Archives de l’auteur : Caroline Potié

Outils digitaux utiles en gestion de projet

Quels sont les outils digitaux utiles en gestion de projet ?

Lors du pilotage d’un projet, le chef de projet a de nombreuses responsabilités : organisation des tâches, gestion des équipes, animation du travail collaboratif, respect des délais… Les outils digitaux peuvent être très utiles pour aider le chef de projet y compris lors de l’utilisation de l’approche agile. Quels sont les outils à disposition du chef de projet ? Comment les choisir ?

Les outils d’organisation et de brainstorming

Les outils d’organisation du projet servent à élaborer le projet dans les grandes lignes et à comprendre à quel besoin ou problème il répond. Dans cette phase, les équipes ont besoin d’échanger, de brainstormer et de trouver des solutions innovantes, les outils doivent donc les aider dans cette démarche.

Miro

Miro se distingue en tant qu’outil de brainstorming par sa capacité à faciliter la collaboration en temps réel au sein des équipes de projet. En plus de permettre la création de cartes mentales, il offre des tableaux blancs virtuels qui étendent les possibilités de visualisation et de discussion. Cette plateforme peut être intégrée à de nombreux autres outils, favorisant ainsi une expérience de gestion de projet fluide. Grâce à ses fonctionnalités avancées, Miro se positionne comme un choix idéal pour les équipes travaillant à distance, offrant une solution visuelle pour la planification et l’exécution de projets complexes.

XMind

XMind se démarque par sa polyvalence dans la création de structures de cartes mentales. Cet outil offre une variété d’options pour organiser les idées, allant des structures arborescentes traditionnelles aux cartes radiales innovantes. L’avantage de XMind réside dans sa capacité à s’adapter à divers scénarios de gestion de projet, permettant aux utilisateurs de choisir la structure qui convient le mieux à leurs besoins. XMind propose des fonctionnalités avancées, telles que l’intégration avec d’autres outils de gestion de projet contribuant à une planification détaillée et à une communication efficace au sein de l’équipe.

MindMeister

MindMeister étant basé sur le cloud, il permet la collaboration en ligne et offre la possibilité de créer des cartes mentales de manière collaborative en temps réel, ce qui est particulièrement avantageux pour les équipes ne travaillant pas depuis le même endroit. La plateforme facilite également le partage et la discussion en temps réel, ce qui contribue à une compréhension commune des objectifs et des tâches du projet.

Les outils de communication et de partage de données indispensables

Les outils de communication collaboratifs servent d’une part à valider l’une des idées trouvées lors de la phase d’initialisation comme solution au besoin de l’entreprise, et d’autre part à communiquer des informations et/ou améliorations essentielles tout au long du projet. Lors de la phase d’initiation, le chef de projet constituera une équipe projet, des outils collaboratifs sont donc nécessaires pour permettre à cette équipe d’échanger et collaborer tout au long du projet.

Slack

Slack est une plateforme de communication collaborative incontournable en gestion de projet. Elle permet la création de canaux de discussion dédiés aux différents aspects du projet, facilitant ainsi la communication transparente au sein de l’équipe. L’intégration de Slack avec d’autres outils de gestion de projet permet également de centraliser les informations. Les fonctionnalités telles que les fils de discussion, les notifications en temps réel et l’intégration de bots en font un outil idéal pour la coordination et la collaboration au cours de l’exécution du projet.

Microsoft Teams

Microsoft Teams offre une approche intégrée à la gestion de projet, combinant communication, collaboration et outils de productivité au sein d’une seule plateforme. Les équipes peuvent créer des canaux spécifiques au projet, organiser des réunions virtuelles, partager des fichiers et collaborer en temps réel sur des documents. L’intégration étroite avec d’autres applications Microsoft, comme SharePoint et Planner, renforce la capacité de Teams à aider dans la gestion des différentes phases d’un projet, de la planification à la finalisation.

Google Drive

Google Drive offre une solution cloud pour le stockage et le partage de documents en gestion de projet. En tant qu’outil centralisé, il permet aux équipes de créer, éditer et collaborer sur des documents en temps réel. Les fonctionnalités telles que les commentaires, la gestion des versions et l’intégration avec d’autres services Google, comme Google Docs et Google Sheets, facilitent la collaboration et la documentation tout au long du projet.

Dropbox

Dropbox est une solution de stockage cloud. En gestion de projet, Dropbox permet le partage facile de fichiers, la collaboration en temps réel et la synchronisation sur divers appareils. Les fonctionnalités avancées telles que l’historique des versions et les autorisations d’accès garantissent un contrôle efficace des documents du projet.

Airtable

Airtable combine les avantages d’une base de données avec la facilité d’utilisation d’un tableau. Cela en fait un outil polyvalent pour la gestion de projet, permettant de suivre les tâches, les échéances et les ressources de manière visuelle. Les fonctionnalités de filtrage, de tri et de collaboration en temps réel fluidifient la gestion de données complexes et offrent une vue globale et détaillée du projet.

Trello

Trello est un outil simple d’utilisation grâce à son approche visuelle du suivi des tâches. En utilisant des tableaux type Kanban, Trello permet aux équipes de créer des cartes pour chaque tâche, les déplaçant à travers des colonnes (listes) pour représenter leur progression. Cet outil facilite la visualisation rapide de l’état des tâches et encourage la collaboration. Avec des fonctionnalités telles que les dates d’échéance, les étiquettes et les commentaires, Trello offre une solution flexible pour la gestion des tâches et la coordination d’équipe.

La phase de finalisation du projet, une étape primordiale pour évaluer l’efficacité

La finalisation du projet consiste à analyser les résultats une fois que celui-ci est terminé à l’aide d’indicateurs de performance (KPI’s) mais également connaître l’avis des collaborateurs sur le projet. Pour cela, le chef de projet peut conduire une réunion de fin de projet mais également faire passer un Google Forms à l’ensemble des collaborateurs afin qu’ils puissent donner leur avis de façon individuelle. Google Forms offre une multitude de fonctionnalités (questions ouvertes ou à choix multiples, gestion en temps réel des réponses, facilité de création et d’utilisation…).

Les outils digitaux permettent au chef de projet de mieux piloter un projet quel qu’il soit. Cette liste d’outils est non exhaustive, chaque chef de projet peut choisir ceux qui lui correspondent le mieux.

Pour tous renseignements complémentaires, contactez-nous au 0805 690 063 (appel gratuit) ou par e-mail (info@audavia.fr). Audavia est certifié QUALIOPI.

La méthode agile en gestion de projet

Qu’est-ce que l’approche agile en gestion de projet ?

L’approche agile –  à tort parfois qualifiée de « méthode » – est un terme souvent employé en gestion de projet, comment la définir ? Quels sont ses avantages en gestion de projet ? Qui peut l’utiliser ? Audavia Formation répond à toutes vos interrogations dans cet article.

Qu’est-ce que l’approche agile ?

