvez nous contacter via notre formulaire ou bien nous appeler au 0805 690 063 (numéro gratuit).

Qu’est-ce que QUALIOPI ?

QUALIOPI est la nouvelle marque de certification qualité des prestataires d’actions de formation. Cette marque peut être délivrée par des organismes certificateurs reçus par le Comité français d’accréditation (COFRAC https://www.cofrac.fr/) dans le cadre de la loi n°2018-771 du 5 Septembre 2018 pour la liberté de choisir son avenir professionnel.

Cette marque a pour objectif de garantir la qualité du processus mis en œuvre par les prestataires de formation et de développement des compétences. Elle doit permettre une plus grande lisibilité de l’offre de formation auprès des entreprises et des usagers. Elle sera rendue obligatoire à partir de 2022.

Pourquoi avoir créé une nouvelle marque de certification ? 

Cela répond au bilan réalisé par le Ministère du travail en 2016. L’objectif étant de proposer une meilleure qualité de prestation de formation et rassurer ainsi les consommateurs sur leur accès à la formation.

L’intérêt est de proposer une certification identique pour tous les prestataires de formation afin de garantir une offre répondant au niveau attendu par le référentiel national.

Qui est concerné par la certification QUALIOPI ?

Elle sera obligatoire pour tous les prestataires d’actions participant au développement des compétences et qui souhaitent accéder aux fonds publics, soit tous les prestataires, y compris les formateurs indépendants, proposant à leurs clients :

  • de la formation
  • des bilans de compétences
  • la Validation des Acquis de l’Expérience (VAE)
  • de la formation en apprentissage.

Comment obtenir cette certification ?

Pour obtenir la certification QUALIOPI, il est nécessaire de suivre un processus et de répondre à différents critères de validation, via un organisme accrédité par le COFRAC :

  • Demander une certification auprès d’un organisme agréé
  • Répondre à un audit détaillé puis à une surveillance
  • Signer un contrat avec un organisme de certification.

La durée d’audit est variable selon le chiffre d’affaires et selon le nombre de sites à auditer par ailleurs. Cette certification est valable 4 ans pour les organismes certifiés avant le 1er janvier 2021, sinon 3 ans.

L’audit est élaboré sur la base de 7 critères (voir ci-dessous) et déclinés en 22 indicateurs qui s’appliquent à tous les prestataires, auxquels 10 indicateurs spécifiques s’ajoutent pour les formations certifiantes et l’apprentissage.

  1. Les conditions d’information du public sur les prestations proposées, les délais pour y accéder et les résultats obtenus.
  2. L’identification précise des objectifs et l’adaptation des offres.
  3. L’adaptation des modalités d’accueil, d’accompagnement, de suivi et d’évaluation mises en œuvre.
  4. L’adéquation des moyens pédagogiques, techniques et d’encadrement.
  5. La qualification et le développement des connaissances et compétences des personnels chargés de mettre en œuvre les prestations.
  6. L’inscription et l’investissement du prestataire dans son environnement professionnel.
  7. Le recueil et la prise en compte des appréciations et des réclamations.
À RETENIR
Compte tenu de l’urgence sanitaire liée à la Covid-19, l’obligation de certification est repoussée au 1er janvier 2022.

Pour davantage d’informations, consultez la charte d’usage QUALIOPI

Pour tous renseignements complémentaires, contactez-nous au 0805 690 063 (appel gratuit) ou par e-mail (info@audavia.fr).

Audavia est en cours de certification QUALIOPI mais reste référençable Datadock, donc éligible aux financements mutualisés des différents OPCO.

Reprendre le travail après les congés d’été

Il est temps de retourner au travail… Fini le farniente et les grasses matinées… Cette année post-confinement étant particulière, les vacances puis le retour au travail le sont d’autant plus.

Bien préparer son retour en entreprise après plusieurs semaines de congés est essentiel pour aborder ce nouveau départ de la meilleure façon qui soit.

Voici nos quelques conseils pour un retour détendu, mais efficace !

