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Pérenniser le management à distance

Après vous avoir parlé de télétravail la semaine dernière, il nous semblait logique de vous informer sur les bonnes pratiques de management à distance. Le succès d’un télétravail épanoui et productif est en effet dépendant du management qui l’encadre.

 

Le management et son évolution

Apparu sous la forme d’une organisation scientifique du travail à l’époque de Taylor, le Management a beaucoup évolué au fil des années, suivant les crises économiques et les révolutions industrielles, digitales et humaines. Il est le lien déterminant entre la force de production et la direction d’une entreprise.

A ses débuts, le management a un objectif plutôt simple : optimisation du rendement de l’entreprise. En se basant sur des principes scientifiques et des calculs précis autour de la production, les têtes pensantes de l’époque ne tenaient pas vraiment compte de l’humain. A cette époque le Management impose une organisation qui rythme le temps de travail et permet de bien définir le rôle de chacun. Il est perçu comme un véritable bon dans la modernisation des méthodes de travail. C’est petit à petit que le management va devenir ce qu’il est aujourd’hui en rajoutant la valeur humaine à l’équation. Et si le bien-être au travail nous parait aujourd’hui comme un élément déterminant de l’efficacité et la productivité, il n’en a pas toujours été ainsi.

 

Les enjeux du management 

Le management en contact direct avec ses équipes n’est déjà pas simple, alors qu’en est-il à distance ? En effet, aujourd’hui le rôle du manager est de s’assurer que ses équipes soient au fait de leurs missions, que les process soient bien adoptés par tous mais aussi et surtout que ses équipes soient motivées !

Le job de Manager a en effet beaucoup évolué avec les années. Même s’il est toujours défini comme un chef d’équipe qui fait le lien entre les équipes et la direction, il a vu ses méthodes évoluer au même rythme que les valeurs humaines se sont imposées dans les entreprises. La rentabilité et le rendement restent des notions importantes mais cela ne doit plus être au détriment de l’humain. Ainsi, le manager moderne est un travailleur engagé dans la réussite de l’entreprise, proche de ses équipes et doté de charisme et de valeurs humaines. Pas simple me direz-vous de trouver cette perle rare ! Et pourtant, il en existe de plus en plus et ils sont les garants d’un climat de travail épanouissant et valorisant pour les salariés.

Les techniques de management ainsi que la physionomie de ses équipes évoluent avec le temps ce qui rend la mise en place de formations courtes et régulières presque indispensable à la réussite de la mission du manager. Ces formations vont permettre au Manager de découvrir régulièrement de nouvelles approches et méthodes, mais aussi de savoir s’adapter à de nombreuses situations comme la gestion des nouvelles générations.

En effet, l’une des clés de réussite du Management c’est la proximité avec les membres de son équipe. Bien connaître chaque membre est indispensable : qualités, défauts, missions, lieu de travail, organisation, etc… . C’est pourquoi, l’apparition aussi soudaine du travail à distance (télétravail) peut être un défi pour le manager. Comment rester proche lorsqu’on est loin ?

 

Nos conseils pour assurer un management efficace et pérenne à distance

Après avoir lu différents ouvrages, entendu des témoignages et avoir échangé sur le sujet avec certains de nos experts, voici quelques astuces et conseils pour pérenniser votre management à distance :

1°- Recommander à vos équipes d’installer un cadre de travail chez eux avec un bureau, un coin calme et isolé du reste de la vie de famille.

2°- Maintenir les règles de bienséances en commençant par se dire bonjour et en terminant la journée en se saluant. Ce petit geste qui peut paraître un peu dérisoire va vous permettre de maintenir une relation humaine avec vos équipes. Si on les supprime, il ne reste plus que les relations de travail et cela peut provoquer de l’agacement.

3°- Instaurer un climat de confiance. En effet, le défaut principal du manager à distance peut-être de trop contrôler ce que fait ses équipes. De vouloir absolument compter les heures ou mesurer la productivité. Vos équipes ne seront que plus motivées par votre confiance !

4°- Utiliser les derniers outils de communication numérique pour garder le contact. Echanger régulièrement en visio permet de garder une certaine proximité. Le téléphone est plus impersonnel. Attention toutefois de ne pas abuser de cet outil qui peut être considéré comme un peu intrusif pour certains.

5°- Prendre le temps de commencer les réunions et les calls par une prise de température de l’état d’esprit de chacun. Quelques minutes d’échanges sur des sujets non relatifs au travail vous permettront d’évaluer l’état d’esprit, le moral de vos troupes.

6°- Instaurer des règles de bonnes conduites comme le respect des horaires de travail pour se contacter, s’engager à se rappeler dans les 30 minutes, demander des rapports d’activité réguliers, proposer des réunions d’équipe et individuelles pour maintenir l’engagement.