L’approche agile est une approche de gestion de projet qui reflète un état d’esprit plus qu’une méthode ou une recette toute prête. Elle met l’accent sur la flexibilité, la collaboration et l’adaptabilité aux changements. Contrairement aux méthodologies traditionnelles de gestion de projet, l’agilité favorise des cycles de développement courts, des équipes auto-organisées et une communication continue entre les membres de l’équipe et les parties prenantes. Elle repose sur des principes tels que la réactivité aux changements et la livraison régulière de fonctionnalités permettant aux équipes de s’adapter rapidement aux évolutions du projet. La méthode agile vise à mettre l’humain au cœur des actions en communiquant, en fédérant les équipes et en attribuant à chacun, un rôle important au sein du projet.

Les avantages de l’approche agile en gestion de projet

L’approche agile présente plusieurs avantages significatifs en gestion de projet, contribuant à son adoption croissante dans divers secteurs.

  1. Adaptabilité aux changements : l’agilité permet de répondre efficacement aux changements pouvant survenir au cours du projet, qu’ils proviennent des clients, des parties prenantes ou des évolutions du marché. Les équipes agiles sont capables de s’ajuster rapidement, assurant ainsi une meilleure réactivité aux besoins changeants ;
  2. Livraison régulière : la méthode agile favorise la livraison régulière de résultats appelés itérations ou sprints. Cela permet aux parties prenantes de voir rapidement des résultats tangibles et facilite l’identification précoce des problèmes, améliorant ainsi la satisfaction client ;
  3. Collaboration renforcée : l’agilité encourage la collaboration étroite entre les membres de l’équipe. Des interactions fréquentes et une communication ouverte favorisent une compréhension commune des objectifs et des défis, renforçant ainsi l’esprit d’équipe ;
  4. Réduction des risques : en découpant le projet en livrables intermédiaires, la méthode agile permet d’identifier et de traiter rapidement les risques potentiels. Les équipes peuvent apporter des ajustements en temps réel, minimisant ainsi les conséquences de problèmes émergents ;
  5. Satisfaction client améliorée : la collaboration continue avec le client tout au long du projet permet de mieux comprendre et de répondre à ses besoins. Les ajustements fréquents en réponse aux retours client conduisent à des produits finaux plus conformes aux attentes ;
  6. Meilleure qualité du produit : les cycles de développement courts et les tests continus intégrés à la méthode agile contribuent à la production de produits de meilleure qualité. Les corrections sont apportées rapidement, réduisant ainsi le nombre d’erreurs persistantes ;
  7. Amélioration continue : l’agilité favorise une culture d’amélioration continue. Les équipes réfléchissent régulièrement à leurs performances, identifient les opportunités d’amélioration et ajustent leurs processus en conséquence, favorisant ainsi l’efficacité et l’efficience ;
  8. Transparence et visibilité : les tableaux Kanban, les réunions régulières (comme les rétrospectives et les revues de sprint) offrent une visibilité constante sur l’avancement du projet. Cela permet à toutes les parties prenantes de rester informées et de prendre des décisions éclairées.

Qui peut travailler avec l’approche agile ?

L’approche agile n’est pas réservée à un type spécifique de projet ou d’industrie. Elle peut être appliquée dans divers contextes :

  • Le développement logiciel ou web ;
  • La gestion de projet marketing ;
  • La création et la fabrication de produits ;
  • Les tests qualité ;
  • La conception (graphique, expérience utilisateur (UX), interface utilisateur (UI) ;
  • La santé ;
  • Les ressources humaines ;
  • Les services financiers.

L’essentiel est que tous les membres de l’équipe partagent un engagement envers la collaboration, la communication ouverte et la recherche constante de l’amélioration.

Quelles sont les différentes formes d’approche agile ?

Il existe plusieurs formes d’approche agile, chacune ayant ses propres principes, cadres et pratiques spécifiques. Voici quelques-unes des formes les plus courantes :

  1. Scrum : Scrum est l’un des cadres agiles les plus populaires. Il divise le travail en unités appelées « sprints » (itérations) d’une durée fixe, généralement de deux à quatre semaines. Le Scrum utilise des rôles tels que le Scrum Master, le Product Owner et l’équipe de développement, ainsi que des artefacts comme le backlog du produit et des événements tels que les revues de sprint. Le Scrum offre une approche de gestion de projet axée sur la flexibilité et la livraison incrémentielle. Grâce à ses itérations courtes, les équipes peuvent s’adapter rapidement aux changements, assurant ainsi une meilleure réactivité aux exigences changeantes ;
  2. Kanban : Kanban est un système visuel de gestion de projet qui se concentre sur la visualisation du flux de travail. Il utilise des tableaux Kanban pour représenter visuellement les tâches à accomplir, en cours et terminées. Kanban met l’accent sur la limitation du travail en cours pour améliorer l’efficacité ;
  3. Lean : Inspirée des principes du Lean Manufacturing, la méthode Lean favorise l’efficacité en éliminant les gaspillages, en maximisant la valeur pour le client et en améliorant continuellement les processus. Elle met également l’accent sur la collaboration et l’implication de l’équipe.

Comme nous avons pu le voir, l’approche agile est donc très avantageuse, notamment en gestion de projet. Vous souhaitez vous y former ? Découvrez nos formations ! Pour tous renseignements complémentaires, contactez-nous au 0805 690 063 (appel gratuit) ou par e-mail (info@audavia.fr). Audavia est certifié QUALIOPI.

Gestion de projet

Gestion de projet : les fondamentaux

Les projets permettent aux entreprises de se développer et de pérenniser leur activité. Ils sont temporairement définis, avec un début et une fin, et sont initiés dans le but de fournir un produit ou un service spécifique. Ils impliquent la synergie de plusieurs parties prenantes qui partagent un objectif commun. Lorsqu’une entreprise souhaite lancer un projet, la gestion de projet devient indispensable pour sa bonne mise en place et son déroulement. Quels sont les fondamentaux de la gestion de projet ? Audavia Formation vous en dit plus dans cet article !

Qu’est-ce qu’une gestion de projet ?

La gestion de projet consiste à planifier, organiser, diriger et contrôler les ressources et les activités d’un projet afin d’atteindre ses objectifs spécifiques. C’est un ensemble de pratiques, de méthodes (ou approches) et de techniques visant à garantir le succès d’un projet, en tenant compte de contraintes telles que le temps, le budget, les ressources humaines et matérielles, ainsi que les risques associés. Les éléments clés de la gestion de projet sont :

  1. La planification : il s’agit de définir les objectifs du projet, d’identifier les tâches nécessaires à la réalisation de ces objectifs, d’estimer les ressources nécessaires (temps, budget, personnel, etc.) et de créer un planning détaillé ;
  2. L’organisation : la gestion de projet implique la constitution d’une équipe projet compétente, la définition des rôles et responsabilités de chaque membre de l’équipe et l’allocation des ressources nécessaires ;
  3. L’exécution : il s’agit de la mise en œuvre du planning. L’exécution implique de coordonner les activités, de suivre l’avancement du projet, de résoudre les problèmes et de s’assurer que tout se déroule conformément aux attentes ;
  4. Le contrôle : pendant la réalisation du projet, il est essentiel de surveiller et de mesurer régulièrement les progrès par rapport au plan initial, cela permet de détecter les écarts éventuels et de prendre des mesures correctives si nécessaire ;
  5. La clôture : Une fois que les objectifs du projet sont atteints, la phase de clôture consiste à finaliser toutes les activités restantes et évaluer les performances du projet.