Les bonnes pratiques de reprise du travail

Et voilà, le jour de la reprise pointe le bout de son nez et le blues des vacances vous gagne déjà ! Pour faire un retour sur les « chapeaux de roues » sans oublier de vous ménager, nous vous avons concocté quelques conseils pour un retour au travail positif :

  1. Évitez de reprendre le lundi : oui, le lundi c’est le jour maudit de la semaine de travail… Alors après 3 semaines de détente, c’est encore plus dur. En allongeant vos congés d’une journée vous gagnez une reprise plus douce et surtout une 1ère semaine plus courte !
  2. Le réveil : voilà un accessoire qui ne vous a pas manqué durant vos congés d’été. C’est peut-être l’occasion ou jamais de troquer le « bip-bip » infernal pour une musique de réveil plus douce et agréable ?
  3. Bloquez votre 1er jour sans rendez-vous : on évite à tout prix de caler des rendez-vous le premier jour. Laissez-vous atterrir… Le temps de faire un debriefing des dossiers en cours, de lire l’interminable liste de mails accumulés et de traiter les éventuelles urgences de la rentrée.
  4. Gardez quelques plaisirs des vacances :  il fait encore beau et chaud, profitez-en pour organiser un petit apéro à la sortie du bureau pour garder un peu de légèreté.
  5. Un petit truc des vacances pour le bureau : pour bien prendre conscience du bienfait de vos vacances et être pro-actif dès votre retour, vous pouvez rapporter un petit souvenir de vacances qui mettra un peu de baume au cœur à tous au bureau, ou tout simplement prévoir un moment pour vous raconter vos vacances respectives entre collègues, histoire de voyager encore un peu !
  6. Prenez l’air : la pause déjeuner a sonnée, c’est l’occasion de manger en terrasse ou de grignoter dans un parc ou dehors. Après avoir passé plusieurs jours au grand air et en toute liberté, pensez à en profiter davantage et à ne pas vous enfermer à la cantine ou dans votre bureau pour déjeuner.
  7. Pas de pression : autant que possible, laissez vos vieux démons du stress au placard pour la reprise et essayez de faire au mieux sans angoisser pour bien débuter l’année. Il peut y avoir un petit contre-coup le 2ème jour de la reprise : une petite sortie entre collègues fera passer tout ça très vite !

Quand la rentrée rime avec bonnes résolutions

Les vacances sont aussi parfois l’occasion d’une remise en question plus profonde sur la qualité de votre travail ou des conditions de celui-ci, ou encore sur votre avenir professionnel… Les bonnes résolutions sont toujours bénéfiques si elles ne sont pas trop nombreuses et synonymes de pression supplémentaire.

Il est peut-être temps de vous fixer de nouveaux objectifs :

  • Progresser et évoluer professionnellement
  • Développer vos compétences
  • Apprendre de nouvelles choses
  • Revoir votre projet professionnel
  • Envisager une reconversion

Tous ces changements, liés à une réflexion menée depuis plusieurs mois et qui ont besoin de se concrétiser grâce au recul supplémentaire pris pendant la période des congés, peuvent vous amener à la formation professionnelle. En effet, déployer ses compétences en tant que salarié ou chef d’entreprise peut être accompagné par la formation et soutenu financièrement par les droits à cette dernière (voir notre article sur « comment financer sa formation ? ») !

Découvrez toutes les formations disponibles chez Audavia pour répondre à votre projet professionnel.

Que vous soyez juillettistes ou aoûtiens, on vous souhaite de bonnes vacances et… une bonne reprise !

Pour tous renseignements complémentaires, contactez-nous au 0805 690 063 (appel gratuit) ou par e-mail (info@audavia.fr)

La Formation pour les handicapés

Comme tous les salariés du secteur privé, les travailleurs handicapés bénéficient du droit à la formation. Il existe également des actions de formation spécifiquement prévues pour leur statut. Ces formations peuvent être proposées dans le cadre du dispositif d’emploi accompagné, qui comporte un suivi médico-social et un soutien à l’insertion professionnelle et au maintien dans l’emploi des personnes handicapées souhaitant travailler en milieu ordinaire. Les travailleurs handicapés disposent également d’aides complémentaires.