7°- Ne pas hésiter à faire preuve d’imagination ou à sortir de sa zone de confort pour surprendre et garder le lien. Pensez par exemple à proposer la formation pour valoriser ce temps d’activité modéré, ou à proposer des réunions virtuelles non professionnelles pour remplacer la pause-café pendant lesquelles tout le monde se libère l’esprit.

N’hésitez pas à nous contacter pour discuter de nos formations en management qui vous aideront à maintenir le lien avec vos équipes.

Pour tout renseignement complémentaires, contactez-nous par mail au 0805 690 063 (appel gratuit)

Télétravail : entre découverte de libertés et désillusions

Vous en rêviez, la crise sanitaire l’a fait !

Blague à part, la période que nous traversons depuis deux mois a permis à certains de découvrir les avantages et les inconvénients de ce mode de travail qui semble se généraliser. Entendons-nous bien, la rapidité avec laquelle les entreprises ont dû s’adapter pour placer leurs salariés en sécurité à domicile, n’a souvent pas permis de garantir des conditions de travail optimales. Cependant, nous avons souhaité nous servir de cette actualité pour vous éclairer sur un mode de travail qui pourrait prendre une place de plus en plus importante dans nos vies professionnelles.

Le télétravail : ce que les salariés imaginent

Pour les salariés, en général, le télétravail rime avec luxe des indépendants et entrepreneurs. C’est la possibilité : de travailler tout en passant la journée avec son chien et son chat, de faire des pauses au grand air ou de pouvoir profiter de ses enfants le midi plutôt que de les mettre à la cantine.
Vous pourrez aussi organiser vos journées comme vous le souhaitez ! Les matinaux peuvent se mettre au travail dès 7h et finir en milieu de journée ; quand les autres prennent leur temps le matin et finissent leur journée après le dîner.
Mais surtout, pas besoin de subir les blagues un peu vaseuses de Patrice le matin à la machine à café, le regard plein de jugement de votre collègue lorsque vous entamez une tablette de chocolat à 11h ou même d’avoir à justifier les 5 pauses toilettes pour passer 5 min sur Instagram !

Le télétravail : ce que les employeurs imaginent

Évidemment, là encore, on fera une généralité vous l’aurez compris !

Avant que le Covid-19 n’apparaisse dans nos vies (et s’il veut disparaitre cela nous ira aussi !), pour un grand nombre d’employeurs, le télétravail était synonyme de :

  • Comment vais-je surveiller que les heures soient bien faites ?
  • Comment puis-je vraiment contrôler l’avancée des projets au quotidien ?
  • Si mon employé ne me voit pas quotidiennement, qu’en sera-t-il de son attachement à    l’entreprise ?

Bref, l’inquiétude principale pourrait se résumer à : comment garder le lien et manager mes salariés à distance ?

Le télétravail : ce que c’est vraiment !

Bon, arrêtons un peu les caricatures ! En effet, aujourd’hui de plus en plus d’employeurs font confiance à leurs salariés placés en télétravail, et ont bien compris les avantages de cette solution. Les salariés aussi savent bien que même si cela apporte une certaine liberté d’organisation, cela implique aussi une rigueur et une motivation indispensable pour que cela fonctionne. D’ailleurs, précisons que le télétravail n’implique pas forcément 5 jours à la maison. Cela peut-être que 1, 2 ou 3 jours par semaine. C’est souvent le meilleur compromis pour apporter autonomie aux salariés et conserver le lien avec l’entreprise. Faisons le tour ensemble des avantages et inconvénients pour chaque acteur :

Pour les salariés, un télétravail bien préparé et organisé (comme par exemple : (un bon accès internet, un ordinateur assez puissant pour gérer les gros dossiers, un espace de travail délimité à son domicile…) permet :

  • Un gain de temps non négligeable : pas de temps perdu dans les transports.
  • Un gain de productivité : par exemple pas de collègues trop bavards alors que vous avez une grosse présentation à rendre le lendemain. Sans les dérangements liés au travail en équipe, 1h à la maison vaut souvent 2h au bureau ! Si, bien entendu, les enfants ne sont pas là pour perturber 😉
  • Un gain en autonomie et rigueur : ce sont d’ailleurs les clés de la réussite du télétravail. L’employeur en accordant sa confiance au salarié, le valorise et lui confère une liberté qui améliore le sentiment d’épanouissement et de reconnaissance. Attention au revers de la médaille car la confiance peut vite se briser, si le salarié, enivré par sa liberté en oublie ses engagements.

Sachez tout de même que se retrouver seul chez soi, avec comme seul « ami » son ordinateur, peut parfois être difficile à gérer pour le salarié. Le contact humain et l’échange peuvent parfois manquer. L’isolement est l’une des raisons principales pour laquelle les salariés mettent fin au télétravail.