La gestion de projet peut être appliquée à une variété de domaines, tels que la construction, l’informatique, le développement de produits, les événements, etc. Il existe différentes méthodologies de gestion de projet, telles que la méthode traditionnelle (ou en cascade), la méthode Prince2, la méthode PERT ou encore les approches agiles comme Scrum, etc., adaptées aux besoins spécifiques de chaque projet.

Le chef de projet : un chef d’orchestre ?

Le chef de projet incarne le pilier central de la gestion de projet, assurant la liaison entre les différentes parties prenantes. Tel un chef d’orchestre, il dirige les membres de l’équipe, veille à ce que chacun comprenne son rôle et s’efforce de maintenir l’alignement sur les objectifs du projet. En plus de ses compétences techniques, le chef de projet doit posséder des qualités de communication, de leadership et de résolution de problèmes.

Le chef de projet doit piloter, animer et organiser le projet. La motivation et l’implication des équipes sont aussi un rôle attribué au chef de projet. Les compétences managériales lui sont indispensables. Audavia Formation propose un certain nombre de formations en management à destination des chefs de projet pour les aider à mieux appréhender leurs missions.

Les éléments d’une gestion de projet

La définition des objectifs

La définition claire des objectifs constitue le socle sur lequel repose tout projet. Cette étape initiale permet de déterminer la portée du projet, les résultats attendus et les critères de réussite. La méthode SMART représente un ensemble de critères utilisés pour définir des objectifs clairs. Chaque lettre de l’acronyme SMART correspond à un critère spécifique :

  1. Spécifique : Les objectifs doivent être clairs et spécifiques, c’est-à-dire qu’ils doivent clairement annoncer le but final à atteindre. Un objectif spécifique fournit une orientation claire pour toutes les actions à entreprendre ;
  2. Mesurable : Les progrès vers l’atteinte des objectifs doivent pouvoir être mesurés de manière objective. Pour cela, l’utilisation d’indicateurs quantifiables (KPI’s) est indispensable ;
  3. Atteignable : Les objectifs doivent être réalistes et réalisables. Ils doivent représenter un défi, mais rester faisables avec les ressources disponibles. Fixer des objectifs trop ambitieux peut conduire à la frustration, tandis que des objectifs trop faciles peuvent ne pas motiver suffisamment ;
  4. Réaliste : Il est important que les objectifs soient pertinents par rapport aux objectifs généraux du projet ;
  5. Temporel : Un projet est par définition cadré dans le temps. Les objectifs doivent avoir une échéance clairement définie afin d’aider à organiser le temps et les ressources de manière efficace. Une échéance permet également de mesurer les progrès dans le temps.

La détermination du budget

La gestion financière d’un projet est essentielle pour garantir sa viabilité et son succès. La détermination du budget implique l’estimation des coûts associés aux différentes phases du projet, couvrant les dépenses en ressources humaines, matérielles, technologiques et autres. Une gestion rigoureuse du budget permet d’éviter les dépassements et d’optimiser l’utilisation des ressources.

L’organigramme des tâches

L’organigramme des tâches, décompose le projet en composants plus gérables. Il facilite la répartition des responsabilités au sein de l’équipe, clarifie les relations de dépendance entre les différentes tâches et contribue à une vision globale de la structure du projet.

La matrice RACI

La matrice RACI (Responsable, Acteur, Consulté, Informé) définit les responsabilités de chaque membre de l’équipe par rapport aux différentes tâches à réaliser lors du projet. En attribuant des rôles clairs, elle améliore la compréhension des responsabilités individuelles, renforce la communication et prévient les conflits de compétences.

Le diagramme de GANTT

Le diagramme de GANTT est un outil visuel représentant les différentes tâches du projet sur une échelle de temps. Il offre une vue d’ensemble des activités et des dépendances facilitant la planification, le suivi et la communication autour du projet.

La gestion de projet intègre plusieurs fondamentaux et approches permettant de mener à bien les différentes étapes qui rythment un projet. Le chef de projet joue un rôle essentiel pour coordonner toutes ces étapes et faire converger les parties prenantes vers un objectif commun du début à la fin.

Pour tous renseignements complémentaires, contactez-nous au 0805 690 063 (appel gratuit) ou par e-mail (info@audavia.fr). Audavia est certifié QUALIOPI.

Se former à Python

7 bonnes raisons de se former à Python !

Python s’est imposé comme un acteur incontournable, propulsant des projets dans des domaines aussi variés que le développement web, l’analyse de données, l’intelligence artificielle, et bien plus encore. Pourquoi Python joue-t-il un rôle important en tant que logiciel polyvalent et allié puissant, notamment dans le domaine de la virtualisation ? Pourquoi la formation à Python constitue-t-elle une décision stratégique pour les entreprises, ouvrant la voie à la polyvalence, à la productivité et à l’innovation ? Audavia Formation répond à vos interrogations !

À quoi sert le « langage » Python ?

Python est un langage de programmation polyvalent, interprété et de haut niveau. Il est reconnu pour sa simplicité syntaxique, ce qui en fait un choix populaire tant pour les débutants que pour les développeurs expérimentés. Python est utilisé dans divers domaines, tels que le développement web, l’analyse de données, l’intelligence artificielle, l’automatisation, et bien plus encore.

Python fournit un environnement d’exécution pour les programmes écrits dans ce langage. Les développeurs utilisent Python pour créer des applications, des scripts, des sites web dynamiques, des outils d’automatisation et des projets complexes nécessitant un langage puissant et convivial. Il s’agit d’un outil essentiel pour les programmeurs, offrant une flexibilité qui le rend adapté à de nombreuses tâches.

Python peut-il être utilisé en virtualisation ?

Python s’avère être un allié puissant dans le domaine de la virtualisation, offrant des capacités d’automatisation et de scripting intéressantes pour simplifier la gestion des environnements virtualisés. En tant que langage de programmation polyvalent, Python permet de créer des scripts personnalisés pour déployer, configurer et gérer des machines virtuelles, facilitant ainsi la tâche des administrateurs système et des développeurs web. De nombreux projets de virtualisation, tels que des solutions basées sur VMware utilisent Python pour automatiser des tâches, gérer des machines virtuelles et orchestrer des environnements cloud. Python offre des bibliothèques et des modules puissants qui simplifient le développement de scripts pour la gestion des infrastructures virtualisées. Ces scripts peuvent être utilisés pour déployer et configurer des machines virtuelles, surveiller les performances ou bien gérer les réseaux virtuels.

