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Perte de sens au travail

Le nouveau fléau en entreprise : le brown-out

Depuis une dizaine d’années, les entreprises voient apparaître un nouveau phénomène au sein de leurs équipes : le brown-out. Différent du burn-out ou du bore-out, ce sentiment de perte de sens du travail s’est intensifié ces deux dernières années avec la crise du Covid-19. Même s’il n’est pas encore reconnu comme une maladie professionnelle, le brown-out n’est pas à prendre à la légère. Alors comment le reconnaître et le prévenir au sein de vos équipes ? Audavia vous en dit plus sur cette nouvelle forme de souffrance au travail.

Le brown-out : qu’est-ce que c’est ?

La notion de brown-out est relativement récente puisqu’elle est apparue pour la première fois en 2013 dans les travaux de l’anthropologue David Graber, intitulés « Bullshit Jobs ». Il s’agit d’une forme de souffrance au travail qui est encore difficile à identifier.

En français, elle se traduit par une « baisse de tension », une baisse d’énergie et d’engagement du travailleur. Elle ne se manifeste pas aussi violemment que le burn-out, qui est littéralement une explosion car le salarié est à bout de force mentale et physique. Le bore-out, quant à lui, est souvent lié à un ennui causé par une sous-charge de travail. Alors que le salarié en situation de brown-out peut souffrir d’ennui mais lié à un désengagement, à une perte de sens du travail. Le bore-out et le brown-out s’apparentent plutôt à des poisons qui s’insinuent progressivement, pouvant conduire à une dépression.

À la fin de l’année 2021, OpinionWay a mené une enquête qui a révélé que 33% des Français ont perdu tout sens en leur activité professionnelle depuis le début de la crise de Covid-19. Il est donc essentiel d’être attentif à vos collaborateurs. Parmi les signaux qui doivent vous alerter, vous pouvez trouver :

  • Une baisse de résultats 
  • Un changement de comportement 
  • Un sentiment d’inutilité du travail à réaliser 
  • Une perte d’attention dans la réalisation des tâches 
  • Une dégradation des relations professionnelles (cynisme, critiques, repli sur soi, etc.) 
  • Un absentéisme plus important 
  • Une anxiété pouvant mener à la dépression

Pour en savoir plus, découvrez la définition du brown-out en vidéo par le Docteur François Baumann, médecin généraliste spécialiste de la souffrance au travail et auteur du livre « Le Brown-out, quand le travail n’a plus aucun sens » :

Comment anticiper et prévenir le brown-out ?

Pour éviter que le syndrome du brown-out survienne chez vos salariés, il est primordial de valoriser leurs tâches au quotidien. La reconnaissance du travail est un facteur important dans le sens que l’on donne à son travail. De même, la communication, l’échange et la confiance doivent avoir une place fondamentale dans le management de vos équipes. Ces derniers doivent se sentir pleinement intégrés dans la société pour pouvoir donner du sens à leurs missions professionnelles. Une formation pour motiver vos équipes est disponible chez Audavia.

Vous pouvez également réfléchir à mettre en place du travail flexible pour que vos salariés puissent plus facilement concilier vie professionnelle et vie personnelle. L’instauration du travail souple montrera aussi à vos salariés la confiance que vous avez en eux, conduisant à un engagement de leur part. Il est important de garder des temps collectifs pour créer un esprit d’équipe et de solidarité. Avec ces organisations de travail, vous permettez à chacun de se sentir à sa place au sein de l’entreprise.

Définir une politique de Qualité de Vie au Travail (QVT) dans votre entreprise est une solution pour prévenir les risques psychosociaux et leurs conséquences (brown-out, bore-out ou burn-out). Cette politique permet de fidéliser vos salariés et d’anticiper des situations de mal-être au travail. Si vous suspectez l’un de vos travailleurs d’être proche du brown-out, n’hésitez pas à l’orienter vers un psychologue du travail qui pourra peut-être désamorcer la situation au plus tôt.

Ces nouveaux maux au travail poussent les dirigeants à prendre encore plus en compte le bien-être au travail de leurs salariés. Sans compter que la nouvelle génération de travailleurs qui s’engage sur le marché du travail accorde une réelle importance à trouver un emploi qui a du sens !

Pour tous renseignements complémentaires, contactez-nous au 0805 690 063 (appel gratuit) ou par e-mail (info@audavia.fr). Audavia est certifié QUALIOPI.

Cohésion d'équipe

Comment retrouver l’esprit collectif en entreprise ?

Depuis la crise de la Covid-19, l’organisation du travail a changé. Le travail à distance a pris une ampleur considérable et le travail hybride devient une référence. Mais cette période de crise a également poussé de nombreux collaborateurs à remettre en question leurs priorités et à engager une reconversion professionnelle. Il est aujourd’hui primordial de repenser la culture managériale pour répondre aux nouvelles attentes des collaborateurs. Faire appel à un coach d’entreprise ou à des sessions de team building peut vous aider à retrouver le collectif en entreprise.

Le télétravail : nouvelle norme de travail

Depuis la crise liée à la Covid-19, le télétravail s’est intégré petit à petit dans le fonctionnement des entreprises. S’il a été imposé de manière très rapide avec les confinements successifs, les collaborateurs s’y sont habitués et la plupart y ont même pris goût. Rendant ainsi le retour sur site plus difficile que prévu. Aujourd’hui, le travail à distance se mixe avec le présentiel dans les nombreuses entreprises qui peuvent le proposer.

Si les outils numériques ont été développés pour que les organisations de travail puissent s’adapter à ce nouveau rythme de travail, il est important que les employés soient intégrés dans la réflexion de cette nouvelle organisation. En effet, chacun a vécu différemment ces périodes de travail à distance imposées et leurs propres expériences peuvent donner naissance à de bonnes idées. Remettre du collectif au sein de l’entreprise impose aussi de donner des règles de travail claires pour tous.