Les conditions d’accès

Si vous êtes handicapé, vos droits sont constitués de la même façon qu’un travailleur valide : tous les salariés cumulent des droits sur leur compte personnel de formation (CPF).

Ainsi, vous pouvez accéder à une formation qualifiante, de reconversion, ou à un bilan de compétences. Pour cela, vous devez être âgé.e de plus de 16 ans et reconnu.e handicapé.e par la Commission des Droits et de l’Autonomie des Personnes Handicapés (CDAPH). Ce dispositif est également accessible pour les victimes d’accidents du travail ou pour les maladies professionnelles reconnues.

Les compléments d’aide

Comme pour tout salarié à temps plein, le compte personnel de formation donne accès à 500 euros par an. Depuis le 1er janvier 2019, les personnes en situation de handicap disposent d’une aide complémentaire de 300 € par an sur leur CPF.

Pour les travailleurs peu qualifiés, le compte personnel de formation est crédité de 800 euros par an avec un plafond fixé à 8000 euros pour les salariés ayant effectué une durée de travail supérieure ou égale à la moitié de la durée légale ou conventionnelle sur l’année.

La formation pour toutes les situations

Comme tous les demandeurs d’emploi, ceux en situation de handicap ont accès à l’ensemble des formations destinées aux chômeurs.

En situation de handicap, l’apprentissage est également possible et sans limite d’âge. Dans ce cas de figure, les règles du contrat d’apprentissage sont aménagées (durée du contrat, déroulement de la formation, adaptation du poste de travail). La loi pour la liberté de choisir son avenir professionnel a permis la mise en place de référents handicap dans les centres de formation des apprentis. Elle a également engendré la création d’une aide supplémentaire pour adapter les postes de travail et les enseignements.

Audavia et la formation adaptée aux handicapés

Notre organisme de formation, situé à Paris, Bordeaux et Quimper, permet aux travailleurs handicapés comme aux valides, de disposer de leurs droits à la formation.

Grâce au digital et aux nouvelles technologies, Audavia propose, en compléments de ses formations en présentiel, des formations à distance, en visio-conférence, ce qui offre des possibilités de formation dans toute la France. La « visio », d’autant plus après ces quelques mois de confinement, est devenue un outil incontestable de l’apprentissage. Des outils complémentaires et adaptés sont proposés pour accompagner les personnes malentendantes, déficients visuels ou physiques. Nous accompagnons également nos clients dans la réalisation de la partie administrative pour faciliter l’accès à la formation pour tous.

Récemment, une jeune fille malentendante a réalisé une formation « Cinéma 4D » en visio grâce à un outil de communication adapté à son handicap, nous explique Marie-Philippine, consultante en formation chez Audavia.

Consultez vos droits à la formation pour les personnes handicapées.

Pour tous renseignements complémentaires, contactez-nous au 0805 690 063 (appel gratuit) ou par e-mail (info@audavia.fr).

La VAE, un levier pour votre évolution professionnelle

Dans ce monde du travail complètement chamboulé, la formation et la valorisation des compétences apparaissent comme la meilleure arme pour assurer le maintien de l’emploi et favoriser la relance de l’activité de l’entreprise. La VAE (Validation des Acquis de l’Expérience) est l’un des dispositifs incontournables qui répond à ces objectifs.

La VAE entre valorisation des compétences et booster de confiance en soi

La VAE : Validation des Acquis de l’Expérience

Comme son nom l’indique la VAE permet de valoriser l’expérience professionnelle d’une personne en validant une certification professionnelle (diplôme, titre ou certificat professionnels) de tous niveaux (du CAP au Bac+5), qu’il aurait pu obtenir en schéma classique après une ou plusieurs années d’étude. La certification obtenue doit être inscrite au Répertoire  National des Certifications Professionnelles (RNCP). Qu’elle soit obtenue par la voie de la formation ou celle de la VAE, la certification est rigoureusement la même comme défini dans la loi n° 2002-73 du 17.1.02 de modernisation sociale.

