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Le guide IA réconfortant pour la démystifier, la comprendre et l’adopter.

Comprendre l’IA est la condition nécessaire pour ne plus en avoir peur. Avec une multitude d’IA génératives et de tâches liées, de plateformes comme ChatGPT, Gemini, DeepSeek, etc, il est légitime de se sentir submergé et perdu. L’appréhension et l’anxiété liées à l’intelligence artificielle viennent d’une méconnaissance de son fonctionnement et d’un manque d’approche simple et constructive.

Ce guide IA (qui se veut réconfortant) est coécrit avec Lenny Daho – ingénieur en solutions IA et automatisation no-code. Il vous aide à démystifier l’IA, comprendre d’où elle vient, comment elle fonctionne. Découvrez les leviers pour une adoption pro-active et sereine.

Au menu

  1. Le contexte de l’IA : entre peurs et opportunités
  2. Connaître l’IA et la démystifier : qui est-elle ?
  3. L’IA dans le quotidien : elle est présente depuis bien longtemps
  4. Comment adopter une approche offensive sereine ?
  5. L’avis de l’expert : Lenny Daho
  6. Ressources et outils pour adopter l’IA
  7. Conclusion : se préparer et oser l’IA

1. Le contexte de l’IA : entre peurs et opportunités

La peur de l’IA est un mécanisme normal et humain face à une technologie inconnue. De plus, elle est alimentée culturellement par d’innombrables récits de science-fiction depuis la nuit des temps. Ces histoires cultivent l’idée que les machines puissent un jour remplacer l’homme et le dominer.

Quand l’IA générative déferle en 2019 auprès du grand public, les inquiétudes se cristallisent : menace sur l’emploi, menace de domination de la technologie sur l’homme, transhumanisme, etc. Une des grandes craintes est celle d’une capacité à prendre des décisions imprévisibles et autonomes. Le développement (ultra rapide) de l’IA augmente ses propres performances et les risques d’échapper au contrôle humain.

L’utilisation et le déploiement de cette technologie doit donc se faire selon une éthique et des lois règlementées. Telle est la mission de l’IA ACT à l’échelle européenne.

L’histoire rassurante de l’homme et des technologies

Un peu de philosophie positive : l’histoire nous prouve que l’humanité a toujours su s’adapter et dominer ses inventions. L’homme déploie des technologies pour améliorer ses conditions de vie et la société. Bien sûr, ces évolutions ont profondément modifié l’organisation sociale, les rapports entre des hommes entre eux et avec le travail.
Fut un temps où allumer des réverbères était un métier, celui de « falotier ». Il a disparu avec l’avènement de l’éclairage électrique ! Et pourtant l’homme est toujours là, la société a évolué et la qualité de vie avec elle. Ainsi l’homme est fondamentalement actif, créatif et capable de s’adapter et de contrôler ses propres inventions technologiques.

« L’histoire montre que l’homme a su développer dans le passé une triple capacité à s’adapter au changement technique, à savoir la capacité à trouver de nouvelles solutions aux problèmes qu’il pose, la capacité à appliquer ces solutions et la capacité à en tirer les conséquences »sources Cairn.info – article de Faranak Farzaneh et André Boyer.

Deux approches face à l’IA : défensive et offensive

  • Défensive : l’homme a un rôle passif qui se résume à affronter les changements engendrés par l’intelligence artificielle. Face à cette technologie qui repousse sans cesse les limites de ce qu’elle peut faire, cette approche n’est actionnable qu’à court terme, épuisante, et ne génère aucun bénéfice pour l’homme et la société.
  • Offensive : cette approche met l’accent sur les capacités d’adaptation et de prise de contrôle de l’homme. Elle permet d’identifier des mécanismes pour s’emparer de l’IA et la dominer plutôt que la subir.

2. Comprendre l’IA et la démystifier : définition et fonctionnement de l’IA ?

L’IA est définie comme la capacité d’un ordinateur (ou d’un robot contrôlé par un ordinateur) à effectuer des tâches associées à l’intelligence humaine et de manière plus rapide.

Pour faire simple, l’apprentissage d’une IA (Deep Learning et Machine Learning) est une discipline qui crée des systèmes de réseaux de neurones et de traitement de données pour reproduire nos facultés cognitives.