Pour l’employeur, la confiance qu’il accorde à ses employés peut réellement l’aider :

  • À garder un lien fort avec eux qui lui en seront reconnaissants. Un salarié épanoui est un salarié productif et fidèle.
  • À améliorer la productivité de l’entreprise.
  • À diminuer les frais de l’entreprise (loyer, matériel, chauffage, électricité …).
  • À améliorer son image.

Proposer le télétravail c’est aussi l’occasion pour l’entreprise d’ouvrir des postes à des salariés en situation de handicap qui n’auraient peut-être pas eu accès à l’entreprise autrement.

En résumé, le défi principal restera pour l’employeur de réussir à faire confiance à ses équipes à distance.

Le télétravail : ce que la formation professionnelle en pense

Chez Audavia, la majorité de nos formations sont en présentiel car nous avons pu constater que le rapport en face à face avec le formateur permet une meilleure acquisition des nouvelles compétences. Cependant, nous avons su, main dans la main avec nos experts, adapter nos méthodes pédagogiques et rendre les formations à distance les plus performantes possibles afin de répondre à d’autres besoins ou contraintes. En résumé, que vous soyez en télétravail ou au bureau, nous continuons à dispenser des formations sur mesure de qualité pour votre plus grande satisfaction !

En conclusion, nous constatons que l’urgence de ces derniers mois a accéléré la mise en place du télétravail pour bon nombre de salariés et pas toujours dans les meilleures conditions. Cette situation aura été enrichissante pour tous. En effet, cela a permis à certains employeurs de réaliser que le travail à distance était un peu comme une relation de couple. Pour que cela fonctionne il faut de la confiance, de la communication et aussi de la souplesse ! Quant aux salariés, certains ont réalisé que le travail à domicile n’était pas toujours facile et impliquait une organisation sans faille grâce à une bonne dose de rigueur !

N’hésitez pas à partager avec nous votre expérience du télétravail, afin que nous puissions constamment répondre à vos attentes au-travers de nos formations à distance.

Pour tout renseignement complémentaires, contactez-nous par mail au 0805 690 063 (appel gratuit)

Audavia adopte la Breizh Attitude dans le 29

Comme nous vous l’avions annoncé sur les réseaux sociaux il y a deux mois, nous sommes fiers et heureux d’avoir ouvert une nouvelle agence à Quimper en début d’année. Certes ce n’est pas le meilleur des timing, mais peu importe, ce n’est pas ce fameux Covid-19 qui va nous empêcher de rester proche de vous !

La Bretagne ok, mais pourquoi ?

La Breizh’ Agence d’Audavia c’est le fruit d’une réflexion commune et d’un projet personnel :

> La réflexion commune – c’est indéniable, la région Bretagne attire de plus en plus et la nouvelle génération entrepreneuriale est en route.  L’économie bretonne se développe et par conséquent, les besoins en formation aussi. Riches des valeurs des anciens et forts d’une soif insatiable de valoriser leurs savoir-faire, les bretons ont le vent en poupe et ne manquent pas d’imagination.

> Le projet personnel – Après 10 ans de vie entre Bordeaux et le Bassin d’Arcachon, Marie-Philippine LEFEVRE, en charge du développement d’Audavia Bretagne, a eu envie de changer de vie pour s’installer dans le Finistère. C’est à Pont l’Abbé, capitale du pays Bigouden qu’elle pose ses valises, entre mer et nature, inspirée par le dynamisme local. C’est donc au mois de Janvier qu’elle s’installe et commence à travailler avec l’équipe Audavia sur l’ouverture d’une agence dans le Finistère.

Audavia Bretagne, une agence au carrefour de l’économie locale

 

Bureau Quimper

 

Nos formateurs se déplacent également au sein de votre entreprise pour réaliser la formation, voire même à domicile ou à distance. Et oui, la crise a eu cet effet positif d’optimiser nos méthodes pédagogiques pour s’adapter à la situation mais aussi à vos besoins.

Notre objectif ? Proposer des formations sur tout le territoire breton et pourquoi pas même sur la région nantaise.

D’ailleurs Nantes Bretagne ou non ?

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Les OPCA deviennent des OPCO

Depuis le 1er avril 2019, les OPCA (Organismes Paritaires Collecteurs Agréés) ont laissé la place à 11 nouveaux acteurs de la formation professionnelle via les OPCO (Opérateurs de Compétences). Qui sont-ils ? Qu’ont apporté ces changements ?

Rappel : qu’est-ce qu’étaient les OPCA ?

Il s’agissait d’Organismes Paritaires Collecteurs Agréés, autrement dit des structures associatives dont le rôle principal était de gérer la collecte effectuée auprès des entreprises pour la formation professionnelle et sa redistribution sous forme de budget formation.
L’OPCA était donc un interlocuteur central des entreprises en matière de financement de la formation et de la professionnalisation des entreprises.