Cette démarche s’adresse à tous, que vous soyez salarié, non-salarié, bénévole, chef d’entreprise, élu local, sportif de haut niveau, mais aussi quel que soit votre âge, votre niveau de formation ou même votre nationalité. D’un point de vue administratif, peut prétendre à la VAE toute personne justifiant d’au moins 1 an d’expérience en rapport direct avec la certification visée. Des possibilités de financement existent afin de vous accompagner sur ce processus. La VAE est également éligible au CPF. Si vous êtes salarié, n’hésitez pas à en parler à votre employeur qui peut vous soutenir et vous accompagner dans votre démarche. Vous pouvez aussi engager une VAE à titre personnel, « hors temps de travail », sans que votre employeur en soit informé, afin de valoriser votre expérience professionnelle devant les recruteurs ou dans le cadre d’une reconversion.

En structurant et mettant en lumière des compétences éprouvées, la VAE renforce non seulement la confiance en soi, mais aussi celle d’un recruteur voire de ses collaborateurs ou collègues. Nombreux sont ceux qui n’ont pas ou peu suivi d’études avant de se lancer dans la vie professionnelle. Les raisons sont variées : opportunités professionnelles immédiates, manque de moyens, maturité, passion, choix de vie… . C’est une situation que certains souhaitent voir évoluer avec le temps. Obtenir un diplôme peut devenir un sésame incontournable pour évoluer dans certains métiers ou certaines entreprises.

Lancer un processus de VAE, c’est faire le point sur ses acquis, énumérer ses compétences et faire avancer ses projets professionnels. C’est un pas vers l’évolution !

La VAE, comment ça se passe ?

Afin de faciliter les démarches, vous retrouverez toutes les informations et documents officiels sur le site vae.gouv.fr .

Vous devrez :

  1. Déterminer le diplôme, certificat… qui semble le plus en adéquation avec votre projet. Pour cela, un organisme de formation et/ou certificateur* ou votre employeur pourront vous conseiller. Il est important de bien déterminer vos objectifs et la finalité de votre projet, ainsi que de faire un point précis sur les connaissances et compétences acquises au cours de vos années de travail. Audavia accompagne régulièrement des projets de VAE.
  2. Prendre contact avec l’organisme certificateur afin de vérifier que vous correspondez bien aux profils cibles de la certification visée et de connaître les spécificités et le calendrier du processus de validation. C’est aussi le moment de choisir l’accompagnement souhaité, soit par le certificateur lui-même, soit par un organisme privé spécialisé tel qu’AUDAVIA. L’accompagnement est optionnel mais vivement conseillé. Les conseillers en formation disposent de l’expérience nécessaire pour vous guider vers la réussite de votre VAE.
  3. Déposer votre demande de recevabilité (souvent appelé Livret 1) auprès de l’organisme certificateur. C’est en quelques sortes une étude de faisabilité du projet afin de vérifier la cohérence entre vos compétences acquises et le diplôme visé. Au vu des éléments de ce premier dossier, le certificateur émet un avis favorable, favorable avec réserve ou défavorable. Un avis défavorable ne signifiant pas que vos compétences n’ont pas de valeur, mais que la certification choisie n’est pas adaptée à votre profil.
  4. Constituer votre dossier de preuves (souvent appelé Livret 2 ou mémoire VAE), c’est le cœur de votre démarche. Les 18 ans d’existence de la VAE montrent qu’il est vivement recommandé d’y avoir recours pour bien comprendre les attendus du jury, et bénéficier d’un regard et d’un questionnement tiers stimulant et bienveillant pour prendre le recul suffisant à l’analyse, la valorisation et la mise en mots de son expérience et de ses compétences. Dans ce dossier, vous allez devoir être le plus complet possible et bien organisé pour prouver au jury que toutes ces années d’expérience vous ont permis d’acquérir autant de connaissances que les années d’enseignement habituellement nécessaires à la validation de ce titre. Cette phase dure généralement de 6 à 12 mois en moyenne, cette phase nécessite un travail hebdomadaire rigoureux. C’est aussi en cela que l’accompagnement est utile.
  5. Exposer vos expériences professionnelles à l’oral devant un jury composé d’enseignants et de professionnels du métier. En partant de votre Livret 2 et de réponses aux questions du jury, l’enjeu sera de le convaincre de l’adéquation de votre parcours avec le référentiel de compétences de la certification visée. Dans certains cas, la soutenance orale sera complétée par une mise en situation professionnelle (ex : Certificat de Qualification Professionnelle, titres professionnels délivrés par l’AFPA…).