« C’est une imitatrice des compétences cognitives de l’homme avec une analyse plus rapide. Dans l’apprentissage Deep Learning, le rôle de l’humain est central. Il garde le contrôle de la machine. » – Lenny Daho

Histoire chronologique de l’IA : les grandes dates

  • 1943 : 1er modèle mathématique pour la création de neurones (par les scientifiques Warren McCullough et Walter Pitts)
  • 1950 : 1er ordinateur à réseau de neurones (par Marvin Minsky et Dean Edmonds à Harvard).
  • 1950 : 1er test d’évaluation des IA (Turing Test), encore utilisé de nos jours. Il pose les fondations de l’intelligence artificielle d’aujourd’hui.
  • 1956 : naissance de l’IA telle qu’on la connait en 2025 : ses fondements, sa vision, ses objectifs (conférence « Dartmouth Summer Research Project on Artificial Intelligence » de John McCarthy).
  • 1959 : invention du terme Machine Learning (IBM Arthur Samuel).
  • 1989 : premier réseau de neurones capable de reconnaitre des chiffres manuscrits (Yann Le Cun) à l’origine du Deep Learning.
  • 1997 : 1er système de jeu d’échec qui a battu Garry Kasparov (Deep Blue).
  • 2000 : arrivée des assistants personnels intelligents (Apple Siri, Google assistant, Microsoft Cortana, Amazon Alexa).
  • 2009 : le Deep Learning s’impose dans de nombreux domaines dont la reconnaissance vocale, la traduction, la reconnaissance d’images.
  • 2019 : Arrivée des IA générative pour le grand public (programme GPT-2 Open AI).

Portrait-robot et principes de l’IA

  • L’IA n’est pas consciente : elle fonctionne sur des algorithmes et des données. Elle ne pense pas par elle-même et n’a pas d’émotions.
  • Elle ne cherche pas à dominer le monde. Cassons le mythe d’un terminator destructeur.
  • L’IA est un outil au service de l’humain qui détermine sa finalité et la programme.
  • Elle est « étroite »*, c’est-à-dire qu’elle réalise une seule tâche de manière quasi parfaite pour accélérer ou automatiser un processus. C’est le modèle le plus utilisé aujourd’hui au service du grand public.
  • Elle a trois types de compétences distinctes : la classification, la reconnaissance vocale, l’analyse/réflexion.
  • Elle permet trois types d’interactions utilisateur : exécuter une tâche (selon des règles très précises), discuter avec l’homme (chatbot), générer des réponses en exploitant des sources externes en temps réel, comme NoteBook LM de Google (RAG ou génération à enrichissement contextuel)

*IA générale ou profonde : réalise plusieurs tâches cognitives comme un humain (hypothétique pour l’instant) – IA forte ou superintelligence : signes de conscience, raisonnement philosophique (impossible à créer de nos jours)

3. L’IA dans le quotidien : les algorithmes ce n’est pas nouveau !

Il n’y a rien de nouveau concernant l’IA. Elle est présente dans notre quotidien depuis bien longtemps en termes d’algorithmes, de traitement de données et de restitution : des technologies pour faciliter la vie.
Voici une liste non exhaustive d’applications IA:

  • IA et divertissement : les algorithmes de recommandation (Netflix, Spotify, etc)
  • IA au travail : les filtres anti-spam. Une boîte mail utilise les algorithmes et le traitement de données pour identifier et bloquer les courriers indésirables avant qu’ils n’arrivent dans votre boîte de réception.
  • IA à la maison : les assistants vocaux. Siri, Google Assistant ou Alexa utilisent des technologies d’IA pour comprendre vos commandes et vous fournir des réponses ou accomplir des tâches.
  • IA et santé : elle aide les médecins à diagnostiquer plus rapidement certaines maladies en analysant des images médicales.
  • IA et traduction automatique : des outils comme Google Translate s’appuient sur l’IA pour traduire des textes en temps réel.

4. Comment adopter une approche IA offensive et sereine

Adopter une approche offensive face à l’IA, c’est se donner les moyens de la maîtriser et de l’utiliser pour faire progresser la société humaine. L’histoire et la philosophie nous enseignent que l’être humain est par nature « politique » et agit collectivement pour façonner son environnement. La création de l’intelligence artificielle s’est donc faite dans une intention d’améliorer la condition humaine et de répondre à des attentes sociales. L’objectif final est bien d’adapter l’IA à la société humaine et non l’inverse.

L’avènement de l’IA depuis 2019, accessible à tous, mène aujourd’hui à une surenchère fulgurante de solutions : Gemini, chat-GPT, DALL-e, DeepSearch, etc… Comment s’y retrouver parmi tous ces outils et les adopter de manière contrôlée et sereine ?

Quels mécanismes pour s’emparer de l’IA ?

Utiliser l’IA avec une approche offensive comprend trois phases progressives.

  1. Apprendre à travailler avec l’IA : c’est une phase d’adaptation à ce nouveau contexte de travail. Une étape où l’identification des compétences et la formation sont nécessaires (apprendre à prompter par exemple).
  2. S’approprier l’IA : une étape de collaboration homme-machine où l’utilisation de l’outil avec la supervision de l’homme redessine les solutions proposées par les organisations (innovations).
  3. Maîtriser la machine : cette phase est celle où l’IA sert les interactions sociales, où les rapports sociaux sont redéfinis, et où l’IA devient secondaire voire banale. Par analogie, Whatsapp a par exemple façonné de nouvelles façons d’interagir au service du collectif et s’est imposé dans toutes les sphères : étudiants, familles, recrutement … pour devenir une norme de communication sociale.