Le plus délicat dans ces nouveaux rythmes de travail est de recréer un esprit collectif au sein de l’équipe. Entre ceux qui sont certains jours en présentiel et d’autres en distanciel, l’esprit d’équipe est difficile à retrouver. Les managers doivent surtout être attentifs au clivage qui pourrait s’immiscer entre membres des équipes, d’autant plus si certains ont l’obligation de rester en présentiel pour leurs missions vis-à-vis de ceux qui peuvent les exécuter à distance. Le management à distance reste aussi une nouveauté pour les managers et dirigeants qui peuvent s’y former.

Redonner envie aux salariés de venir au bureau

Si le travail à distance s’installe durablement dans votre entreprise, il faudra inciter vos salariés à revenir régulièrement sur site pour pouvoir mettre en place des moments d’échanges collectifs. Il est fort probable que la plupart des journées en présentiel se solde surtout par des discussions informelles et des moments de partage. Mais ce n’est pas du temps de travail perdu, bien au contraire. Selon Laurent Tylski, coach en entreprise : « Il est essentiel de créer des rituels de ce genre, et de comprendre que l’on peut gagner du temps à en perdre. ». Cela permet de relancer la créativité et rebooster l’esprit collaboratif. Vous pouvez également solliciter un coach en entreprise pour remonter le moral de vos troupes ou organiser des sessions de team building.

Groupe de paroles

La mise en place de ces groupes de paroles permet de regrouper les salariés autour d’un projet commun. Vous pouvez par exemple réfléchir ensemble à une charte de « bonne conduite » pour le télétravail. Chacun pourrait ainsi donner ses idées mais aussi repenser sa propre façon de travailler et se remettre en question si nécessaire. Les managers peuvent aussi profiter de ces instants en groupe pour repérer les salariés en difficulté et les accompagner si besoin.

Coach en entreprise

Si vous rencontrez des difficultés pour retrouver le collectif au sein de votre entreprise, vous pouvez faire appel à un coach en entreprise qui cherchera des solutions personnalisées à vous apporter. En effet, il n’est pas simple de trouver seul des idées pour relancer la machine après une longue période où le lien social a été brisé. Après un temps d’analyse et de discussions avec les membres de vos équipes, le coach en entreprise aura pour mission de remettre en place des moments de convivialité au sein de votre société.

Team building

Le team building est l’occasion de partager un moment de convivialité, plus ou moins informel selon la formule choisie. Cela peut redynamiser l’ambiance dans un groupe ou donner l’occasion d’intégrer de nouveaux collaborateurs dans l’équipe. Si votre équipe est à 100% en travail à distance, programmez tous les trimestres une session de team building pour tous se retrouver en présentiel et partagez un bon moment ensemble. Le team building peut aussi s’organiser en ligne avec des « cafés visio » planifiés, par exemple chaque lundi matin, pour démarrer la semaine autour d’un moment informel. Une formation en team building peut vous donner les clés pour remettre le collectif au sein de votre entreprise.

Depuis la crise de la Covid-19, ces nouvelles organisations de travail poussent les dirigeants à revoir leur copie concernant la culture d’entreprise. Le bien-être au travail devient un facteur de recrutement et de fidélisation des salariés. La coopération est le fondement du collectif de travail, elle permet de remotiver les équipes et de recréer du lien social, indispensable à tout bon fonctionnement.

Pour tous renseignements complémentaires, contactez-nous au 0805 690 063 (appel gratuit) ou par e-mail (info@audavia.fr). Audavia est certifié QUALIOPI.

Comment construire et déployer sa démarche RSE ?

Comment construire et déployer sa démarche RSE ?

Être conscient des attentes de ses parties prenantes en matière de responsabilité sociétale, comprendre les bénéfices liés à la mise en œuvre d’une démarche RSE sont, avec la volonté du dirigeant d’inscrire son entreprise dans un modèle contributif, des éléments déclencheurs de l’engagement RSE (voir nos articles : Manager sa Responsabilité Sociétale d’Entreprise : quelles attentes vis-à-vis de votre entreprise ? et Votre démarche RSE est un levier de performance globale et durable).

Alors même que certains dirigeants ont compris l’intérêt d’en faire un levier stratégique et un projet d’entreprise, engager, déployer et pérenniser une démarche RSE peut sembler complexe.

Quitter le stade des actions éparses et ponctuelles…

Si, en 2021, 85 % des PME françaises déclarent avoir déjà mis en place des actions RSE au sein de leur organisation, seules 24 % d’entre elles reconnaissent que ces actions ont été formalisées au sein d’une vraie stratégie RSE et seulement 14 % affirment avoir intégré la RSE à leur stratégie globale de développement.

Il est ainsi tout à fait courant, et même tentant, de se réfugier derrière des actions ponctuelles, tous azimuts et éloignées du quotidien de l’entreprise.

L’absence de cohérence est cependant synonyme d’impact limité et les bénéfices évoqués dans un article précédent ne sont que faiblement tangibles. Diverses raisons expliquent que les entreprises en restent trop souvent au stade de pratiques, certes positives, mais sans lien entre elles et sans objectif stratégique. Cette situation peut être le fruit :

  • d’une volonté initiale qui s’est essoufflée
  • de demandes clients trop hétérogènes
  • d’une mauvaise appréhension de domaines d’actions RSE extrêmement variés
  • d’un manque de priorité accordé à un projet pourtant pertinent uniquement s’il reste ancré dans l’activité
  • d’un défaut d’identification des enjeux pertinents

… pour construire une démarche RSE impactante et valorisable.
Près de la moitié des entreprises ont des difficultés à déployer la RSE par manque de connaissances du sujet et 73% d’entre elles trouvent qu’il est difficile de définir des objectifs pour sa démarche RSE et d’en mesurer l’impact.
L’ISO 26000, la norme de référence en matière de responsabilité sociétale, est un guide précieux pour toute entreprise qui veut structurer son approche et la décliner de manière convaincante. S’il s’agit d’un support utile, il semble cependant complexe et peu abordable lorsqu’on s’y plonge pour la première fois.

Comment s’y prendre alors pour transformer ses pratiques en engagements responsables formalisés dans une stratégie RSE pour l’entreprise et partagés avec ses parties prenantes ?

Une chose est certaine : si l’exercice n’est pas facile, il est particulièrement enrichissant et à plus d’un titre.