Nouveauté : l’OPCO

Définition

C’est un Opérateur de Compétences. Son objectif principal est d’aider davantage les entreprises en simplifiant et en rendant plus claire l’accès à la formation professionnelle.

Rôles et missions de ces OPCO

  • Assurer le financement des contrats : d’apprentissage, de professionnalisation.
  • Accompagner les branches professionnelles, notamment pour :
  • Réaliser la gestion prévisionnelle de l’emploi et des compétences (GPEC),
  • Évaluer le niveau de prise en charge des contrats d’apprentissage et de professionnalisation,
  • Construire des référentiels de certification afin d’établir les capacités, les compétences, les   savoirs exigés pour l’obtention de la certification souhaitée.
  • Encourager la transition professionnelle des salariés.
  • Proposer un accompagnement, d’une part, financier aux entreprises de moins de 50 salariés et d’autre part informatif aux salariés et employeurs en matière de formation professionnelle.

Les changements entre OPCA et OPCO

On peut répertorier 3 grands axes de différenciation :

  • La gouvernance : un représentant du gouvernement assistera aux conseils d’administration de ces associations afin de mieux en comprendre le fonctionnement et les besoins.
  • La redéfinition des rôles, évoquée ci-dessus.
  • La quantité d’organismes, avec une réduction à 11 opérateurs.

Listing des 11 OPCO avec équivalence OPCA

  • OPCOmmerce (anciennement FORCO) : regroupant 21 branches, où on retrouve la distribution, le négoce, la photographie, le commerce de gros et au détail, etc.
  • OPCO ATLAS (regroupant la Fafiec et Opcabaia) : pour les secteurs de la banque, l’assurance, le conseil aux entreprises, les géomètres…
  • OPCO AFDAS : pour la culture, l’industrie créative, les médias, la communication, les télécommunications, le sport, le tourisme, les loisirs et le divertissement…
  • Uniformation: est dédié comme auparavant à de la cohésion sociale. Sont regroupés : les centres sociaux culturels, l’animation, les régies de quartier, la Sécurité Sociale…
  • OPCO EP Entreprises de Proximité (ex Actalians et Agefos PME) : pour les entreprises artisanales, des professions libérales et des services de proximité.
  • AKTO (ex ESSFIMO, FAFIH, Intergros et FAF-TT) : pour les services à forte intensité de main d’œuvre.
  • OCAPIAT (ex FAFSEA et Opcalim) : les secteurs concernés sont les Coopérations Agricoles, l’Agriculture, la Pêche, l’Industrie Agro-alimentaire et les Territoires…
  • OPCO 2i (ex 3+, OPCA Défi et également Opcalia) : regroupe les compétences de l’industrie, la métallurgie, l’électricité ou le pétrole et le textile, etc.
  • Constructys : consacré à la sphère du bâtiment, des travaux publics, du négoce de bois d’œuvre…
  • Mobilité : comme son nom l’indique pour les différents services de transports (maritime, aérien, ferroviaire), le tourisme et l’automobile.
  • Santé: regroupe les professions de la santé et médico-social.

Aujourd’hui les sociétés sont rattachées à un OPCO en fonction de leur activité principale déterminée par le ministère grâce au code IDCC à 4 chiffres, lors de l’établissement de la convention collective adéquate.
Cette transformation engendre de nombreux bouleversements dans le domaine de la formation professionnelle. Le passage des OPCA en OPCO a pour objectif de simplifier l’accès à la formation professionnelle, ainsi que les conditions de son financement. En effet, l’attribution d’un budget ne sera plus en lien avec le secteur ou les branches, mais identique entre les métiers et entreprises.

A savoir :

Jusqu’à la date d’entrée en vigueur des dispositions relatives à la collecte par l’Urssaf ou la MSA, et au plus tard jusqu’au 31 décembre 2020, les OPCO sont agréés pour collecter les contributions des employeurs au titre du financement de la formation professionnelle et de l’alternance.
Jusqu’au 1er janvier 2021, les OPCO s’assurent, lorsqu’ils financent une action de formation professionnelle et sur la base de critères définis par décret en Conseil d’État, de la capacité du prestataire de formation à dispenser une formation de qualité.

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L’aventure de la création d’entreprise

En 2019, ce sont plus de 800 000 créations d’entreprises qui ont vu le jour en France. Il y a mille et une raisons d’entreprendre : reconversion professionnelle, changements familiaux, besoin de nouveaux challenges, recherche d’indépendance, désir d’accomplissement personnel, envie de créer son propre travail…
La réussite réside souvent dans la manière dont est mise en œuvre cette création d’entreprise. Chaque étape d’un tel projet professionnel est une marche de plus vers le succès. Rien ne peut vous garantir le résultat et la prospérité de votre projet, mais nous vous délivrons quelques conseils pour vous accompagner au mieux dans cette aventure :

Préparer son projet

La durée de cette phase est assez variable entre deux projets, parfois quelques mois ou dans certains cas, s’il y a des aspects très techniques par exemple, quelques années. La PATIENCE est donc une des qualités premières dans un lancement. Il faut laisser du temps au temps pour évaluer et affiner :

  • Les objectifs : financiers, personnels, de développement…
  • Le marché, avec un business plan réaliste
  • La stratégie, pour avoir un fil conducteur à suivre non seulement au lancement de votre activité, mais aussi pour accompagner son développement.