Les compétences professionnelles utiles pour s’approprier l’IA

La réalisation de ces étapes offensives suppose dès maintenant d’identifier dans les entreprises, les compétences nécessaires pour une interaction avec l’IA réussie :

  • compétences managériales projets et leadership
  • compétences créatives
  • compétences en stratégie et communication
  • compétences en gestion du changement et des conflits
  • compétence en stratégie RSE

5. L’avis de notre expert Lenny Daho, ingénieur solutions IA

Lenny Daho- ingénieur spécialisé IA & automatisation no-code, développe des solutions IA pour les entreprises dans des secteurs variés comme la santé ou le marketing.

Qu’est-ce qu’une IA techniquement ?

Réponse : un raisonnement statistique et de corrélation.

« L’IA est un système de raisonnement statistique basé sur les mathématiques. Plus on lui donne de données plus elle doit les corréler avec ce qu’elle a déjà appris. Elle apprend statistiquement. Elle crée des expériences qu’elle finit par reconnaître et qu’elle valide.»

Qu’est-ce que le Deep Learning pour les non experts ?

Réponse : un entrainement à partir de données précises

« Le Deep Learning consiste à entrainer les IA et les réseaux de neurones avec des bases de connaissances (données) en leur assignant un rôle très précis. C’est comme un enfant qui apprend à lire. Il faudra plusieurs lectures d’un même mot pour qu’il le comprenne. Cette répétition permet aux neurones d’identifier et de valider. Un neurone IA (un peu moins complexe qu’un neurone biologique humain) suit le même schéma. Plus il voit une donnée, plus il la reconnaît facilement et peut alors s’en servir. »

Quel est le rôle de l’homme dans l’apprentissage d’une IA ?

Réponse : classer les données et vérifier l’intégration par l’IA

« Lors de l’entraînement, on définit une base de données. Puis par la suite, on intègre des nouvelles données et on doit vérifier qu’il y a bien une corrélation avec la base déjà apprise. Dans ce processus, l’humain doit classifier en amont puis vérifier que l’IA a bien classé et intégré les nouvelles données. Il garde un contrôle sur toute la chaîne d’apprentissage. »

Quelle est la plus grande idée totalement fausse sur l’intelligence artificielle ?

Réponse : la connaissance absolue

« Croire que l’IA est une source de connaissance absolue. Ce n’est pas vrai. Elle ne connait que les données qu’on lui intègre. De plus, elle répond de manière statistique et non en conscience. »

Pourquoi l’IA fait-elle peur ?

Réponse : les révolutions font peur et sont perçues comme une menace

« C’est légitime, ce qu’on ne connait pas fait peur. Les révolutions technologiques comme l’électricité, l’ordinateur, internet, le nucléaire ont toujours eu mauvaise presse au départ. Mais l’homme s’adapte. Quand il apprivoisera l’IA, sa peur disparaitra. L’IA peut être envisagée comme une menace potentielle sur l’existence humaine, comme le nucléaire. Mais aujourd’hui, on en est loin, même si le Center for AI Safety la considère comme une priorité mondiale en terme de régulation, de réglementation et d’éthique. L’IA Act à l’échelle européenne en est une illustration et une nécessité d’utilité publique. »

Quels conseils donner à un novice qui souhaite travailler avec l’IA ?

Réponse : s’entraîner, tester, se former, prompter.

« Avant de prendre en main un outil dans un contexte professionnel, il faut avoir une connaissance métier approfondie. C’est indispensable pour superviser, analyser et valider les réponses d’une IA. Ensuite, il faut s’entraîner, tester et ne pas hésiter à poser des questions basiques sur l’utilisation. Enfin, maîtriser le prompt est essentiel pour cadrer les réponses dans un objectif métier précis. »

Quelles sont les compétences à déployer pour travailler avec l’IA ?

Réponse : expertise métier, organisation, analyse critique et autocritique

« Quand on travaille avec l’IA, il faut en amont maîtriser son sujet et savoir être organisé dans ses idées. Si vos idées sont floues, les réponses de l’IA le seront aussi. Il faut bien définir ses objectifs et ce que l’IA peut apporter pour les atteindre. Puis il faut rechercher les outils IA qui correspondent à nos objectifs et besoins. Une capacité d’analyse critique des réponses est ensuite indispensable. En ce qui concerne les hallucinations et les biais cognitifs, l’autocritique est également un pilier car l’IA ira toujours dans le sens qu’on lui impose. Elle ne nous contredit pas ! Elle est déjà censurée sur les biais cognitifs sexuels et raciaux par exemple. »

Comment voyez-vous l’évolution de l’IA dans les 5 à 10 prochaines années ?