Se former ou se faire accompagner peut être utile, que ce soit sur un diagnostic de pratiques pour mieux appréhender des sujets variés et imbriqués, sur une analyse de matérialité pour poser les bases de sa
démarche ou sur le déploiement du projet.

Socle de toute démarche RSE pertinente et efficace, l’analyse de matérialité permet d’identifier les enjeux prioritaires auxquels répondre, en tenant compte des objectifs de l’entreprise, des attentes des parties prenantes et des risques et opportunités. Un exercice qui requiert d’être abordé avec méthode pour apporter clarté et cohérence à la démarche d’une part, visibilité et engagement aux acteurs qui la mettent en œuvre d’autre part. Pouvoir définir un cheminement dans lequel les différents acteurs connaitront leur rôle et seront conscients de leur contribution reste ainsi un facteur clé du succès de la démarche RSE.

A partir de là, formaliser ses engagements et les inscrire dans sa stratégie en cohérence avec son écosystème, les décliner en actions opérationnelles et pertinentes, structurer un reporting à la fois efficace et porteur de sens, valoriser sa démarche et la faire évaluer sont autant d’étapes qu’il est
intéressant d’envisager en amont de l’aventure RSE : si chaque démarche RSE est à l’image de l’entreprise qui la porte, les outils et les conditions pour la construire et en faire un projet collectif et pérenne nécessitent ainsi d’être compris et maitrisés.

  • Audavia vous propose à présent des formations pour construire votre démarche RSE :
  • S’approprier les fondamentaux de la RSE et les étapes d’une démarche RSE
  • Mieux identifier ses enjeux pour projeter sa stratégie RSE grâce à l’analyse de matérialité
  • Cartographier ses parties prenantes et engager le dialogue
  • Valoriser et faire évaluer sa démarche RSE

Nous sommes à votre écoute pour répondre au mieux à vos besoins en déclinant ces formations selon vos objectifs.

Pour tous renseignements complémentaires, contactez-nous au 0805 690 063 (appel gratuit) ou par e-mail (info@audavia.fr). Audavia est certifié QUALIOPI.

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Votre démarche RSE comme un levier de performance globale et durable

Conscients des attentes de leurs parties prenantes en matière de RSE (Responsabilité Sociétale d’Entreprise), les dirigeants ont besoin d’identifier clairement ses bénéfices pour engager leur entreprise dans une démarche organisée et pertinente. Cela leur permet de passer d’une logique de redevabilité ou de conformité à une logique d’opportunité, d’une contrainte de court terme à un projet d’entreprise, créateur de valeur et inscrit dans le moyen / long terme.

Adopter une vision élargie de la création de valeur…

Si les évaluations de retour sur investissement en matière de RSE tendent à se développer, il reste toujours délicat, et parfois impossible, de déterminer ce qu’un tel engagement rapporte comptablement : la plupart des rendements sont intangibles, non monétisables et rarement de court terme alors même qu’ils ont un impact fort sur la création de valeur dans, par et pour l’entreprise.
Accroître le bien-être, la productivité et l’attachement de ses collaborateurs, renforcer sa marque employeur ou son image de marque sont quelques-uns des nombreux exemples de création de valeur immatérielle.

S’engager en RSE c’est aussi :

  • s’offrir une réflexion globale et sans la pression de l’urgence pour s’interroger sur sa pérennité et son business model
  • ouvrir le champ des possibles tout en identifiant mieux les risques en amont, qu’ils soient environnementaux, juridiques, financiers, sociaux ou réputationnels.
  • poser un autre regard sur son activité et ses pratiques au quotidien pour améliorer son fonctionnement interne et partenarial
  • interagir avec ses parties prenantes (que l’on aura pris soin d’identifier) pour accélérer l’innovation et anticiper les évolutions du marché
  • anticiper les contraintes, réglementaires ou de marché
  • faciliter son accès à des financements

Certains diront qu’il faut aussi piloter le court terme et la trésorerie ; ils sont inquiets à l’idée de perdre leur temps, leur énergie et leur argent. … Si la préoccupation est légitime, la démarche RSE a ses bénéfices même sous cette focale : elle peut engendrer des économies opérationnelles souvent non négligeables, dès lors qu’on s’attelle à la baisse des consommations d’énergie et des factures d’achats, la réduction des pertes matières ou encore la diminution du risque d’accidents, de l’absentéisme, de la contribution AGEFIPH…

D’autres enfin estimeront qu’impliquer ses équipes pour contribuer aux enjeux environnementaux et sociaux n’est pas rentable… jusqu’à ce qu’ils adoptent le prisme d’un projet RSE qui fait grandir l’entreprise, contribue à sa pérennité à moyen long terme et à son développement commercial à court terme.

Quelle valeur doit-on en effet attribuer à une démarche RSE qui, construite et valorisée, permet de déclencher un renouvellement de contrat auprès d’un client stratégique ou le gain d’un appel d’offres auprès d’un prospect convoité ?

Déployer une démarche RSE pour contribuer et en rendre compte de façon
crédible

Afin que les bénéfices évoqués ici soient tangibles, il s’agit pour le dirigeant et ses équipes de s’engager de manière pertinente et efficace.

Comment ? en structurant son projet, en le déployant en cohérence avec les objectifs de l’entreprise mais aussi au bénéfice de ses parties prenantes, en lui donnant du sens (voir notre article Comment construire et déployer sa démarche RSE ?).

Dans cette optique, la démarche RSE permet de limiter les impacts négatifs et de maximiser les impacts positifs. La démarche est alors crédible pour les acteurs, nombreux, qui ont des attentes vis-à-vis de l’entreprise (voir notre article Manager sa Responsabilité Sociétale d’Entreprise). Crédible, elle le devient aussi pour ceux qui la portent : elle est plus facilement valorisable, différenciante et pérenne.

Pour tous renseignements complémentaires, contactez-nous au 0805 690 063 (appel gratuit) ou par e-mail (info@audavia.fr). Audavia est certifié QUALIOPI.

Responsabilité Sociétale d’Entreprise

Manager sa RSE : quelles attentes vis-à-vis de votre entreprise ?