Définir les besoins

La création d’entreprise nécessite un projet solide avec différents paliers. Afin de pouvoir construire le plan il est indispensable d’en évaluer le coût : au lancement, à moyen terme ainsi qu’à long terme. Votre business plan est un outil indispensable à ces calculs, si possible le plus réaliste possible, voire en prévoyant une version avec des résultats un peu pessimistes au lancement, afin d’éviter les mauvaises surprises en termes de trésorerie.
Pour financer votre projet, différentes solutions s’offrent à vous : prêt bancaire, crowdfunding, investisseurs…

Savoir s’entourer

Que l’on créé une société, seul(e) ou avec un ou plusieurs associé(e)s, il est important de bien définir le type de prestataires qui vont, sur les mois/années à venir, vous conseiller et vous accompagner. Bien entendu, dans le cadre d’une association, il est indispensable de réfléchir aux objectifs, besoins et attentes de chacun. Afin d’éviter les déconvenues, mieux vaut prévoir que tous soient protégés par des accords officiels, comme un pacte d’associés.

Échanger, partager

Dans certains cas, même en ayant des collaborateurs, l’entrepreneur se trouve isolé et manque de ce fait d’informations ou de connaissances qui pourraient l’aider à mieux piloter son entreprise. Il est donc fortement recommandé de développer son réseau, de s’informer sur les rencontres et autres événements autour de entrepreneuriat ou du métier exercé, mais aussi de se former. Vous pouvez vous rapprocher de spécialistes de la formation ainsi que de votre Chambre du commerce et d’industrie, ou de votre Chambre de métiers et de l’artisanat …

Avoir des outils de gestion

Piloter une entreprise, qu’elle soit individuelle ou collective, est un travail ininterrompu, qui nécessite d’être en permanence au plus près des aspects concrets de son évolution. Il est donc important de créer ou d’utiliser des tableaux de bord qui vous permettront de driver plus facilement les choses. Choisissez quelques indicateurs de performance qui vous permettront d’avoir une vue d’ensemble en prenant de la hauteur par rapport aux tâches quotidiennes, et surtout de prendre les meilleures décisions, même dans l’urgence.

Définir son ou ses pôles de compétences

L’erreur souvent commise par les jeunes entrepreneurs est de vouloir tout faire et de très peu sous-traiter, notamment pour faire des économies en période de lancement, ou parce qu’ils souhaitent tout contrôler de A à Z. Une entreprise, c’est avant tout une ou des personne(s). Ce potentiel humain doit être évalué :

  • commercial,
  • financier,
  • communiquant,
  • profil technique…

Chaque rôle doit être bien défini, afin que les besoins que l’expertise en interne ne permet pas de combler soit sous-traités. Le seul objectif doit être d’optimiser votre valeur ajoutée, votre temps et vos performances.
Malgré cette analyse des aptitudes, n’ayez pas peur de devenir pluridisciplinaire. En effet, la création d’entreprise nécessite souvent d’ouvrir ses champs de compétences pour mieux manager, créer, innover, investir… Il est donc souvent très utile de compléter son cursus par des formations :

Renseignez-vous pour être accompagné(e) au mieux dans le développement de votre projet !

Si on devait vous donner un dernier conseil avant que vous ne vous lanciez : tout est un juste dosage entre savoir-faire et savoir faire faire ! Veillez à être formé et informé en permanence pour mieux suivre et développer votre business.

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La communication en temps de crise

Nous vivons actuellement une période inédite en France et dans le monde. Certaines structures sont fermées, d’autres en activité réduite. Les crises comme celle dont nous faisons l’expérience, font partie, à différentes échelles, de la vie de la société et de ses entreprises.
Voici quelques astuces pour continuer à travailler sur votre visibilité en période de crise.

La communication interne

Souvent, le premier enjeu de l’entreprise face à un événement inédit ou problématique est de pouvoir garder le lien avec et entre ses collaborateurs et de continuer à impulser une dynamique de groupe. Dans le cas actuel et concret du confinement en France, il s’agit de :

  • Tenir les salariés informés des mesures prises et des raisons de celles-ci
  • Garder le lien, prendre des nouvelles, pour conserver l’investissement des équipes
  • Créer de la convivialité, au même titre qu’un événement d’entreprise, en prévoyant un temps dédié à l’échange informel pour maintenir la cohésion et ne laisser personne en difficulté. Vous pouvez proposer un rendez-vous récurrent autour d’un café-visio par exemple !