Python est devenu une passerelle essentielle pour les administrateurs système et les développeurs travaillant dans des environnements virtualisés, offrant des outils flexibles et puissants pour automatiser des processus complexes et optimiser la gestion des ressources virtuelles.

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7 bonnes raisons de s’y former

Se former à Python présente une multitude d’avantages, notamment pour les entreprises :

  1. Polyvalence : Python est un langage polyvalent utilisé, comme nous l’avons vu, dans divers domaines. La polyvalence de Python en fait un outil précieux pour répondre à divers besoins au sein d’une entreprise ;
  2. Productivité : la syntaxe claire et concise de Python, ainsi que ses bibliothèques riches, permettent de développer des applications rapidement. Cela se traduit par une augmentation de la productivité des développeurs ;
  3. Compréhension facile : la syntaxe simple de Python en fait un langage accessible, ce qui facilite l’apprentissage pour les nouveaux développeurs ;
  4. Communauté active : Python bénéficie d’une communauté active et engagée, cela signifie un accès à une vaste base de connaissances, des bibliothèques tierces étendues et un support continu, ce qui est un avantage significatif pour les entreprises ;
  5. Intégration avec d’autres technologies : Python peut être intégré avec d’autres langages et technologies, facilitant l’interopérabilité avec les systèmes existants. Ainsi, les entreprises peuvent ajouter des fonctionnalités sans avoir à refaire entièrement leur infrastructure ;
  6. Solutions d’automatisation : Python excelle dans l’automatisation de tâches répétitives, ce qui peut améliorer l’efficacité opérationnelle. Les entreprises peuvent automatiser des processus, réduisant ainsi les erreurs humaines et économisant du temps ;
  7. Analyse de données et intelligence artificielle : avec des bibliothèques comme Pandas et NumPy, Python est un choix privilégié pour l’analyse de données. De plus, il est largement utilisé dans le domaine de l’intelligence artificielle grâce à des frameworks comme TensorFlow et PyTorch.

De sa polyvalence à son rôle essentiel en virtualisation, Python dispose de nombreux atouts pour les entreprises. La formation à Python se révèle être le levier stratégique pour les entreprises, stimulant la productivité, facilitant l’intégration avec d’autres technologies et ouvrant la porte à l’automatisation intelligente.

Découvrez plus d’informations sur la formation à Python proposée par Audavia Formation !

Pour tous renseignements complémentaires, contactez-nous au 0805 690 063 (appel gratuit) ou par e-mail (info@audavia.fr). Audavia est certifié QUALIOPI.

Outils de virtualisation

Outils de virtualisation : une révolution pour les entreprises !

Les technologies de l’information (IT) ont redéfini la façon dont les entreprises gèrent leurs infrastructures informatiques. Elles permettent d’apporter de la flexibilité, de l’efficacité et de la sécurité au sein des entreprises. Parmi ces technologies, les outils de virtualisation sont de plus en plus utilisés au sein des entreprises. Que permettent-ils de faire ? Pourquoi s’y former ? Audavia Formation vous en dit plus sur le sujet.

Qu’est-ce que la virtualisation ?

La virtualisation est une technologie qui permet de créer des versions virtuelles d’ordinateurs, de systèmes d’exploitation, de serveurs ou de ressources réseaux.  Elle permet d’optimiser l’efficacité des infrastructures informatiques : serveurs, systèmes de stockage, réseaux, logiciels, bases de données et autres éléments informatiques essentiels au sein d’une entreprise. Concrètement, la virtualisation permet de diviser efficacement les ressources d’un ordinateur pour que plusieurs programmes ou systèmes puissent les utiliser comme s’ils étaient les seuls.

Quel est l’intérêt de faire appel aux outils de virtualisation en entreprise ?

La virtualisation offre un certain nombre d’avantages aux entreprises :

  • Gagner en productivité : grâce à la virtualisation, les entreprises peuvent mettre à disposition de leurs collaborateurs un bureau à distance en utilisant seulement une machine physique et ainsi créer des environnements de travail virtuels afin que les collaborateurs puissent travailler efficacement ;
  • Réduire les coûts : les machines virtuelles sont bien moins coûteuses que d’acheter un ordinateur physique (poste fixe ou portable) pour chaque collaborateur. En effet, certains postes ne nécessiteront que ce qu’on appelle, en informatique un « client léger » : un clavier, un écran et une souris, pour se connecter à distance à un serveur physique permettant d’utiliser des logiciels et d’enregistrer des données. En achetant moins de matériel, une entreprise réduit l’espace physique occupé par ses serveurs ;
  • Accroître la sécurité informatique : puisque la virtualisation permet de réduire le nombre d’outils utilisés, cela évite la propagation de virus ou de malwares sur les outils informatiques de l’entreprise ;
  • Récupérer facilement les données : lors d’une perte de données ou d’une cyberattaque, il est possible de récupérer les données grâce à la machine physique permettant la virtualisation ;
  • Faciliter le développement : avec la virtualisation, les entreprises peuvent disposer de plusieurs systèmes d’exploitation sur plusieurs machines virtuelles (Microsoft, Linux ou encore Mac OS X). Ainsi, les développeurs web peuvent développer différents environnements de travail sans avoir à utiliser plusieurs machines physiques.

Quels sont les outils de virtualisation qui existent à ce jour ?

Aujourd’hui, plusieurs logiciels de virtualisation sont disponibles sur le marché :

  • Microsoft Azure : il s’agit d’une plateforme de cloud offrant une gamme de services pour répondre aux besoins des entreprises. Elle permet le déploiement et la gestion d’applications sur un réseau mondial de centres de données géré par Microsoft. Les services proposés par Azure sont le stockage des données sur cloud, la gestion de bases de données, l’intelligence artificielle, l’analyse de données, la création de machines virtuelles etc. ;
  • Citrix : cet outil offre des solutions de virtualisation et met à disposition des entreprises des postes de travail permettant aux utilisateurs d’accéder à leurs applications et données depuis divers appareils et emplacements. Les principales utilisations de Citrix sont la virtualisation d’applications et de postes de travail, la collaboration sécurisée, l’accès et la gestion à distance des ressources informatiques ;
  • Linux : Linux est un système d’exploitation offrant une alternative aux ordinateurs et serveurs. Il joue un rôle clé dans les entreprises grâce à sa fiabilité, ses performances et son coût nul ou faible. ;
  • VmWare Vsphere : il s’agit d’une plateforme de virtualisation offrant de multiples fonctionnalités pour la gestion des environnements virtualisés et permet la création de machines virtuelles à partir d’un seul serveur physique. Grâce à cette plateforme, il est possible de surveiller, configurer et gérer les performances des machines virtuelles depuis un emplacement centralisé.