« Responsable », « durable », « neutralité carbone », « transition », « éthique »… ces mots sont omniprésents dans l’actualité des derniers mois. Au-delà du « bruit » autour de la responsabilité sociétale des entreprises, la prise en compte des enjeux environnementaux, sociaux et sociétaux par les entreprises – car la RSE c’est cela – est, aujourd’hui plus que jamais, attendue de la part de toute société, quel que soit son secteur d’activité ou sa taille.

Certains y voient une contrainte de plus… d’autres, de plus en plus nombreux, l’envisagent comme une opportunité, une manière de revisiter l’entreprise, son activité, ses missions, son fonctionnement…en douceur ou de manière plus radicale mais, dans tous les cas, avec des bénéfices tangibles à la clé…

Des attentes tous azimuts à prendre en compte

A l’heure où embauche de collaborateurs et rétention des talents sont des problématiques majeures, quelques chiffres issus d’études récentes éclairent sur les liens entre engagement RSE de l’entreprise et attentes des collaborateurs :

  • 78% des salariés opteraient, à offres équivalentes, pour une entreprise engagée dans la transition écologique
  • 86 % des salariés en poste considèrent que la RSE est un sujet important ou prioritaire
  • 40% des collaborateurs indiquent que l’engagement RSE de leur entreprise renforce leur fierté d’appartenance
  • 62% des jeunes sont prêts à refuser un poste dans une entreprise qui manque d’engagement social/environnemental

Pour accéder à de nouveaux marchés ou renouveler ses contrats, justifier d’actions RSE, ou mieux, d’une démarche RSE construite et active, est un sésame qui tend à se répandre pour travailler avec les donneurs d’ordre, publics comme privés. De levier de différenciation commerciale, l’engagement RSE devient progressivement un incontournable des appels d’offres, parfois même un pré-requis pour déposer son mémoire technique.
Ainsi, d’après l’étude « La parole aux fournisseurs » :

  • plus de 70% des fournisseurs interrogés sont régulièrement sollicités par
    leurs clients sur les sujets de RSE
  • dans 79% des appels d’offres, la RSE est abordée. Evolution également en B to C du côté des consommateurs, avec la prise en compte des enjeux RSE comme un élément de choix qui s’affirme au moment de l’acte d’achat…

Même constat du côté des partenaires d’affaires des entreprises :

  • 88% des sociétés de gestion private equity intègrent les critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) dans leurs décisions d’investissement
  • 71% des investisseurs se disent prêts à annuler un investissement si les critères ESG/RSE ne sont pas bons

Au-delà des chiffres évoqués ci-dessus, la réalité de cette tendance s’inscrit également dans le droit : depuis la loi Pacte, entrée en vigueur en 2019, l’article 1833 du Code Civil a été complété, imposant à chaque société d’être gérée « dans son intérêt social, en prenant en considération les enjeux sociaux et environnementaux de son activité ».
Depuis plusieurs années, la pression réglementaire s’accroît, impactant de plus en plus d’acteurs économiques. Il est à noter que dans les mois à venir, le périmètre des sociétés soumises à l’obligation de reporting RSE vis-à-vis du droit européen sera étendu. Dès janvier 2023, ces obligations s’appliquent en effet à un plus grand nombre d’entreprises. L’approche RSE concernant l’ensemble de la chaine de valeur se traduira par une exigence accrue vis-à-vis de leurs fournisseurs.

Faire face à la « pression RSE » …

Ce tour d’horizon illustre la montée en puissance d’une certaine forme de « pression RSE » de la part des parties prenantes de l’entreprise, quelles qu’elles soient. Pression qui peut devenir une opportunité pour tout dirigeant qui décide de l’envisager comme telle parce qu’il en a compris tous les bénéfices (voir notre article Votre démarche RSE est un levier de performance globale et durable).

D’après une étude réalisée par Bpifrance Le Lab, 90% des dirigeants de PME et ETI françaises mènent des actions RSE alors qu’ils n’ont aucune obligation de publier un rapport dédié.
Un chiffre qui démontre que, longtemps considérée comme un sujet réservé aux grands groupes, la RSE est bien présente au-delà des grandes entreprises. Pour autant, l’absence de démarche structurée et partagée ne joue pas en faveur de l’efficacité et de la visibilité de ces démarches : elles restent alors un atout parcellaire pour l’entreprise et vis-à-vis de ses partenaires.

Ainsi, seuls 50% des dirigeants de PME/ETI estiment avoir une véritable démarche RSE et 25% une démarche avec un plan d’actions à court ou moyen terme (voir notre article Comment construire et déployer sa démarche RSE ?).

Tout pour réussir…

Les PME et les ETI ont pourtant tout pour réussir en la matière : réactivité forte, circuit de décision court, capacité à se remettre en cause et à innover rapidement, relations de confiance et proximité avec leurs principaux partenaires… Armer le dirigeant et ses équipes pour intégrer la RSE au quotidien et à la stratégie de l’entreprise permet d’aborder sereinement et efficacement la RSE et de répondre aux attentes explicites et implicites rappelées ici.

Pour tous renseignements complémentaires, contactez-nous au 0805 690 063 (appel gratuit) ou par e-mail (info@audavia.fr). Audavia est certifié QUALIOPI.

travail_flexible

Pourquoi recourir au travail flexible ?

Depuis la pandémie de Covid-19, les salariés en France et dans le monde n’ont plus les mêmes priorités vis-à-vis du travail. Selon une étude WTI (Work Trend Index) menée par Jared Sparato vice-président Corporate (Modern Work) chez Microsoft : « 53 % des personnes sondées à l’échelle mondiale (48 % en France) sont plus susceptibles aujourd’hui de donner la priorité à la santé et au bien-être au travail qu’avant la pandémie. ». Les résultats de ces multiples études dans le monde poussent les entreprises à réfléchir à de nouvelles organisations de travail. Se pose alors la question du travail flexible : ce mode de travail souple entre télétravail et présentiel, extension des plages horaires de travail ou réduction de la semaine de travail à 4 jours.