Réponse : intégrée, contrôlée et banalisée

« Les entreprises implémentent de plus en plus l’IA dans leur systèmes. Elle sera bientôt banalisée et on l’intègrera au quotidien sans s’en rendre compte. Comme on l’a fait avec les ordinateurs. L’être humain finit toujours par s’adapter, s’approprier et contrôler les technologies. Dans cette perspective, le contrôle de l’IA sur l’alignement est un travail mené pour faire en sorte que l’intelligence artificielle fasse ce qu’on lui demande dans le respect des lois et de l’éthique. »

Sur le terrain, comment les entreprises s’emparent-t-elles de l’IA ?

Réponse : attentes orientées résultats immédiats ou orientées process.

« Il y a deux grands types d’approche auxquels j’ai été confronté. La première, un dirigeant qui ne comprend rien à l’IA et ne cherche pas à comprendre en détail. Il cherche du résultat immédiat et de la productivité en automatisant les tâches. Il a confiance en l’outil IA développé car sa capacité d’analyse critique lui permet de juger de la pertinence et de l’efficacité des résultats donnés par l’IA.
L’autre approche est celle d’un client qui souhaite utiliser une solution IA à laquelle ils pourront implémenter des documents techniques internes pour obtenir des résultats tangibles, sans avoir à consulter ces documents. Cette stratégie suppose de former deux équipes internes. Les administrateurs de l’agent IA pour pouvoir le modifier et le faire évoluer, et les ingénieurs pour l’utiliser efficacement. »

Une phrase d’encouragement pour s’y mettre en toute confiance ?

« C’est le premier pas qui compte. Testez, faites votre analyse critique et voyez ce que vous en tirez. »

6. Ressources et outils pour adopter l’IA

L’arrivée de l’IA massive dans les entreprises impose d’investir dans le développement de nouvelles compétences humaines en formant les salariés. Dans une idée d’approche offensive, les formations en transition digitale, management, conduite du changement, RSE et développement personnel sont incontournables.

Compétences techniques et digitalesInformatique et IAPrompt EngineeringAnalyse de donnéesSEO et réseaux sociaux
Maîtriser les bases de l’IAAppendre à communiquer efficacement avec l’IAApprendre à utiliser des outils de gestion de données (Power BI par exemple)Apprendre à rester visible en ligne avec l’IA
Compétences managériales et humainesManagement et leadershipGestion des risquesRSEDéveloppement personnel
Gérer le changement et animer une équipeIdentifier et anticiper les défis liés à l’IAIntégrer la responsabilité sociale dans l’utilisation de l’IAGérer les conflits, motiver les équipes, favoriser la communication

Notre sélection de formations pour s’approprier l’IA

Compétence digitales :

Compétences managériales

Compétences en développement personnel

Notre sélection d’articles IA pour pousser la réflexion

En résumé : se préparer et oser l’IA

L’Intelligence Artificielle, malgré des inquiétudes légitimes concernant l’emploi, la régulation et l’éthique, offre une opportunité pour l’évolution de la société humaine. Loin d’une approche défensive et passive, l’histoire nous enseigne la capacité de l’homme à s’adapter, à s’approprier et à maîtriser ses innovations technologiques.
Une approche offensive en trois phases – apprendre, s’approprier et maîtriser l’IA – abordée collectivement et orientée vers les besoins sociaux, est alors un levier de progrès, de liberté et de bien-être.
L’IA est un outil que l’homme peut utiliser pour son propre bénéfice dans un cadre éthique et réglementé. Dans ce contexte galopant, le plan « Osez l’IA » de l’Etat a été lancé en juillet 2025 pour accélérer la diffusion de l’intelligence artificielle dans toutes les entreprises françaises.

Nos remerciements à Lenny Daho pour sa participation.

Découvrez nos formations sur mesure. Pour tous renseignements complémentaires, contactez-nous au 0805 690 063 (appel gratuit) ou par e-mail (info@audavia.fr). Audavia est certifié QUALIOPI.

Illustration d'un robot IA et d'un homme travaillant ensemble pour une bonne qualité de vie au travail.

L’IA au service de la qualité de vie au travail : valoriser le capital humain !

L’intelligence artificielle, véritable révolution, transforme en profondeur le monde du travail. Si elle évoque souvent des craintes liées à la disparition de certains emplois, il est essentiel de souligner les nombreux avantages que l’IA peut apporter à la qualité de vie au travail.

Selon une étude récente de l’Institute for the Future of Work, les TIC ne sont pas problématiques intrinsèquement. Les effets sur le bien-être au travail sont plutôt liés à la manière dont la technologie est conçue et déployée. Ainsi, cela dépend de nombreuses décisions humaines !