L’importance de la formation à ces outils en entreprise

La formation aux logiciels de virtualisation comme celle que nous proposons chez Audavia Formation est aujourd’hui indispensable pour les entreprises puisqu’en investissant dans la formation de leurs équipes, elles peuvent exploiter pleinement les avantages de la virtualisation, réduisant les coûts liés à l’infrastructure et augmentant ainsi la flexibilité opérationnelle. La capacité à déployer rapidement de nouvelles machines virtuelles, à gérer efficacement les ressources et à adapter l’infrastructure aux besoins changeants du marché est donc un atout stratégique. De plus, la formation permet de maîtriser les aspects sécuritaires de la virtualisation, assurant une gestion rigoureuse des politiques de sécurité et la protection des données sensibles. Les équipes formées seront capables de mieux anticiper les défis potentiels et de mettre en œuvre des mesures adaptées. La formation aux logiciels de virtualisation est un investissement essentiel pour les entreprises cherchant à rester compétitives et à optimiser leur infrastructure informatique, en garantissant une utilisation efficace des technologies de virtualisation pour répondre aux exigences complexes de l’environnement numérique actuel.

La virtualisation en entreprise ne peut être sous-estimée, car elle permet l’efficacité opérationnelle, la flexibilité et la sécurité informatique. Il ne s’agit pas simplement d’une technologie, c’est une compétence stratégique qui aide les entreprises à se développer.

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Technologies de l'information

Technologies de l’information : qu’est-ce que l’IT ? Pourquoi s’y former ?

Dans un monde en constante évolution, les entreprises sont confrontées à de nouveaux défis. Les nouvelles technologies ont considérablement transformé la manière dont les entreprises travaillent et communiquent. La capacité de ces dernières à s’adapter rapidement aux évolutions technologiques est un atout indéniable sur des marchés de plus en plus concurrentiels. Audavia Formation vous explique dans cet article pourquoi il est essentiel de s’y former.

Qu’est-ce que l’IT (technologies de l’information) ?

Les technologies de l’information ou IT (pour Information Technology, en anglais) désignent l’usage de l’ordinateur, du stockage, des réseaux, des processus pour créer, traiter, stocker, sécuriser ou échanger des données électroniques. Ces technologies de l’information sont de plus en plus utilisées en entreprise. Cette définition englobe tous les appareils informatiques ainsi que toutes les technologies et métiers qui leur sont liés.

En IT, nous pouvons retrouver plusieurs types d’appareils, d’outils de virtualisation , de gestion ou bien d’automatisation et d’applications permettant d’exécuter un certain nombre d’actions :

  • Les appareils et périphériques : ordinateurs, téléphones, tablettes, dispositifs d’enregistrement ;
  • Les applications métier : bases de données, systèmes transactionnels, serveurs de messagerie, serveurs web, systèmes de gestion de la relation client (CRM), systèmes de planification des ressources d’entreprise (ou ERP pour Enterprise Resource Planning) ;
  • Le stockage des informations (fichiers, données téléphoniques, données web ou multimédia etc.) : mémoire vive (RAM), volatile, mémoire non volatile (bandes, disque dur classique ou SSD) ;
  • La virtualisation ou le cloud computing : il s’agit de stocker les ressources de façon dématérialisée grâce à des clouds.

Les nouvelles technologies étant aujourd’hui plus présentes qu’avant dans les entreprises, plusieurs métiers ont vu leurs recrutements s’accentuer au cours des dernières années afin de répondre à ces évolutions :

  • Les techniciens de support informatique ou de networking ;
  • Les experts en cybersécurité ;
  • Les analystes de systèmes informatiques ;
  • Les programmeurs web ;
  • Les développeurs web.

Pour pouvoir accéder à ces métiers, un certain nombre de formations en informatique sont accessibles.

Pourquoi se former à l’IT ?

Les technologies de l’information étant au cœur des entreprises, il est important de s’y former car elles :

  1. Sont indispensables en entreprise : l’informatique permet d’avoir une gestion optimale des informations et des relations en entreprise. Les technologies de l’information facilitent la prise de décision, l’optimisation des opérations et la gestion des ressources ;
  2. Facilitent la communication interne et externe en entreprise : grâce aux outils informatiques et aux plateformes en ligne, la communication interne et externe est plus fluide. Le travail à distance est d’ailleurs tout à fait possible grâce à cela ;
  3. Permettent d’avoir une ouverture complète sur le monde entier : les outils informatiques et internet permettent aux entreprises de s’informer sur tout, depuis n’importe où et à tout moment, il s’agit d’une véritable arme concurrentielle qu’il ne faut pas négliger, bien au contraire, et dont les entreprises doivent impérativement se servir ;
  4. Aident à gagner en productivité : que ce soit pour la communication, la gestion de la relation client ou des stocks, l’automatisation de tâches chronophages, les technologies de l’information permettent aux entreprises et aux salariés de gagner du temps et d’être plus productifs sur des tâches plus porteuses de valeur pour l’entreprise.

Si les chefs d’entreprises doivent être informés des dernières évolutions technologiques, les collaborateurs eux aussi doivent l’être pour diverses raisons :

  1. Meilleures opportunités professionnelles : les compétences informatiques sont de plus en plus recherchées par les entreprises, ce qui peut leur ouvrir de nouvelles opportunités de carrière ;
  1. Adaptabilité : les formations en informatique aident les collaborateurs à rester à jour avec les dernières technologies et actualités, ce qui les rend plus adaptables aux changements au sein de l’entreprise ;
  2. Résolution de problèmes : la formation en informatique permet aux collaborateurs de développer des compétences pour résoudre des problèmes complexes, ce qui peut être précieux dans de nombreux domaines professionnels ;
  3.  Sécurité des données : en se formant, les collaborateurs peuvent contribuer à renforcer la sécurité des données de l’entreprise en comprenant comment les menaces informatiques fonctionnent.

En résumé, les technologies de l’information constituent un réel atout tant pour les entreprises que pour les collaborateurs en individuel, il est donc pertinent de s’y former. Pour tous renseignements complémentaires, contactez-nous au 0805 690 063 (appel gratuit) ou par e-mail (info@audavia.fr). Audavia est certifié QUALIOPI.

Carte mentale

Carte mentale : un formidable outil pédagogique !

Afin de rendre la formation professionnelle plus interactive et agréable pour les apprenants, de nombreux outils et méthodes ont fait leur apparition au fil des années (design fiction, blended learning, action learning, adaptive learning, carte mentale…). Nous entendons parfois parler de la carte mentale et de ses avantages pour l’apprentissage. Qu’en est-il ? Audavia Formation vous répond dans cet article !

Qu’est-ce qu’une carte mentale ?

Une carte mentale, également appelée carte conceptuelle ou carte heuristique, est une représentation graphique d’idées, de concepts, d’informations ou de pensées. Elle est utilisée pour organiser visuellement des informations de manière à ce qu’elles puissent être comprises plus facilement et mémorisées plus efficacement. Les cartes mentales sont souvent utilisées dans des contextes tels que la prise de notes, la planification de projets, la résolution de problèmes, l’apprentissage et la communication d’idées complexes.