Quels sont les avantages et inconvénients de ce mode d’organisation ? Comment le mettre en place ?

En quoi consiste le travail flexible ?

En 2020, la pandémie mondiale a obligé de nombreuses entreprises à revoir leurs organisations de travail pour faire face aux restrictions. Deux ans après, de nombreux salariés ont trouvé des avantages au télétravail, au travail souple et sont aujourd’hui favorables à ce fonctionnement au quotidien. Découvrez d’ailleurs nos astuces pour bien télétravailler ici !

Le travail flexible peut s’organiser sous plusieurs formes :

  • l’alternance entre travail à distance et en présentiel ;
  • plages horaires élargies (7h-20h par exemple) pour que chacun puisse trouver le rythme qui lui convient ;
  • semaine de 4 jours au lieu de 5 ;
  • annualisation ou mensualisation du temps de travail ;
  • lieux de travail libres.

Cette liste est bien sûr non exhaustive puisque chaque entreprise peut avoir sa propre définition du travail souple.

Les avantages du travail souple

Le travail flexible présente de nombreux avantages pour les salariés, s’il est bien organisé. L’un des principaux reste le gain de temps de transport : en évitant de prendre la voiture ou les transports en commun, on est moins fatigué et donc plus productif ! Ce temps économisé peut même être consacré au travail.

Autre point fort : il est plus facile de concilier vie professionnelle et vie personnelle avec un emploi du temps plus souple. On peut emmener les enfants à l’école le matin, avoir une seconde activité ou un loisir le soir ou encore profiter de la pause déjeuner pour avancer sur ses tâches ménagères à la maison.

Le travail flexible, dans sa globalité, engage plus les salariés qui sont reconnaissants de la confiance accordée par leur manager. Ils ont ainsi plus tendance à rester longtemps dans l’entreprise, ce qui contribue à la réduction du turnover.

Les obstacles que l’on peut rencontrer

Si le travail flexible a beaucoup de points forts, on peut également faire face à des obstacles lors de sa mise en place. Il est indispensable de définir des règles dans cette organisation de travail pour que chacun ait un cadre bien défini. Cela permettra d’éviter que les salariés aient du mal à déconnecter du travail s’ils sont sur leur lieu de vie ou encore de prévenir le surmenage de certains qui pensent devoir faire « plus » pour prouver qu’ils travaillent bien en télétravail.

Au niveau du matériel, il faut bien sûr munir les employés des outils numériques adaptés au travail à distance avec des environnements de travail partagés, car garder le lien social avec les autres membres de l’entreprise est important pour tous.

Enfin, les managers doivent faire confiance à leurs équipes pour ne pas tomber dans le téléharcèlement !

Comment mettre en place le travail flexible ?

Tout d’abord, vous devez choisir l’organisation de travail flexible qui correspond à votre entreprise. Vous pouvez choisir de proposer des jours de télétravail et des jours de présentiel sur la semaine, une solution qui est mise en place depuis deux ans dans beaucoup d’entreprises ou collectivités françaises. Vous pouvez aussi vous essayer à des changements plus importants comme agrandir les plages horaires de travail de vos salariés : ceux qui le souhaitent peuvent commencer tôt le matin ou finir après le dîner si cela leur convient. Enfin, certaines entreprises à l’étranger sautent le pas en passant à la semaine de 4 jours, comme Buffer aux Etats-Unis qui a constaté une productivité en hausse et des salariés plus heureux et moins stressés !

Une fois que vous avez défini l’organisation de travail souple que vous souhaitez mettre en place au sein de votre entreprise, vous devez munir chaque employé du matériel adéquat (ordinateur et téléphone portables, outils de collaboration, etc.). Vous devez également établir des règles de travail claires pour vos salariés. Une formation en management à distance peut vous aider à gérer au quotidien votre équipe.

Pour tous renseignements complémentaires, contactez-nous au 0805 690 063 (appel gratuit) ou par e-mail (info@audavia.fr). Audavia est certifié QUALIOPI.

sécurité au travail formation sst

Devenir sauveteur secouriste du travail, pour qui, pourquoi et comment ?

La sécurité au travail est aussi importante pour les salariés que pour les dirigeants d’entreprise. Ces derniers sont dans l’obligation de prévoir des équipements indispensables pour garantir la sécurité de leurs employés comme des extincteurs, une armoire à pharmacie ou encore un défibrillateur. Mais ce n’est pas tout, des employés doivent être formés en tant que sauveteur secouriste du travail. L’INRS (Institut National de Recherche et de Sécurité) recommande même d’avoir un effectif de 10 à 15 % de salariés certifiés « Sauveteur Secouriste du Travail (SST) » dans chaque entreprise. Sachant que pour certains métiers à risque, comme sur des chantiers de travaux dangereux, cette formation est obligatoire.

Qu’est-ce qu’un sauveteur secouriste du travail ?

Un sauveteur secouriste du travail est un travailleur qui est capable d’appliquer les gestes de premiers secours pour aider une personne en attendant l’arrivée des secours lors d’un accident sur le lieu de travail. Le sauveteur secouriste du travail (SST) suit une formation d’une durée entre 12 et 14 heures, généralement répartie sur 2 journées afin d’assurer la sécurité au travail. Cette formation repose sur 4 principes :

  • protéger ;
  • examiner ;
  • alerter ;
  • secourir.

Une fois ces notions de bases étudiées, des cas concrets sont proposés pour apprendre les premiers gestes, comme soigner une brûlure, faire un massage cardiaque ou mettre la victime en position latérale de sécurité (PLS).

Les missions des sauveteurs secouristes du travail sont les suivantes :

  • dispenser les gestes de premiers secours lors d’un accident ou incident sur le lieu de travail (chute, brûlure, malaise, blessure, arrêt cardio-respiratoire, etc.) ;
  • alerter les secours d’urgence spécialisés en fonction de l’incident ;
  • contrôler régulièrement le bon fonctionnement des appareils de secours (défibrillateur, extincteur, etc.) ;
  • organiser l’évacuation du personnel en cas d’incendie, de catastrophe naturelle ou d’attentat.