Comment concilier les promesses de l’IA avec le bien-être professionnel ?

Dans cet article, nous exposons les opportunités et les défis à relever pour instaurer une qualité de vie et des conditions de travail performantes.

Qualité de vie 4.0 : une démarche RSE !

L’automatisation des tâches et l’optimisation des flux de travail ont l’avantage de mener vers la performance opérationnelle. Mais plus profondément, cela permet de valoriser le capital humain et s’inscrit dans une démarche de Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE) pour améliorer la qualité de vie au travail de l’ensemble des collaborateurs.

Les entreprises qui sauront intégrer l’IA au quotidien pourront libérer les salariés des tâches routinières. Elles miseront alors sur ce qui demeure essentiel : l’innovation, la créativité, les relations humaines.

Audavia vous accompagne avec des formations RSE afin de valoriser votre démarche et d’en faire un axe de développement fort.

IA & QVT : automatisation, personnalisation et collaboration.

De l’automatisation à la collaboration homme-machine, l’IA libère des tâches fastidieuses et révèle le potentiel humain au sein des entreprises.

  • Les tâches automatisées pour plus de créativité : les tâches répétitives, à faible valeur ajoutée, sont souvent à l’origine de l’épuisement professionnel et de la baisse de productivité. L’automatisation offre l’opportunité de se concentrer sur des activités plus créatives, plus stratégiques et plus gratifiantes.
  • L’environnement de travail personnalisé : grâce à l’IA, les environnements de travail seront de plus en plus personnalisés. Les outils d’analyse de données permettent d’identifier les besoins et les préférences de chaque salarié afin de leur proposer des solutions adaptées.
  • La collaboration homme-machine renforcée : l’IA vient compléter le capital humain pour améliorer les performances et l’efficacité. Une maîtrise des outils via une mise à niveau des compétences permet aux salariés de mieux vivre ce changement.

Les clés de l’équilibre bien-être machine-humain

Pour tirer pleinement parti des avantages de l’IA, il faut préserver le bien-être des collaborateurs. Les entreprises doivent adopter une approche globale et prendre en compte les dimensions technologiques, organisationnelles et humaines :

  • Une conception des outils centrée sur l’humain pour faciliter leur utilisation.
  • Un management humain exacerbé, basé sur l’écoute, l’encouragement et le soutien. Nos formations en management d’équipes peuvent vous accompagner dans cette démarche.
  • Un accompagnement personnalisé avec des formations et coaching pour aider les employés à s’adapter aux nouveaux outils et à développer de nouvelles compétences. En effet, plus possible de faire « machine arrière ».
  • Une communication transparente : les entreprises doivent informer leurs collaborateurs sur les objectifs de l’IA, ses impacts potentiels et les mesures mises en place pour protéger leur bien-être. Elles doivent les orienter et répondre à leurs besoins de formation afin qu’ils ne se sentent pas menacés par l’arrivée de cette nouvelle technologie dans leur quotidien professionnel.

Anticiper et former : réduire les potentiels risques de l’IA

Si les avantages de l’IA sont nombreux, il est important de ne pas négliger les risques potentiels. L’automatisation de certaines tâches peut entraîner des pertes d’emplois, notamment dans les secteurs les plus touchés par la digitalisation. De plus, la dépendance à l’égard des outils numériques peut augmenter le stress et la fatigue liés au travail.

Pour faire face à ces défis, les entreprises doivent investir dans la formation de leurs collaborateurs.

Fort de notre volonté de contribuer à un monde en pleine révolution, Audavia vous accompagne avec des programmes sur mesure, en présentiel ou distanciel, dédiés à la qualité de vie au travail, à la gestion du stress et aux risques psychosociaux.

Ces formations professionnelles permettront aux salariés de mieux appréhender les changements liés à l’IA, de développer de nouvelles compétences et de trouver des stratégies d’adaptation.

En résumé

Entre opportunités et défis, l’IA offre des perspectives très prometteuses pour améliorer la qualité de vie au travail. En automatisant les tâches répétitives, en personnalisant les environnements de travail et en renforçant la collaboration homme-machine, l’intelligence artificielle peut contribuer à créer des emplois plus stimulants et plus gratifiants.
Pour tirer pleinement parti des avantages de l’IA, il est essentiel de mettre en place des stratégies de formation et de reconversion des salariés. Tout l’art sera donc de trouver le juste équilibre, en plaçant l’humain au cœur des réflexions et des actions.
Mettre en place des mesures holistiques, notamment la formation professionnelle continue, vise à préserver le bien-être des collaborateurs et leur montée en compétences digitales.

En adoptant une approche équilibrée, les entreprises peuvent tirer le meilleur parti de cette technologie.

Découvrez nos formations sur mesure. Pour tous renseignements complémentaires, contactez-nous au 0805 690 063 (appel gratuit) ou par e-mail (info@audavia.fr). Audavia est certifié QUALIOPI.