Modèle de carte mentale vide

Les caractéristiques d’une carte mentale incluent :

  1. Un sujet central : au centre de la carte mentale se trouve un sujet principal ou un concept central qui représente le point central de la réflexion ou du projet ;
  2. Des branches : à partir du sujet central, des branches partent dans différentes directions. Chaque branche représente une idée ou un sous-concept lié au sujet central ;
  3. Des nœuds : sur chaque branche, vous pouvez ajouter des nœuds ou des mots-clés qui décrivent l’idée ou le concept en question. Ces mots-clés sont généralement écrits de manière concise ;
  4. Des connexions : les branches et les nœuds sont reliés par des lignes ou des flèches pour montrer les relations entre les idées. Les connexions aident à illustrer la hiérarchie et les liens entre les concepts ;
  5. La hiérarchie : les cartes mentales utilisent souvent une hiérarchie, avec des branches principales représentant des concepts majeurs et des sous-branches représentant des idées plus spécifiques ;
  6. Les couleurs et images : les couleurs, les icônes et les images peuvent être utilisées pour rendre la carte mentale visuellement plus attrayante et aider à mémoriser les informations.

Les cartes mentales sont utilisées comme outils de brainstorming, de planification, de résumé, d’apprentissage et de résolution de problèmes, car elles permettent de voir la structure et les connexions entre les idées de manière claire et concise. Elles sont également efficaces pour stimuler la créativité et l’exploration de concepts complexes.

Quels sont les avantages de la carte mentale pour la formation ?

Les cartes mentales offrent plusieurs avantages lorsqu’elles sont utilisées dans le cadre de la formation professionnelle et de l’apprentissage.

  1. Structurer les informations : les cartes mentales permettent de structurer visuellement les informations, ce qui facilite la compréhension de concepts complexes. Elles aident à organiser les idées de manière logique et hiérarchique, ce qui rend l’apprentissage plus efficace ;
  2. Simplifier les informations : les cartes mentales simplifient les informations en les présentant sous forme de mots-clés, d’images ou de concepts clés. Cela permet de rendre des sujets moins complexes et plus accessibles, ce qui est particulièrement utile pour l’apprentissage de nouvelles compétences ou de nouveaux domaines de connaissance ;
  3. Visualiser les relations : les connexions entre les idées sont clairement représentées dans une carte mentale, ce qui aide les apprenants à comprendre comment les concepts sont liés les uns aux autres. Ainsi, ils peuvent les comprendre et les retenir plus rapidement ;
  4. Faciliter la créativité : les cartes mentales sont un outil efficace pour stimuler la créativité des apprenants. Elles les encouragent à faire des associations libres et à explorer des idées nouvelles, ce qui peut être particulièrement bénéfique pour la résolution de problèmes et la génération d’idées innovantes ;
  5. Résumer et synthétiser : les cartes mentales permettent de résumer des informations volumineuses en une seule page ou un seul écran. Cela facilite la révision et l’apprentissage d’informations importantes ;
  6. Personnaliser son apprentissage : chaque individu peut créer ses propres cartes mentales en fonction de sa manière de penser et de ses préférences. Il peut donc personnaliser son apprentissage et adapter la carte mentale à ses besoins ;
  7. Gérer son temps : les cartes mentales peuvent aider à gagner du temps en facilitant l’identification des informations essentielles et en évitant la surcharge d’informations non pertinentes ;
  8. Motiver : l’utilisation de cartes mentales peut rendre l’apprentissage plus interactif et engageant. Les apprenants peuvent participer activement à la création de leurs propres cartes mentales, ce qui renforce leur motivation et leur implication dans le processus d’apprentissage ;
  9. Développer la mémoire : la visualisation et la structuration des informations dans une carte mentale favorisent la mémorisation et la rétention à long terme, ce qui est important pour la formation professionnelle et l’apprentissage continu.

La carte mentale (ou carte heuristique) est un outil intéressant pour la formation professionnelle et l’apprentissage. Elle facilite la compréhension, la mémorisation, la créativité et l’organisation des informations. Pour tous renseignements complémentaires, contactez-nous au 0805 690 063 (appel gratuit) ou par e-mail (info@audavia.fr). Audavia est certifié QUALIOPI.

Design fiction

Pourquoi intégrer le design fiction dans une formation ?

De nouveaux modes d’apprentissage ont fait leur apparition au cours de ces dernières années, afin de faciliter l’acquisition de nouvelles connaissances et compétences des apprenants. Si nous vous avons déjà démontré les avantages du blended learning, de l’adaptative learning et de l’action learning, dans cet article, nous nous intéressons à ceux du design fiction.

Qu’est-ce que le design fiction ?

Le design fiction est une approche créative qui combine le design et la narration pour explorer des futurs possibles, des scénarios spéculatifs et des questions sociales, culturelles ou technologiques. Il s’agit d’une méthode de conception qui vise à stimuler la réflexion critique et à susciter la discussion sur l’impact potentiel de la technologie, de l’innovation et du changement social. Le terme « design fiction » a été formulé pour la 1ère fois dans les années 2000 par Bruce Sterling, auteur de science-fiction.

Cette méthode de réflexion correspond au croisement entre la science-fiction, la futurologie, le design stratégique, la philosophie et l’art. Le design fiction est une méthode d’apprentissage de plus en plus utilisée car elle permet une réelle interrogation sur les problèmes et facilite leur anticipation dans une perspective plus large.

Les caractéristiques du design fiction sont vastes :

  • Spéculations : grâce au design fiction, il est possible de raconter des histoires qui pourraient se dérouler dans un futur hypothétique. Souvent basées sur des tendances actuelles et émergentes, ces histoires peuvent prendre la forme de textes, de vidéos, de prototypes, de scénarios ou même de performances ;
  • Réflexion : le design fiction vise à susciter la réflexion, à remettre en question les normes et à explorer les conséquences possibles des développements technologiques et sociaux. Il peut notamment être utilisé pour poser des questions éthiques, politiques, culturelles ou environnementales ;
  • Créativité : cette approche encourage la créativité en explorant des idées nouvelles et en poussant les limites de l’imaginaire. Elle peut inspirer de nouvelles solutions et innovations ;
  • Engagement : au sein d’une entreprise, le design fiction peut impliquer les collaborateurs, les concepteurs et les chercheurs dans le processus créatif. Il crée un espace pour le dialogue et l’interaction autour des scénarios futuristes.

Pourquoi utiliser le design fiction en formation ?

Que ce soit pour les formateurs ou les apprenants, le design fiction est une approche très intéressante pour la formation professionnelle puisqu’il favorise l’innovation. En ce qui concerne les formateurs, il peut être intégré pour les aider à vérifier leurs pratiques, mieux accompagner les apprenants en se basant sur le futur des enjeux digitaux, managériaux, organisationnels, environnementaux ou encore commerciaux.