Les salariés formés en tant que sauveteurs secouristes du travail sont aussi habilités à faire de la prévention des risques professionnels au sein de l’entreprise, notamment auprès des métiers à risque. Ils sont ainsi garants de la sécurité au travail.

Pourquoi devenir sauveteur secouriste du travail ?

C’est bien connu, les quelques minutes qui suivent un accident en attendant l’arrivée des secours sont cruciales. L’intervention d’un sauveteur secouriste du travail sur le lieu d’un incident permet, dans de nombreux cas, de stabiliser la victime jusqu’à son arrivée à l’hôpital. Le rôle du sauveteur secouriste du travail est donc essentiel mais aussi valorisant pour le salarié qui décide de passer la formation. C’est lui qui participe à la mission de sécurité au travail au sein de l’entreprise.

Sur le plan personnel, suivre la formation SST peut aussi permettre de se sentir plus à l’aise lors d’une situation d’urgence et surtout de savoir effectuer les bonnes manipulations rapidement. Tout ce que l’on apprend en formation peut être reproduit sur le lieu de travail comme sur son temps personnel, à la maison ou dans la rue !

Pour passer la certification SST, aucun prérequis n’est exigé. Elle peut être financée par le CPF ou entrer dans le cadre de la formation professionnelle continue et être mise en avant lors d’une recherche d’emploi par exemple. Les demandeurs d’emploi, comme les étudiants, peuvent également passer la formation SST. Une fois effectuée, celle-ci est valable 24 mois. Ensuite, une formation dite de recyclage, d’une durée de 7 heures doit être suivie. Celle-ci se nomme MAC (Maintien et Actualisation des Compétences). Enfin, la formation sauveteur secouriste du travail est équivalente au niveau PSC1 (Prévention et secours civiques de niveau 1) et peut donc mener vers une reconversion dans les métiers de la sécurité et du secours.

Quels sont les métiers où être sauveteur secouriste du travail est indispensable ?

L’article R.4224-15 du Code du travail précise que dans les entreprises où l’on accomplit des travaux dangereux, il faut au minimum un salarié qui soit formé en SST pour pouvoir donner les premiers secours en cas d’urgence. Il indique également que sur les chantiers qui emploient au moins 20 personnes pendant plus de 15 jours et où sont réalisés des travaux dangereux, la présence de plusieurs salariés formés en tant que sauveteur secouriste du travail est obligatoire.

Plusieurs métiers à risque comme ceux de la sécurité ou du secours requièrent la certification SST. C’est le cas des sapeurs-pompiers, des policiers ou gendarmes ou encore des agents de sécurité par exemple. En prise directe avec des situations qui peuvent avoir un caractère d’urgence, ils doivent pouvoir réagir rapidement et efficacement.

Audavia vous propose la formation de sauveteur secouriste du travail et peut organiser une session groupée pour plusieurs membres de votre personnel. Nous proposons également une initiation aux premiers secours sur une journée si vous disposez de moins de temps. Pour tous renseignements complémentaires, contactez-nous au 0805 690 063 (appel gratuit) ou par e-mail (info@audavia.fr). Audavia est certifié QUALIOPI.

formation langues certification

Quelles sont les langues qu’il faut savoir parler aujourd’hui ?

Aujourd’hui, il est indispensable de parler une ou plusieurs langues étrangères que ce soit pour voyager ou pour votre carrière professionnelle. Si l’anglais reste prédominant car plus d’un tiers de la population mondiale le parle et le comprend, d’autres langues peuvent être intéressantes à connaître. Suivre une formation en anglais ou dans une autre langue étrangère peut vous ouvrir de nombreuses portes pour votre avenir professionnel. Vous pouvez également passer une certification dans la langue de votre choix pour attester de vos compétences. Audavia vous propose de faire un tour sur les langues qu’il faut savoir parler aujourd’hui.

Les langues européennes

Que vous ayez le souhait de traverser l’Europe en train ou de vous lancer sur un marché à l’export européen, vous former en italien, portugais ou autre langue étrangère européenne est un atout non négligeable. Chez Audavia, nos consultants formateurs sont tous natifs de la langue que vous apprendrez.

L’anglais

Comme nous le disions plus haut, l’anglais reste une langue à connaître absolument que ce soit à titre personnel, comme à titre professionnel. De nombreuses certifications pour cette langue peuvent mettre en avant votre niveau de maîtrise comme le TOEIC, Linguaskill ou encore la certification en langue CLOE. Ces certifications en langue sont éligibles au CPF (Compte Personnel de Formation).

Le portugais

Le portugais fait partie des langues émergentes ces dernières années. En effet, en Europe de nombreux échanges ont lieu avec le Portugal, notamment pour les industries textiles par exemple. Mais le portugais est aussi la langue principale du Brésil, 8e puissance économique du monde et 1er pays producteur de l’Amérique du Sud. Une formation en portugais peut donc vous donner accès à un nouveau marché européen et international.

L’espagnol, l’italien et l’allemand

Côté langues européennes, vous trouverez bien sûr l’allemand, l’italien et l’espagnol dont les formations en langue vous seront plus qu’utiles si vous travaillez sur un marché en lien avec nos pays voisins. Ces trois langues peuvent être validées par une certification  CLOEPIPPLETBRIGHT Language ou DCL dont le passage est possible avec Audavia.

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Les langues internationales hors Europe

D’autres formations en langues non européennes sont disponibles chez Audavia : russe, chinois, arabe ou encore thaïlandais ou hindi. Cette liste est non-exhaustive et vous trouverez toutes les formations en langue étrangère ici !

Le chinois mandarin

Le chinois mandarin est la langue la plus parlée au monde avec près d’1,2 million de locuteurs dans le monde. La Chine est la 2e puissance mondiale, derrière les Etats-Unis, et son rôle sur la scène internationale n’est plus à démontrer. Savoir parler le chinois mandarin est un atout considérable sur son curriculum vitae. Cela vous donnera accès à de nombreuses opportunités professionnelles à l’international et vous démarquera d’autres personnes qui ne le parlent peut-être pas.