Femme au travail avec une bonne conscience de soi, le soft skill pour réussir sa carrière

Conscience de soi : le soft skill à fort potentiel de réussite très prisé des recruteurs

Dans un univers professionnel de plus en plus dominé par la technologie et l’intelligence artificielle, l’humain doit (re)trouver sa place et développer des soft skills liés à son intelligence émotionnelle. Parmi elles, la conscience de soi, une douce compétence personnelle que les entreprises vont s’arracher de plus en plus.

Le rapport « Future of Work 2023” du World Economic Forum classe cette soft skill 4ème au top 10 des compétences attendues par les recruteurs. Il l’inscrit dans les tendances socio-économiques qui façonnent le lieu de travail futur.

Dans cet article, nous verrons comment développer la conscience de soi des talents présents dans l’entreprise et quelles sont les solutions côté recruteurs pour identifier les profils prometteurs.

La conscience de soi : un passeport pour une carrière épanouie

La conscience de soi est la capacité à se connaître soi-même : ses forces, ses faiblesses, ses émotions, sa façon de fonctionner, ses sentiments et émotions… Cette vision de notre propre univers intérieur est une compétence devenue un véritable sésame pour réussir sa carrière. Et les entreprises en feront une de leurs priorités de formation dans les années à venir.

A travers ses formations en développement personnel cousues main, en distanciel et présentiel, Audavia accompagne celles et ceux qui souhaitent marier épanouissement personnel et réussite professionnelle tout en contribuant à bâtir les entreprises 4.0 de demain.

Quels sont les bénéfices en milieu professionnel de la conscience de soi ?

Etroitement liée à une agilité cognitive et émotionnelle, la conscience de soi permet d’être plus lucide sur ses qualités et défauts. A cette force, s’ajoute une plus grande réceptivité aux feedbacks et une appétence accrue pour apprendre et s’améliorer. Au final, une plus forte motivation s’inscrit en soi et permet de faire face à l’évolution permanente des compétences. Pour les recruteurs, c’est un signal fort d’efficacité et d’intelligence émotionnelle qui permet de s’intégrer rapidement dans l’entreprise et d’y contribuer significativement.

Des outils pratiques pour développer l’intelligence émotionnelle

Identifier ses émotions, ses blocages, ses croyances, ses valeurs et être capable de comprendre leurs impacts sont les clés pour acquérir une conscience de soi émotionnelle plus fine et aboutie, vitale pour la performance au travail.

Ces facteurs sont souvent ébranlés par le stress de situations difficiles et de remises en questions en milieu professionnel, encore plus aujourd’hui où les salariés peuvent se sentir de plus en plus inutiles face à l’intelligence artificielle.

Quelles formations pouvez-vous mettre en place :

  • La gestion du stress : pour acquérir la maîtrise de soi, anticiper les situations difficiles et savoir faire appel à ses ressources pour faire face.
  • Le développement de la confiance en soi : pour se dépasser, s’affirmer et activer ses leviers de motivation.
  • La communication interpersonnelle : pour se connecter à l’autre de manière positive et maîtriser l’impact émotionnel de la communication.
  • La gestion du temps : pour clarifier ses contraintes, ses priorités et ses responsabilités.

Conscience de soi et leadership : un mariage heureux

La conscience de soi s’associe souvent à d’autres soft skills dont le leadership et l’influence classés au top 10 du « Future of Work 2023”. Aujourd’hui 40% des entreprises en font une priorité dans leur programme de formation en management et 53% estiment que leur importance grandira d’ici 2027.

Reconnaître et recruter les profils à haute conscience de soi

Identifier les candidats à fort potentiel est donc une condition sine qua none pour les recruteurs, les ressources humaines et les managers : pour cela plusieurs outils, dont les entretiens comportementaux et les tests de personnalité.
Pour vous soutenir dans cette démarche, nous vous formons aux techniques d’analyse comportementales et psychologiques afin d’optimiser vos recrutements.

En résumé

Miser sur la conscience de soi dès maintenant est une stratégie gagnante pour l’avenir. Que ce soit côté talents ou côté recruteurs, tous vont devoir marcher vers le même objectif : se former pour développer une soft skill primordiale dans un paysage professionnel où les connexions humains-machines redéfinissent la qualité de vie au travail.

Découvrez nos formations sur mesure. Pour tous renseignements complémentaires, contactez-nous au 0805 690 063 (appel gratuit) ou par e-mail (info@audavia.fr). Audavia est certifié QUALIOPI.

résolution 2022 au travail

2022 et ses bonnes résolutions au travail !

Comme chaque année c’est le temps du bilan, on regarde l’année qui s’est écoulée et on essaye de tirer parti de l’ensemble des expériences qui l’a constituée. Pour repartir du bon pied, et dans la continuité du bilan, on se fixe de nouvelles actions à mettre en place.