Se fondant sur la lecture critique de votre dossier et votre soutenance orale, le jury statuera souverainement pour une validation totale, partielle ou nulle. En cas de validation partielle, les blocs de compétences validés sont obtenus sans limite de durée (sauf exception). Pour les blocs non validés, il vous sera proposé le plus souvent de suivre quelques modules d’enseignement pour combler les manques, d’acquérir une expérience dans le domaine concerné afin de compléter votre dossier ou d’enrichir votre dossier existant en valorisant mieux certaines compétences.

Validation des Acquis par l'Expérience

Bien entendu, vous n’êtes pas seul car Audavia peut vous accompagner tout au long de ces différentes étapes, si vous le souhaitez !
*Organisme qui délivre la certification professionnelle.

Formations et confiance en soi

Le monde professionnel actuel est en perpétuelle évolution : innovations, outils digitaux… Le temps où l’on avait le même métier toute sa vie n’est plus d’actualité. Les statistiques le prouvent, un jeune actif changera d’emploi entre 4 et 5 fois au cours de sa carrière (source INSEE).

Que ce soit en termes d’évolution professionnelle ou de reconversion, il est indispensable d’envisager votre parcours différemment que rattaché au même poste pendant toute votre carrière !

Pour valoriser au mieux vos compétences et prendre confiance en vous, il est important d’être accompagné dans cette démarche mais également d’envisager d’augmenter votre potentiel pour y parvenir.

Vous formez pour améliorer vos compétences

Afin de vous sentir plus à l’aise face aux différents changements qui touchent l’entreprise et le monde économique, la formation peut vous permettre d’augmenter votre champ de compétences. Tout le monde y gagne dans ce type de formation. Vous devenez plus performant et votre dirigeant peut vous octroyer davantage d’autonomie.

La montée en compétences peut se faire via 2 typologies de formations :

  • Le développement personnel : il s’agit dans ce cas d’apprentissages basés sur vous. Prendre conscience de vos atouts, savoir vous appuyez sur vos qualités, développer votre intelligence relationnelle, identifier vos limites, apprendre à parler en public, utiliser la critique pour performer… Prendre confiance en soi et ses compétences est essentiel pour se sentir bien en entreprise et améliorer sa productivité.
  • Le développement professionnel : il repose davantage sur les tâches qui incombent les salariés comme le management, le digital, l’informatique, la communication, la comptabilité etc. qui vous permettront d’être plus à l’aise dans votre poste ou de mieux communiquer avec les sphères professionnelles qui gravitent autour de votre poste.

Bien sûr, les 2 types de développement permettront d’améliorer vos connaissances, votre bien-être en entreprise et surtout votre confiance en vous !

La confiance en soi, clé de la réussite !

Quels que soient vos objectifs de progression ou de changement professionnel, il est indispensable de mesurer vos compétences ou vos acquis pour pouvoir les valoriser dans votre entreprise actuelle, dans une future société (via les entretiens de recrutement), et bien plus si vous envisagez une reconversion professionnelle.

La confiance en soi peut devenir aussi l’objet de la formation, comme le révélateur de ce que vous êtes. Il s’agit d’atteindre ses objectifs en investissant sur soi !

  • L’objectif : gagner en estime de soi. La développer et l’entretenir passe par la prise de conscience puis la mobilisation de ses propres ressources et de ses compétences. Par ailleurs, elle permet de se réaliser et d’aller au bout de ses projets.
  • A qui est-ce destiné ? Toute personne désireuse d’améliorer son efficacité propre et sa relation aux autres et au travail.
  • Au programme : Apprendre à reconnaître ses qualités et ses compétences, développer une attitude positive et confiante, devenir acteur de sa réussite.