Le japonais et le thaïlandais

Du côté de l’Asie, le japonais et le thaïlandais sont également deux langues étrangères intéressantes à connaître si vous travaillez sur un marché asiatique. Chacune avec leurs spécificités, ces deux langues vous ouvriront les portes de postes situés dans des niches, car il n’est pas commun de les connaître.

L’arabe

L’arabe est la langue officielle d’une vingtaine de pays en Moyen-Orient et en Afrique avec environ 300 millions de locuteurs. C’est aussi l’une des six langues officielles des Nations Unies et la seconde langue la plus parlée en France avec 4 millions de locuteurs. Suivre une formation de langue en arabe vous donnera accès à des marchés internationaux et vous permettra aussi de voyager dans de nombreux pays en connaissant la langue mais aussi la culture qui s’y rattache.

Suivre une formation en anglais ou dans une autre langue étrangère vous permettra de vous démarquer au sein de votre entreprise ou d’atteindre de nouveaux objectifs avec des marchés en Europe ou à l’international. Les certifications en langue que vous pouvez passer chez Audavia mettent en avant vos connaissances linguistiques aux yeux du monde professionnel. Alors n’attendez plus pour trouver la langue étrangère qui vous correspond !

Pour tous renseignements complémentaires, contactez-nous au 0805 690 063 (appel gratuit) ou par e-mail (info@audavia.fr). Audavia est certifié QUALIOPI.

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Les certifications proposées par Audavia en bureautique et sur la méthode agile

Vous avez des compétences professionnelles et vous souhaitez les afficher sur votre CV. Pour vous aider dans vos démarches auprès de recruteurs ou mettre en avant vos acquis professionnels, pensez aux certifications ! Ces dernières, obtenues à la suite d’une formation certifiante, attestent de vos connaissances concernant la bureautique, le digital ou la méthode agile et peuvent donner une échelle de vos compétences à vos (futurs) employeurs. Audavia, organisme de certification et de formation propose les certifications TOSA, DigComp, Scrum et SaFe Agilist®.

TOSA, la pro de la bureautique

Le TOSA, abréviation de Test On Software Applications, regroupe de nombreuses applications informatiques, digitales ou de codage et offre des tests d’évaluation pour chacune d’entre elles. Reconnus dans plus de 30 pays, les certifications TOSA sont une référence en matière d’informatique.

Sous forme de QCM, les tests sont basés sur des situations réelles en entreprises et demandent de faire des manipulations sur le logiciel concerné. TOSA a rassemblé ces évaluations de compétences en informatique sous différentes entités :

  • TOSA Desktop : logiciels Microsoft (Excel, Word, PowerPoint, Access), Google (Sheets, Docs et Slides) et libre de droit (Writer, Calc ou Impress) ;
  • TOSA Graphics : logiciels PAO et CAO (Adobe Photoshop, Illustator, InDesign ou Autocad) ;
  • TOSA Digital : référentiel européen DigComp, cyber-sécurité, CMS WordPress ou l’environnement Google Workspace ;
  • TOSA Code : PHP, Python, Java, C#, HMTL5 ou même Angular JS et 2.

Depuis le début de l’année 2022, il est nécessaire d’obtenir un score minimum sur un total de 1000 points pour obtenir la certification TOSA du logiciel choisi. Découvrez ici le barème minimum à obtenir par logiciel. Selon vos résultats, un diplôme numérique vous sera remis, il est valable 3 ans. Votre certification est également référencée sur LinkedIn.

La particularité de TOSA Digcomp

La certification TOSA Digcomp regroupe l’ensemble des compétences digitales globales qu’un travailleur peut connaître sur son environnement informatique. Cette formation certifiante est individuelle et personnalisée avec Audavia, organisme de formation et de certification.

Parmi ses objectifs principaux, on peut retrouver :

  • la découverte ou l’approfondissement de ses connaissances sur les outils informatiques et numériques (maîtrise de l’environnement informatique, des périphériques, navigation sur Internet, outils de bureautique, etc.) ;
  • la résolution de problèmes informatiques et de sécurité (contact avec le service d’assistance technique, installation des mises à jour, etc.) ;
  • le recueil et l’échange d’informations (recherches sur Internet, sauvegarde de données, utilisation des courriels, partage de fichiers, utilisation des réseaux sociaux, vigilance sur le web, etc.) ;

La certification TOSA DigComp donne un résultat allant du statut initial à expert, en passant par basique, opérationnel et avancé.

La certification SaFe Agilist®

La certification SAFe Agilist® s’adresse aux dirigeants d’une initiative de changement Lean-Agile pour développer la bonne culture et appliquer les principes et les pratiques du Scaled Agile Framework® (SAFe®) pour pouvoir ainsi assurer le soutien des équipes, des programmes et de la gestion de portefeuille de programmes Agile.

Cette formation permet de découvrir la méthode agile à l’échelle SAFe (principes, organisation, rôles, indicateurs) et décerne le titre d’Agiliste SAFe certifié (SA).

Audavia, organisme de formation et de certification, dispense des formations SAFe pour conduire les élèves formés aux certifications administrées par la Scaled Agile Academy. Elles ont pour but de démontrer la capacité des professionnels à appliquer les principes du framework SAFe, de la pensée Lean et du flux de développement produit, à l’échelle d’un département ou d’une entreprise dans sa globalité. Cette formation certifiante est éligible au CPF.

Le framework Scrum

Cette approche a été conçue par Ken Schwaber et Jeff Sutherland. Il s’agit de définir comme étant un cadre de travail (framework) pour le développement, la livraison et la maintenance de produits complexes. Celui-ci est principalement destiné à des chargés de projet.

Cela s’appuie sur trois piliers :

  • La transparence
  • L’inspection
  • l’adaptation

Ces trois piliers tendent à faire en sorte que toutes les parties prenantes soient impliquées un maximum dans le projet, tout en ayant connaissance des tâches de chacun.