Mais pour tout un chacun, les bonnes résolutions de la nouvelle année, même au travail, c’est souvent un feu de paille !

On vous délivre quelques conseils et astuces pour 2022, en vous souhaitant une belle année !

Les 7 bonnes résolutions professionnelles incontournables en 2022

Améliorer sa qualité de vie au travail

Le travail représente une partie conséquente de notre activité de vie. S’il est une ressource indispensable financièrement sans pour autant être une passion, il n’en reste pas moins important pour notre bien-être quotidien. La qualité de vie au travail est donc à ne pas négliger pour soi ou pour ses collaborateurs.

  • Manger, bouger

On n’est pas les seuls à vous le dire… Et c’est d’autant plus valable au bureau. Le temps de travail et le stress conduisent souvent à négliger les repas. Faites une vraie pause déjeuner, même si elle est de courte durée. On peut manger sainement même si on bénéficie de peu de temps.

Et pourquoi ne pas profiter de l’occasion pour faire un tour, manger dehors ou simplement marcher, discuter (en prenant les escaliers pour aller voir votre collègue du 2ème évidemment !) … ? C’est bon pour le corps et l’esprit !

  • Après l’effort, le réconfort

Après une journée de travail intense, de course contre la montre, prenez du temps pour vous. Même quelques minutes pour vous faire plaisir ou pratiquer une activité qui vous fait du bien : yoga, Pilates, course à pied… Ou aller boire un verre avec des amis en terrasse !

  • Créer des relations professionnelles agréables

On passe plus de temps avec ses collègues de travail qu’avec ses amis ou sa famille. C’est un fait. Alors autant rendre ces moments agréables. Si c’est dans vos attributions, créez des moments conviviaux au sein de l’entreprise. Si ce n’est pas au cœur des préoccupations de votre entreprise, suggérez-le ou organisez des after-work en fin de journée, par exemple. Le « team building » est souvent un des éléments de stratégie RH en entreprise, ce n’est pas pour rien. Renforcer les liens entre les salariés est une bonne chose pour tous les membres de l’entreprise.

  • Donner du sens à votre espace de travail

En fonction des possibilités qu’offre votre espace de travail et les contraintes de votre entreprise, aménagez votre bureau à votre image. Faites de cet espace un lieu aussi pratique pour optimiser votre temps de travail qu’agréable : plantes vertes, photos de famille, de voyage…

On vous conseille même de mettre un joli fond d’écran aux couleurs de votre prochain projet personnel. Un bon leitmotiv pour travailler chaque jour.

  • Se former

Donnez du sens à vos objectifs personnels et professionnels. On a tous des ambitions professionnelles. Parfois, on prend du temps pour se décider et opérer un changement dans sa carrière. Les bonnes résolutions sont l’occasion de franchir le cap !

Vous souhaitez renforcer vos compétences ou en acquérir de nouvelles ? Vous avez l’embarras du choix puisqu’il existe de très nombreuses formations, que ce soit en ligne ou en présentiel.

Retrouvez tous nos conseils sur la qualité de vie au travail

Adopter une attitude durable et écologique

résolution écologique 2022

Et pourquoi pas essayer d’adopter un ou des gestes supplémentaires en faveur du développement durable ?

  • Réduire l’impact environnemental avec une meilleure gestion des déchets

Des petites astuces au quotidien qui peuvent tout changer à l’échelle d’une entreprise :

Réutiliser les feuilles imprimées en brouillon pour éviter de jeter

Trier : dans l’environnement professionnel beaucoup de déchets qu’il suffirait de trier peuvent être recyclés

Eviter d’imprimer si on peut numériser.

  • Réduire l’impact numérique

On le voit de plus en plus, comme dans la dernière publicité du Ministère de la transition écologique, le numérique est très polluant. Il suffit donc parfois uniquement de trier ses mails, de les supprimer, d’éviter les mails avec des pièces jointes lourdes…

  • Recycler

Les consommables : tasses, couverts… mais surtout changer nos pratiques en utilisant des objets lavables

Les outils digitaux, avec le reconditionnement (téléphones, tablettes, ordinateurs…)

Comment tenir ces bonnes résolutions ?

Si on est objectif, les bonnes résolutions professionnelles (il en va de même pour les personnelles) sont souvent abandonnées avant même le mois de janvier terminé. Les mauvaises habitudes sont tenaces.

Voici 2 clés de réussite :

  • Pour appliquer ses bonnes résolutions, il faut apprendre à ne pas vouloir tout changer du jour au lendemain car cela a peu de chance de fonctionner.
  • Abandonner une ancienne habitude au profit d’une nouvelle et s’y tenir au moins 20 jours durant permet de créer une nouvelle habitude et de l’ancrer plus durablement.