Bien communiquer auprès des membres de votre entreprise c’est assurer le bien-être de ces derniers, qui donneront également une bonne image de votre enseigne et de sa capacité à rebondir en cas de besoin.
Une fois que la stratégie dédiée à la communication auprès des collaborateurs est verrouillée, vous pouvez entamer la deuxième phase, la communication externe.

Communiquer auprès de ses clients en période de crise

Que ce soit dans le contexte actuel du coronavirus ou face à d’autres événements difficiles, il est important que l’entreprise adapte au plus vite son discours et sa communication sur les différents supports qu’elle possède.

Diffuser un message sur la situation de l’entreprise

Avant toute chose, il est nécessaire de faire un bilan de la situation, d’établir une liste des points à aborder pour en faire part à vos clients, partenaires, contacts et prospects.
Utilisez dans ce cas vos supports habituels : site internet, réseaux sociaux, newsletter… Le premier message envoyé doit être un constat avec les conséquences éventuelles pour la cible du message : « Face à la crise sanitaire du covid-19 nous sommes dans l’obligation, pour la sécurité de nos clients et collaborateurs, de repenser notre organisation. Nous vous tenons informés de la situation… »
Une fois que vous avez bien mesuré les conséquences et les enjeux pour votre entreprise, gardez le lien, c’est l’axe principal de votre communication. Voici quelques clés pour préparer au mieux vos messages :

– Une annonce claire et brève
– Un regard optimiste, tout en restant objectif et réaliste
– Des exemples concrets
– De la bienveillance

Se réinventer en période de crise

Malgré les nombreuses conséquences négatives que peuvent subir les entreprises ainsi que les clients dans des périodes telles que celle que nous vivons actuellement, il y a souvent une phase de recul. Passé l’orage, l’Homme, et donc les entreprises, ont une grande capacité d’adaptabilité.
Créer, inventer, innover… Autant de qualités qui vont vous permettre de rebondir et de le faire savoir: proposition de rendez-vous en visioconférence, inscription à des formations , création de nouveaux supports de communication… En faisant de la crise un temps de veille, de remise en question, vous ferez émerger des nouvelles choses, très positives, pour valoriser votre entreprise et ainsi COMMUNIQUER.
Vient ensuite la période de la reconstruction, qu’il faudra elle aussi veiller à valoriser dans votre stratégie de communication.

Relancer l’activité : un message fort

Une fois le cyclone passé, il faudra reprendre au mieux votre activité. Grâce au lien que vous aurez su conserver avec votre audience : réseaux sociaux, vidéos, échanges… vous pourrez plus facilement recouvrer le cours de la vie de l’entreprise, étant plus forts de cette expérience.

Quelle qu’elle soit, une entreprise passe toujours par des périodes atypiques, plus ou moins difficiles. L’essentiel réside dans le fait de garder le contact, d’être disponible pour vos interlocuteurs et surtout d’être transparents. La stratégie de communication est au cœur de ces problématiques et représente un outil incontournable pour pouvoir rebondir plus vite et dans de meilleures conditions.

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Le Bilan de Compétences : prenez conscience de votre valeur professionnelle !

« J’ai effectué mon bilan de compétences à un moment où j’avais un réel besoin de faire une pause professionnelle et de remettre tout à plat. Arrivé au terme du bilan, je ne peux que recommander cette démarche. Tout le travail effectué m’aura aidé à prendre conscience de ce que je vaux et reprendre confiance en moi. »  Antoine, 33 ans.

Que vous soyez comme Antoine avec un besoin de remise à plat ou un besoin de mettre du sens dans votre activité professionnelle ou encore un besoin de valider un projet qui vous tient à cœur, la démarche du bilan de compétences est faite pour vous ! Découvrez ci-essous les conseils de Caroline Bijaque, experte en bilan de compétences et dirigeante de My First Agency.

Un bilan qui ne porte pas bien son nom

Comme son nom ne l’indique pas, un Bilan de Compétences est bien plus qu’un bilan de compétences. Oui bien sûr, il est indispensable de prendre conscience de ses savoirs, savoir-faire et savoir-être acquis et développés pendant toutes ces années d’expériences. Définir son portefeuille de compétences et l’analyser pour construire sa fiche de poste idéal fait partie intégrante du processus.

Pour en donner une définition plus précise, le Bilan de Compétences est une démarche de gestion de son évolution de carrière. Elle permet de se plonger dans une réflexion introspective, d’élaborer un nouveau challenge professionnel et d’enclencher la prise de décision et le passage à l’action.

Elle est organisée en 3 phases, peut durer jusqu’à 24h et alterne entre séances face à face et travail personnel.