Les certifications Professional Scrum Product Owner (PSPO1, PSPO2), Professional Scrum Master (PSM1, PSM2) ou bien encore Professional Scrum Developer (PSD1) , obtenues à la suite de formations certifiantes au sein d’un organisme de formation comme Audavia, sont une véritable valeur ajoutée sur votre curriculum vitae. Elles mettent en avant vos compétences en les situant sur une échelle de valeur nationale voire internationale. Elles sont des références dans le monde professionnel et peuvent vous démarquer de potentiels concurrents.

Découvrez toutes les certifications proposées par Audavia ici.

Pour tous renseignements complémentaires, contactez-nous au 0805 690 063 (appel gratuit) ou par e-mail (info@audavia.fr). Audavia est certifié QUALIOPI.

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Les certifications en langue étrangère proposées par Audavia

Aujourd’hui, il est pratiquement obligatoire de savoir parler une langue étrangère, notamment l’anglais, pour être concurrentiel sur le marché du travail. De nombreuses entreprises l’utilisent au quotidien et c’est un réel atout à avoir sur son CV. Pour mettre encore plus en valeur cette compétence ou pour ajouter une nouvelle corde à votre arc, pensez aux certifications. Ces dernières permettent d’évaluer votre niveau dans une langue étrangère grâce à une formation certifiante, comme le TOEIC pour l’anglais par exemple. Elles sont reconnues en France mais aussi à l’international. Audavia est un organisme qui vous propose des formations mais aussi, si vous le souhaitez, le passage d’une certification. Nous vous présentons ci-dessous celles qui sont disponibles pour les langues étrangères.

Les certifications pour l’anglais uniquement

L’anglais reste la langue la plus parlée au monde et c’est encore plus vrai dans le monde du travail. Que vous exerciez dans le domaine du commerce ou du digital, les expressions anglaises font souvent partie de votre quotidien. Des certifications internationales comme le TOEIC ou le Linguaskill de l’Université de Cambridge sont d’excellents indicateurs de votre niveau d’anglais.

Le TOEIC, une certification connue

Reconnu dans le monde entier, le Test Of English for International Communication (TOEIC) permet l’évaluation de vos compétences en anglais sur un registre professionnel. Il évalue 4 compétences linguistiques :

  • la compréhension orale et écrite avec le test TOEIC “Listening and Reading” ;
  • l’expression écrite et orale avec le test TOEIC “Speaking and Writing”.

Son résultat est valable 2 ans et il est éligible au CPF (compte personnel de formation).

Le Linguaskill

Tout comme le TOEIC, le Business Language Testing Service (BULATS, appelé désormais Linguaskill) permet d’évaluer votre niveau en anglais dans un contexte professionnel. Il est également reconnu à l’international. Ce test informatique est auto-adaptatif, c’est-à-dire que les questions posées correspondent automatiquement à votre niveau en anglais.

Audavia est certifié par ETS Global et Cambridge English en tant qu’organisme de formation et de certification pour le TOEIC et le Linguaskill. Grâce à une formation certifiante, Audavia peut vous permettre de préparer ces épreuves et de vous y inscrire, notamment dans le cadre de votre CPF.

Les certifications pour les différentes langues étrangères

Même si l’anglais reste prépondérant sur le marché du travail, il est toujours utile de connaître une ou plusieurs langues étrangères. Cela peut vous démarquer de vos concurrents potentiels ou vous ouvrir les portes d’un nouveau marché. Audavia, organisme de formation et de certification, propose également les certifications suivantes.

La certification CLOE

La Certification CLOE (Compétences Linguistiques Orales et Écrites) certifie vos compétences selon le Cadre européen commun de référence pour les langues (CECRL). Allant du niveau A1 à C2, c’est une référence européenne qui est reconnue dans de nombreux pays.

Les titulaires d’une certification CLOE peuvent attester de leurs compétences à communiquer en situations courantes ou professionnelles dans tous les secteurs d’activités (industrie, tourisme, tertiaire, logistique, santé, recherche, commerce international, import/export, communication…).

Le certificat CLOE est valable à vie et concerne l’anglais, l’allemand, l’espagnol, l’italien et le français langue étrangère, cette certification est éligible au CPF.

Le test Leveltel pour évaluer une langue à l’oral

Leveltel est le seul test existant qui évalue votre aisance à l’oral lors d’interactions en langue étrangère dans un contexte professionnel. Votre évaluateur, dont c’est toujours la langue maternelle, s’adapte à votre niveau pour échanger et découvrir vos compétences dans la langue choisie. Il se base sur 5 critères :

  • L’efficacité grammaticale ;
  • Le vocabulaire métier ;
  • Le vocabulaire courant ;
  • La compréhension orale ;
  • La fluidité de l’expression.

Chez Audavia, vous pouvez obtenir une formation certifiante pour les langues suivantes : anglais, allemand, espagnol, italien et français langue étrangère pour passer le Leveltel.

Bright Language

Les tests de Bright Language sont utilisés dans 80 pays et sont disponibles pour 11 langues différentes : anglais, français, espagnol, italien, allemand, portugais, néerlandais, flamand, suédois, russe et chinois mandarin.

L’examen comporte deux parties : grammaire et structures puis compréhension orale. Bright Language propose de comparer le niveau du candidat aux attentes de l’entreprise qui l’emploie.

Le Diplôme de Compétence en Langue

Le ministère de l’Éducation Nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche a son propre Diplôme de Compétence en Langue (DCL). Il évalue la capacité d’utilisation d’une langue (anglais, allemand, arabe, breton, chinois, espagnol, français langue étrangère, italien, portugais et russe) dans un contexte personnel et professionnel. Le DCL s’attache à 5 domaines de compétence :

  • compréhension de l’oral ;
  • compréhension de l’écrit ;
  • communication interactive ;
  • expression écrite ;
  • expression orale.

La certification Pipplet Flex

Très rapide à passer (en 30 minutes seulement), le test Pipplet Flex évalue la prononciation, l’aisance à l’oral, la capacité à organiser et structurer un récit, à utiliser un registre de langue adapté au contexte.

Pipplet propose des tests pour de très nombreuses langues étrangères :

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Pour tous renseignements complémentaires, contactez-nous au 0805 690 063 (appel gratuit) ou par e-mail (info@audavia.fr). Audavia est certifié QUALIOPI.