Pour les apprenants, les avantages du design fiction sont eux aussi multiples :

  • Stimulation de la réflexion : le design fiction encourage les apprenants à réfléchir de manière critique sur divers scénarios envisageables et à considérer les impacts potentiels des innovations et tendances. Ainsi, leur pensée critique et leur capacité à anticiper et à s’adapter aux changements dans le monde professionnel sont développées ;
  • Résolution de problèmes et créativité : cette méthode d’apprentissage encourage les apprenants à trouver des solutions innovantes qu’ils peuvent utiliser pour des problèmes réels rencontrés dans le monde du travail ;
  • Engagement et mémorisation : les scénarios narratifs et les éléments visuels du design fiction peuvent rendre la formation plus engageante et facile à retenir pour les apprenants. De plus, ce mode d’apprentissage les rendant acteurs de la formation, il est plus facile pour eux de retenir ce qui est abordé ;
  • Réduction de la peur du changement : en exposant les apprenants à des futurs potentiels, le design fiction peut aider à réduire la résistance au changement en les préparant à de nouvelles réalités professionnelles et à d’éventuels changements au sein de l’entreprise ;
  • Facilitation de la collaboration : les projets de design fiction peuvent être des exercices de collaboration stimulants pour les apprenants, les aidant à améliorer leurs compétences en communication et à travailler efficacement en équipe.

Concrètement, comment mettre en place le design fiction ?

Plusieurs étapes peuvent être mises en place par les formateurs au cours d’un atelier de formation professionnelle faisant appel au design fiction :

  1. L’immersion : cette première étape a pour objectif de plonger les apprenants en immersion sur un thème précis. Pour cela, il faut les mettre en contexte et stimuler leur imaginaire à l’aide d’une scénographie (ambiance sonore et visuelle, objets…) ;
  2. La conception : une fois le sujet de la formation lancé, il conviendra d’interroger les apprenants sur les hypothèses possibles afin de les aider à réfléchir à des scénarios futurs réalisables ;
  3. Le prototypage : lors de cette étape, les apprenants doivent tenter de rendre les scénarios jusqu’à présent fictifs plus tangibles (à l’aide d’une fiche de poste, une vidéo, une saynète ou un manifeste par exemple) ;
  4. L’exposition : il s’agit de l’étape de présentation des scénarios réalisés aux autres apprenants, afin de susciter un débat sur la thématique de formation ;
  5. L’atterrissage : cette dernière étape vise à donner des solutions aux thématiques abordées au cours de la formation.

Vous l’aurez donc compris, le design fiction peut être un atout facilitant l’apprentissage des apprenants au cours d’une formation professionnelle.

Vous aimeriez suivre une formation professionnelle ? Découvrez notre catalogue de formations ! Pour tous renseignements complémentaires, contactez-nous au 0805 690 063 (appel gratuit) ou par e-mail (info@audavia.fr). Audavia est certifié QUALIOPI.

Adaptive learning

Qu’est-ce que l’adaptive learning ?

Comme le design fiction, le blended learning et l’action learning, l’adaptive learning est de plus en plus utilisé au sein des entreprises et des organismes de formation, grâce à sa technologie basée sur l’intelligence artificielle. Comment définir cette méthode d’apprentissage ? Quels sont les avantages ? Audavia Formation répond à vos interrogations.

Adaptive learning : qu’est-ce que c’est ?

Apparu dans les universités américaines il y a une dizaine d’années, l’adaptive learning (ou apprentissage adaptatif, en français) est une approche pédagogique proposant une expérience d’apprentissage individuelle et évolutive. L’adaptive learning s’appuie sur les nouvelles technologies (notamment l’intelligence artificielle) et les sciences cognitives pour proposer des programmes de formation personnalisés en fonction des profils des apprenants, et de leurs besoins et connaissances. Cette personnalisation s’étend sur le parcours de formation, les contenus de chaque formation ainsi que les modalités pédagogiques. Grâce à l’adaptive learning, si un apprenant rencontre des difficultés avec un thème précis de la formation, il sera possible de lui proposer un module lui permettant d’approfondir uniquement les thématiques concernées.

Comment fonctionne l’adaptive learning ?

Afin d’offrir une personnalisation basée sur les besoins des apprenants qui soit la plus précise possible, la combinaison de trois aspects est nécessaire :

  • Les neurosciences (ou sciences cognitives) : elles permettent de comprendre comment fonctionne le cerveau humain notamment en période d’apprentissage ;
  • La data : elle correspond à l’ensemble des données concernant les apprenants, collectées et stockées en amont de la formation mais aussi tout au long de celle-ci ;
  • Le machine learning : il s’agit d’une technologie de l’intelligence artificielle fonctionnant avec des algorithmes capables de comprendre les données (ou data) recueillies, de les traiter mais surtout de les analyser afin d’en obtenir des prédictions sur le comportement des apprenants.

À l’aide de ces trois critères, il est possible de proposer à chaque apprenant un parcours de formation individualisé et adapté à ses besoins. Ces propositions étant effectuées en temps réel, elles peuvent ainsi évoluer au cours du parcours de formation, en fonction du comportement de l’apprenant.

Différencier le macro et micro adaptive learning

Le macro et le micro adaptive learning sont deux stades de personnalisation de la formation totalement différents, il est donc important de connaître la différence entre les deux.

Le macro adaptive learning

Dans ce 1er cas, la personnalisation du parcours de formation s’ajuste en fonction de la progression de l’apprenant. Ainsi, le parcours de formation est découpé en plusieurs modules apparaissant en fonction des besoins de l’apprenant et de sa progression. Par exemple, lors d’une formation traditionnelle, les modules de formation sont prédéfinis en amont de la formation. Avec le macro adaptive learning, si l’apprenant a besoin de passer davantage de temps sur un module en particulier car les notions doivent être vues plus en profondeur, cela est tout à fait possible.

Sachez qu’avec le macro adaptive learning, le contenu des modules de formation est le même pour tous les collaborateurs d’une entreprise. Cependant, le temps passé sur le parcours est adapté en fonction du niveau de connaissances de chaque collaborateur, qui verra plus ou moins de modules.

Le micro adaptive learning

Si le macro adaptive learning personnalise juste le parcours de formation en fonction de la progression de l’apprenant, avec le micro adaptive learning il ne s’agit plus de l’individualisation du parcours mais plutôt de l’individualisation du contenu présent dans chaque module. Pour cela, les notions abordées et les évaluations intermédiaires et finales sont adaptées à chaque apprenant. Avec cette méthode d’apprentissage, au sein d’une entreprise, tous les collaborateurs n’apprennent pas la même chose. Les notions proposées dépendent donc de la progression et des préférences de chacun. Il s’agit donc d’une personnalisation plus précise qu’avec le macro adaptive learning. Le micro adaptive learning facilite l’acquisition de compétences ciblées par collaborateur.

Quels sont les avantages de l’adaptive learning ?

L’adaptive learning favorisant un apprentissage personnalisé, il est beaucoup plus efficace qu’un apprentissage uniformisé pour l’ensemble des apprenants, dont les besoins ne sont pas les mêmes en fonction de leur connaissance initiale des sujets étudiés. Cette méthode d’apprentissage permet donc aux apprenants de se concentrer sur les compétences qu’ils souhaitent acquérir et qui sont les plus appropriées pour eux.