  • Elle démarre avec la phase préliminaire pendant laquelle le coach pose le cadre, fixe avec son bénéficiaire l’objectif du bilan de façon SMART (Spécifique – Mesurable – Ambitieux – Réalisable – Temporel) t présente les documents de travail et les tests qui lui seront proposés.
  • La phase principale est ce qu’on appelle la phase d’investigation qui sera détaillée un peu plus bas.
  • Elle se termine avec la phase de conclusion durant laquelle le coach fait le bilan du bilan avec son bénéficiaire, valide le plan d’action ainsi que le document de synthèse.

Se reconnecter à soi pour mieux trouver sa place

La phase d’investigation est le cœur du Bilan et se décompose en 2 parties :

  • L’exploration de soi : en plus de traiter les compétences acquises et d’identifier le potentiel, permet de faire émerger ses motivations clés afin de mieux comprendre ce qui nous anime profondément. C’est le moment pour réactualiser son système de valeurs, de libérer les croyances qui nous limitent et de s’appuyer sur ses moteurs et également de mieux comprendre son mode de fonctionnement à l’aide de tests de personnalité et de motivation (Strong, Ennéagramme, StrenghtsFinder, 360°, RIASEC).
  • L’exploration du marché : elle permet de déterminer des pistes d’évolution professionnelle en adéquation avec notre identité. Rassembler des informations pertinentes sur le marché, rencontrer des professionnels vous permettra de déterminer avec votre coach un projet professionnel et/ou de formation motivant, réaliste et réalisable. Nous vous aidons également à booster vos outils de communication (CV, LM, LKD) et nous vous accompagnons sur la préparation de vos entretiens de recrutement (Pitch, Simulation).

Les « PLUS » d’Audavia

Chez Audavia, nous considérons le Bilan de Compétences comme une vraie démarche de coaching qui va vous permettre d’aller en profondeur pour ainsi trouver votre juste place sur le marché du travail. Tous nos intervenants sont des coachs professionnels certifiés et formés à la gestion de carrière. Ils ont chacun leurs spécificités et vous pouvez d’ores et déjà les rencontrer lors d’un entretien d’1h gratuit et sans engagement.

Le Bilan de Compétences est une formation en présentiel, également possible à distance et bien sûr éligible CPF. Alors il vous suffit de nous contacter par téléphone au 0805 690 063 (appel gratuit) ou bien par e-mail info@audavia.fr afin que nous discutions ensemble de votre besoin et votre budget.

Si vous mobilisez votre CPF (Compte Personnel de Formation), nous vous enverrons le lien pour vous inscrire directement via votre espace et quelques clics plus tard vous pourrez démarrer votre formation !

Pour tout renseignement complémentaires, contactez-nous par mail au 0805 690 063 (appel gratuit)

Confinement : formation en langue étrangère

Confinement, chômage partiel … c’est le bon moment pour apprendre une autre langue !

« Depuis quelques mois, la société qui m’emploi se développe et je suis de plus en plus amenée à échanger avec des collaborateurs anglophones. Mon niveau d’anglais actuel risque de me freiner dans mon évolution professionnelle au sein de cette société. » Valérie, 34 ans, Bordeaux.

De nombreux salariés se retrouvent régulièrement dans la situation de Valérie que ce soit en anglais ou une autre langue étrangère.

Ils sont motivés, connaissent parfaitement les ficelles de leur activité, mais leur niveau en langue étrangère ne suit pas l’évolution de leur entreprise. Le manque de temps et de budget sont souvent de bonnes excuses pour ne pas se former. Mais en ce temps de crise sanitaire, et avec l’accès personnel au CPF : plus d’excuses !

La formation à distance peut-être la solution !

Vous le savez, chez Audavia, nous privilégions la formation en face à face. Cependant, dans ce contexte de confinement, nous nous adaptons à vos besoins pour vous assurer qualité de formation et sécurité. En effet, nous vous proposons de suivre des formations sur mesure à distance avec nos coachs linguistiques tous natifs.

Les langues sont le sujet de formation par excellence qui peut être enseigné à distance sans pénaliser la qualité de l’enseignement. Nous ne parlons pas d’e-learning, mais bien de formation individuelle, avec un formateur qui adapte son programme à vos besoins via des outils de télécommunication tels que Skype, Google Meet, Hangouts, Teams, etc.

En fonctionnant ainsi, vous conservez le contact direct avec votre formateur pour un échange constructif comme en réel et vous organiser, avec beaucoup de souplesse, votre emploi du temps directement avec votre coach en fonction de votre nouvelle organisation dû de confinement.

Se former en langue avec Audavia, c’est prendre le temps de booster ses connaissances linguistiques, améliorer son niveau de confiance en soi pour des échanges avec l’international et s’offrir l’occasion de valider ces nouveaux acquis par un test reconnu par votre employeur et/ou les recruteurs (ex : TOEIC, BULATS Linguaskill, Bright Language, etc…).