N’hésitez pas, en complément de ces formations, à envisager un bilan de compétences, permettant également de mieux vous connaitre et de capitaliser sur vos atouts professionnels.

Se former tout au long de sa carrière professionnelle est essentiel. Vous pourrez ainsi gravir les échelons plus vite, mais aussi éviter, à partir d’un certain âge, le risque d’obsolescence de vos compétences ou le manque de réactivité face aux nouveautés professionnelles.

Gagner en confiance et en assurance peut donc passer par des formations de développement personnel, ou tout simplement par des formations pour améliorer vos acquits ou en apprendre de nouvelles choses.

C’est d’autant plus intéressant que de nombreuses formations peuvent être prises en charge par votre entreprise ou grâce à votre CPF ! Pour plus d’informations, consulter notre article « Comment financer sa formation ? ».

Pour tous renseignements complémentaires, contactez-nous au 0805 690 063 (appel gratuit) ou par e-mail (info@audavia.fr).

SEO, SEA, SEM, quelles sont les clés d’un bon référencement ?

De tous les outils marketing digitaux, le référencement est peut-être le plus important ou en tout cas le plus puissant car il permet de capter l’intention des internautes. Il est la clé d’une bonne visibilité sur internet et vous permet d’améliorer votre visibilité, le trafic sur votre site et même de transformer vos leads en ventes. SEO, SEA, SEM … tout cela vous parait très nébuleux ? Laissez-vous guider !

 

Quelques notions de vocabulaire :

 

Le SEO : Search Engine Optimization

C’est ce que l’on appelle en français le référencement naturel. C’est en quelques mots, l’optimisation de votre site internet (contenu, organisation, publications, arborescence, liens …) pour lui permettre d’apparaître dans les premiers, sur les différents moteurs de recherche, sans passer par la publicité financée.

Le SEA : Search Engine Advertising

Contrairement au SEO, le SEA c’est le développement de votre trafic sur site grâce à la publicité payante. Cela implique un investissement financier pour booster votre présence sur les différents moteurs de recherche. Ce sont par exemple les réponses à vos recherches Google qui apparaissent tout en haut ou tout en bas de vos pages résultats (SERP) après une recherche. C’est l’indication « Annonce » qui va vous permettre de différencier les résultats SEO ou SEA.

 

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Le SEM :

C’est la combinaison de ces deux stratégies marketing.

 

Le SEO, quels sont les secrets d’un bon référencement naturel ?

 

Dans la stratégie marketing d’une marque ou d’une entreprise le SEO ne doit pas être pris à la légère. Gratuit, si l’on ne compte pas le temps de travail de la personne en charge de son optimisation, il est un levier puissant pour apporter de la visibilité sur internet. A travailler sur la durée, on peut commencer à en apprécier les résultats généralement dans les 3 mois qui suivent le début des opérations. Le SEO est la somme de plusieurs techniques d’optimisation de votre site internet afin d’être considéré comme pertinent lors de la recherche d’un internaute par les différents moteurs de recherche. Il va donc falloir travailler sur plusieurs points pour qu’au fur et à mesure des recherches des internautes, Google (par exemple), analyse votre site et relève les changements effectués.
Les moteurs de recherche vont consommer le contenu de votre site comme ils liraient un livre. Il leur faut donc une structure claire avec des titres, des sous-titres, des références… afin de bien comprendre le sens des informations de votre site.

 

Le classement de votre site sur le moteur de recherche est donc le fruit d’un process d’analyse en 3 étapes par Google :

  • Le Crawl : c’est l’exploration par Google de l’ensemble des sites internet sur le web. C’est la première étape de sélection, qui mène à l’indexation. Tous les sites et les pages sont régulièrement passés en revue.
  • L’indexation : c’est l’extraction des contenus les plus pertinents par Google en fonction de la recherche effectuée.
  • Le positionnement : il fait suite à l’indexation et comme son nom l’indique c’est l’attribution d’une position à votre site suivant les usages et les recherches.