La personnalisation que proposent le macro et micro adaptive learning renforce l’individualisation de la formation et offre donc une meilleure expérience d’apprentissage. Ainsi, les apprenants sont davantage motivés à suivre la formation. De plus, la personnalisation de la formation permet une montée en compétences plus rapide des apprenants, ce qui est un gain de temps notamment au sein des entreprises.

Facilitant la personnalisation de l’apprentissage, l’adaptive learning est un réel atout pour la formation,très intéressant à intégrer à certaines formations professionnelles. Pour tous renseignements complémentaires, contactez-nous au 0805 690 063 (appel gratuit) ou par e-mail (info@audavia.fr). Audavia est certifié QUALIOPI.

Les étapes pour mettre en place une communication non violente en entreprise

Quelles sont les étapes de mise en place de la Communication Non Violente ?

La Communication Non Violente implique un réel engagement personnel pour comprendre ses émotions ainsi que celles des autres afin de mieux communiquer. Ce mode de communication est notamment très bénéfique au sein des entreprises, encore faut-il réussir à le mettre en place. Quelles sont les étapes importantes de la Communication Non Violente ? Quels sont les obstacles pouvant être rencontrés au sein des entreprises quant à ce nouveau mode de communication ? Audavia Formation vous en dit plus sur le sujet !

Comment mettre en place la Communication Non Violente ?

La Communication Non Violente (CNV) est un processus de communication qui peut être divisé en quatre étapes principales, souvent représentées par l’acronyme « OSBD » :

  1. Observation (O) : cette étape consiste à décrire objectivement et de manière neutre la situation ou le comportement qui suscite une réaction ou une émotion. L’observation vise à éviter les jugements ou les interprétations subjectives. Le but est de constater un fait sans émettre une accusation qui pourrait stopper la communication. Par exemple, au lieu de dire « Tu ne travailles jamais sérieusement », vous pourriez dire « J’ai remarqué que tu as manqué plusieurs délais ce mois-ci. » ;
  2. Sentiments (S) : à cette étape, vous exprimez vos sentiments en relation avec l’observation que vous avez précédemment faite. Vous devez écouter vos émotions dominantes, qu’elles soient positives ou négatives. Pour cela, il est essentiel de rester authentique et de décrire vos émotions sans blâmer l’autre personne. Par exemple, vous pourriez dire « Je me sens frustré(e) quand les délais ne sont pas respectés. ». Cela suppose d’acquérir un lexique émotionnel approprié afin d’exprimer avec précision ce que vous ressentez ;
  3. Besoins (B) : vous identifiez les besoins ou les désirs qui sont à l’origine de vos émotions. Pour cela vous devez reconnaître ce qui est vraiment important pour vous dans la situation. Reprenant l’exemple précédent, vous pourriez dire « J’ai besoin de savoir que les échéances seront respectées pour que le travail se déroule efficacement. » ;
  4. Demandes (D) : enfin, vous formulez une demande claire et positive pour satisfaire vos besoins. Les demandes doivent être spécifiques et réalisables. Dans le cas précédent, vous pourriez dire « Pourrions-nous discuter des délais afin que nous nous mettions d’accord sur un calendrier réaliste pour les prochaines tâches ? ».

Ces quatre étapes sont la base du processus de la CNV et sont conçues pour favoriser une communication ouverte, empathique et respectueuse, en évitant la violence verbale, les jugements et les accusations tant au niveau personnel que professionnel.

Quels obstacles peuvent être rencontrés ?

Même si la Communication Non Violente est une approche de communication puissante, elle peut être confrontée à certains obstacles. Voici quelques-uns des obstacles les plus courants rencontrés lors de la pratique de la CNV :

  • Émotions fortes : lorsque les émotions sont fortes, il peut être difficile de rester calme et d’appliquer la CNV. La réactivité émotionnelle peut entraîner des réponses impulsives, des accusations et des jugements, plutôt que des réponses réfléchies et empathiques ;
  • Habitudes de communication préexistantes : les personnes ont souvent des habitudes de communication acquises au fil des années y compris des schémas de langage critique ou agressif. Rompre ces habitudes et adopter la CNV peut demander du temps et de la pratique ;
  • Manque de conscience de soi : la CNV repose sur une connaissance approfondie de ses propres besoins, émotions et réactions. Si une personne n’est pas consciente de ces aspects d’elle-même, il peut être difficile pour elle d’appliquer la CNV de manière efficace ;
  • La peur du conflit : certaines personnes peuvent éviter la CNV par peur de la confrontation ou du conflit. Elles peuvent préférer garder leurs émotions pour elles ou éviter d’exprimer leurs besoins de peur de créer des désaccords. Ceci inhibe complètement la communication entre les membres de l’équipe, au risque de voir les frustrations s’accumuler et un mal-être s’installer ;
  • Contextes culturels : les normes de communication varient d’une culture à l’autre. Ce qui est considéré comme une communication respectueuse dans un contexte, peut être interprété différemment dans un autre. La CNV doit être adaptée en fonction du contexte culturel ;
  • Manque de pratique : comme toute compétence, la CNV s’améliore avec la pratique. Le manque de pratique régulière peut rendre difficile l’application cohérente de la CNV ;
  • Réceptivité des autres : même si vous appliquez la CNV de manière attentive, les autres peuvent ne pas toujours être réceptifs à cette approche. Ils peuvent être enclins à maintenir des schémas de communication négatifs, il faudra donc prendre le temps de les faire apprécier et accepter cette nouvelle méthode de communication ;
  • Situations très tendues : dans des situations de crise intense ou de stress extrême, il peut être difficile de mettre en pratique la CNV, car la réactivité émotionnelle peut l’emporter.

Surmonter ces obstacles demande souvent de la patience, de la persévérance et souvent une formation pour l’ensemble des membres de l’équipe.

Pourquoi se former à la CNV ?

Aujourd’hui, la Communication Non Violente est un concept de plus en plus connu et utilisé, pourtant, peu de salariés au sein des entreprises s’y forment. Pour pouvoir mettre en place cette pratique de façon quotidienne en entreprise, il est indispensable d’en avoir les bases et d’en connaître les fondements. Les avantages de la CNV étant nombreux en entreprise, afin de créer des relations de travail fiables et agréables, il est important que les managers et les salariés y soient davantage formés. Ainsi, ils pourront développer leurs soft skills, mieux œuvrer collectivement et communiquer plus efficacement les uns avec les autres. De plus, la CNV ne peut pas être imposée du jour au lendemain au sein des équipes de travail, elle doit être pratiquée progressivement pour pouvoir être bien ancrée dans les habitudes de communication de chaque collaborateur.

Vous aimeriez être formé(e) en management, leadership, gestion de conflit ou bien motivation d’équipes ? Découvrez nos formations !

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