Une formation sur mesure individuelle chez soi financée par votre CPF !

Non seulement, nous nous adaptons à vos besoins et à la situation particulière entraînée par le Covid-19, mais également à votre budget. Toutes nos formations en langues (Anglais, Italien, Espagnol, Allemand, Chinois, etc…) sont éligibles CPF.

Vous avez juste à nous contacter par téléphone au 0805 690 063 (appel gratuit) ou bien par e-mail info@audavia.fr afin que nous discutions ensemble de votre besoin et votre budget. A la suite de cela, nous vous enverrons le lien pour vous inscrire directement via votre espace CPF et quelques clics plus tard vous pourrez démarrer votre formation !

Bref, vous l’aurez compris : que votre projet soit tout simplement de valider votre niveau via un test reconnu, ou que vous souhaitiez épater votre N+1 lors de votre retour au bureau, Audavia a une formation linguistique pour vous !

 Pour tout renseignement complémentaires, contactez-nous par mail au 0805 690 063 (appel gratuit)

Gonflez votre budget CPF grâce à vos heures de DIF

Nous vous avions partager un article début février à ce sujet et nous souhaitons revenir ce jour sur ce sujet qui pourrait bien vous permettre de gonfler votre budget disponible sur votre compte CPF ! En effet, lors de la création de votre compte CPF vous découvrez directement un budget de formation disponible qui ne tient pas compte de vos heures de DIF.

Les heures de DIF sont les heures comptabilisées si vous étiez salarié(e) avant le 31 Décembre 2014. L’ancien système de droit à la formation permettait aux salariés de cumuler des heures à hauteur de 20h par an, pendant 6 ans maximum et donc avec un budget ne pouvant dépasser les 120h.

Ces heures peuvent être additionnées à votre budget CPF à condition de les saisir sur votre espace personnel avant le 31 Décembre 2020. Pour cela, il vous suffit de retrouver votre bulletin de salaire de Décembre 2014 ou de Janvier 2015, ou une attestation de droits au DIF fournie par votre employeur de l’époque, voir même sur votre solde de tout compte si vous avez quitté l’entreprise depuis.

Nous souhaitons attirer votre attention sur cette date car une fois passées, vos heures de DIF seront définitivement perdues !

Rappel :
Le compte CPF permet aux salariés d’accéder à la formation professionnelle librement grâce à un budget directement mis à leur disposition sur un compte personnel : https://www.moncompteformation.gouv.fr

En ce contexte de crise sanitaire et de confinement, nos formateurs s’adaptent en vous proposant des formations en visio-conférence. N’hésitez pas à nous contacter pour vous accompagner sur un projet de formation adapté à votre budget et à vos disponibilités.

 Pour tout renseignement complémentaires, contactez-nous par mail au 0805 690 063 (appel gratuit)

BULATS devient LINGUASKILL

Le Bulats (Business Language Testing Service) figurait parmi les certifications en langue les plus recommandées dans le cadre professionnel. Avec un test orienté business, il permet à chacun d’attester d’un niveau d’anglais bien connu des recruteurs lorsque l’on souhaite travailler sur le marché international.

Depuis Septembre 2018 un nouveau test, également conçu par l’Université de Cambridge est apparu : le Linguaskill. Après quelques mois de cohabitation, le Linguaskill prend désormais totalement le relais sur le BULATS. Avec de nombreux points communs, le Linguaskill apparaît comme une version modernisée du BULATS.

Une modernisation au service de la précision

L’un des points fort de ce nouveau test est son adaptabilité à chaque candidat. En effet, le test Linguaskill adapte le niveau de ses questions au fur et à mesure du test pour affiner sa notation et mieux répondre au besoin des entreprises. Plus le candidat a de bonnes réponses, plus le niveau du test augmente et inversement. Ainsi, on obtient un test personnalisé qui limite les possibilités de fraudes puisque les questions d’adaptent au niveau de chacun.

Parmi les autres différences on va trouver les deux variantes de tests Linguaskill :

– Linguaskill Général qui comme son nom l’indique est plus généraliste.

– Linguaskill Business, le plus proche de l’ancien BULATS, un test plus adapté au monde de l’entreprise.

On retrouve, comme avec le BULATS les trois modules suivants : l’épreuve de compréhension écrite et orale (1h à 1h20 sous forme de QCM), expression écrite (45 min autours de deux textes) et expression orale (15 min, au micro) ; qui peuvent être passés à la suite ou séparément.

Ce qu’il faut donc retenir c’est que l’incontournable certification BULATS a été remplacée par le Linguaskill, un test plus moderne, personnalisé et plus court ; toujours finançable avec le CPF et dont la formation fait partie du catalogue Audavia !

Pour tout renseignement complémentaires, contactez-nous par mail au 0805 690 063 (appel gratuit)