 

Afin de mettre toutes les chances de son côté, différentes choses doivent être soignées et travaillées sur votre site. Certains points sont visibles par les internautes (frontend) et d’autres ne le sont pas (backend).

En voici quelques exemples :

> Les balises titres (Balise Title)
> La méta description
> L’arborescence
> Le choix et l’utilisation des mots clés dans vos contenus (top, middle et long tail)
> L’utilisation de liens internes et externes

 

Les 3 piliers d’un bon référencement naturel sont :

–          La structure de votre site

–          Le contenu de votre site

–          Les liens de sites externes pointant sur votre site

 

Le SEA, ou l’art de se faire bien voir !

 

Comme expliqué dans la définition plus haut, le SEA est une stratégie de référencement payante qui fonctionne en complément du SEO. Chez Google (le moteur de recherche le plus utilisé en France), on va travailler Google Ads, une plateforme qui va permettre de mettre en place des campagnes d’achat de mots clés. Les campagnes Google Ads sont facilement exportable sur Microsoft Advertising pour s’afficher sur le moteur de recherche Bing.

 

En SEA, on va chercher à travailler sur 3 objectifs majeurs :

  1. La visibilité : la base du référencement naturel et payant. Sans elle, il sera impossible de générer du trafic, des contrats et de la notoriété.
  2. Le trafic : la deuxième étape clé du référencement. En effet, ce n’est pas le tout d’avoir un site qui apparait en tête des moteurs de recherche (même si cela est déjà un excellent début), mais il faut donner envie à l’internaute de cliquer et de venir le visiter.
  3. Le ROI (retour sur investissement) : une évidence ! Vous l’aurez compris, c’est donc le rapport entre votre investissement financier et ce qu’il vous rapporte. Cela va sans dire qu’il doit être positif !

En terme de référencement payant, il existe une multitude d’axes de travail et de techniques qui vont s’adapter à votre secteur d’activité, votre budget et vos objectifs.

 

Sur Google Ads, en quelques mots, la marche à suivre est la suivante :

  1. Vous déterminez à l’aide de professionnels et différents outils les mots clés qui sont important pour votre activité (ouvrez vos chakras et mettez-vous à la place de vos clients et de leur façon de rechercher vos produits / services). 
  2. Vous achetez ces mots clés sur Google Ads en y appliquant des enchères (le prix que vous êtes prêt à payer pour un clic sur votre annonce)
  3. Vous optimisez votre investissement avec des choix d’utilisation de votre budget suivant vos objectifs et votre rentabilité.

 

C’est grâce à de nombreux indicateurs (Impression, Clics, Taux de clic, Coût par clic, Conversions, Taux d’impression …) que vous pourrez lire et comprendre les résultats que cela vous apporte. Ainsi, il est possible de régulièrement revoir votre stratégie, de l’optimiser et la faire évoluer en fonction de ces statistiques, disponibles en temps réel.

Enfin, vous pouvez ajouter à cela l’optimisation de vos annonces textuelles, produit, dynamiques, illustrées / Display …. Pour rendre vos annonces les plus attractives sur le web !
Sur ce plan, il faut faire preuve d’imagination, bien étudier le comportement des internautes et se plier aux attentes de votre cible. Certaines marques n’hésitent pas à booster leur capital « attractivité »  avec des annonces de prix très attractifs, des démarques importantes, l’utilisation de « call to action » (verbes d’action destinés à inciter l’internaute à visiter votre site) tout en valorisant leurs annonces d’extensions permettant d’afficher des étoiles de notation, des photos, etc…

 

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La maîtrise du référencement, qu’il soit naturel ou payant est un art que seuls les initiés maîtrisent ! Faire appel à un professionnel pour mettre en place votre stratégie de référencement semble presque indispensable. Cependant, si vous souhaitez pouvoir faire le suivi de vos campagnes, mieux comprendre les secrets de cet art, Audavia vous propose des formations complètes et sur mesure avec des experts du SEO et SEA.

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