Fixez-vous des objectifs atteignables, vous ne serez que plus satisfait(e) de les atteindre !

Belle année 2022 à tous

Pour tous renseignements complémentaires, contactez-nous au 0805 690 063 (appel gratuit) ou par e-mail (info@audavia.fr). Audavia est certifié QUALIOPI.

visioconférence réunion dynamique

Réunions en visioconférence : être impactant et efficace malgré la distance

Nous jonglons maintenant depuis 2 ans avec le « présentiel » et la visioconférence. Alors qu’on parle de 5ème vague du Covid, les réunions en visio sont de retour, avec la difficulté supplémentaire de gérer la lassitude des collaborateurs et la démotivation d’être de nouveau face à son écran alors que la convivialité et les échanges manquent tellement aux équipes.

Pour favoriser l’échange et conserver le dynamisme des réunions même en distanciel, voici nos clés de réussite !

Bien organiser et anticiper sa visioconférence

Afin d’être efficace et de pouvoir mobiliser au maximum l’attention des participants, nous vous conseillons de bien anticiper vos réunions :

  • Prévoir un ordre du jour clair et concis. Il est important d’aller à l’essentiel
  • Essayez de favoriser des séances de maximum 1 heure. Pour les visioconférences de plus d’une heure, instaurez une petite pause. Dans l’idéal, si les sujets abordés prennent du temps, vous pouvez programmer 2 réunions au lieu d’une seule.
  • Etablissez un ordre de prise de paroles si cela est nécessaire, en fonction des thématiques. Ainsi, chacun aura un temps de parole et respectera plus facilement le temps de ses collègues. Si vous vous réunissez pour brainstormer, à ce moment-là, communiquez avec les participants sur un tour de table prédéfini.
  • Définissez des règles : cela peut sembler évident mais il est important de le rappeler : éviter les bruits parasites, garder la caméra allumée, éteindre les téléphones portables, avoir une attitude professionnelle et dynamique, respecter le temps de parole de chacun…
  • Transmettez toutes ces informations et le lien de connexion bien en amont pour éviter les retardataires.
  • Envoyez bien à l’avance l’email d’invitation à la séance.

Afin de maintenir la concentration de tous et de pouvoir proposer des temps d’échanges constructifs, on vous recommande de limiter, si possible, le nombre de participants en-dessous de 10.

Mener votre visioconférence

Tous les collaborateurs sont réunis pour votre réunion. Nous vous livrons quelques clés supplémentaires pour rendre ce temps de communication professionnel, dynamique et productif pour vous et l’ensemble des participants.

  • N’hésitez pas à ouvrir la conférence quelques minutes avant le début de la réunion afin d’offrir à tous un temps plus détendu d’échange informel et la possibilité de se connecter et/ou de pallier les petits aléas informatiques. A chaque connexion, vérifiez que tout fonctionne pour ne pas perdre de temps durant la réunion.
  • Définissez des rôles qui permettront à chacun de s’impliquer davantage, de rester focus sur la réunion : compte rendu, suivi des questions sur le tchat, maitre du temps…
  • Rappelez les règles de la réunion et l’ordre du jour avec les différents temps d’échanges.
  • Débutez par un petit tour de table pour échanger rapidement et inclure tous les participants, proposez à vos collaborateurs de prendre un thé ou un café à côté d’eux pendant la réunion. C’est l’occasion de voir comment se portent tous les membres de la réunion, de voir si certains ont besoin d’un temps supplémentaire pour échanger au terme de celle-ci.
  • Soyez clair et concis pour ne pas vous écarter de l’ordre du jour et surtout ne pas perdre l’attention des autres. Vous pouvez, pour être plus concret, effectuer un partage d’écran pour montrer certains documents. Ce fonctionnement vous permettra d’alterner les phases de présentation et les phases d’échange pour maintenir le rythme.

Lorsque vous allez clôturer la visioconférence, faites un dernier petit tour de table et demandez aux participants leurs idées pour les prochaines réunions !

Une petite touche ludique pour maintenir le plaisir de se voir

La visioconférence ne remplacera jamais le plaisir de partager un moment ensemble. Mais il est à noter que cela comporte quelques avantages : gain de temps, télétravail, réunion programmée et structurée…

Pour apporter une petite touche de plaisir à ces rencontres virtuelles, vous pouvez inclure des petits jeux, des défis, des challenges. Vous pouvez également apporter du dynamisme à vos supports de présentation : gifs, vidéos, couleurs, formats… Et pourquoi pas des thèmes, malgré la distance : galette des rois, vendredi tout est permis…

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savoir etre recrutement

Entretien de recrutement : le savoir-être au cœur de votre réussite !

Lorsqu’on est à la recherche d’un nouveau poste, l’étape cruciale du ou des entretien(s) de recrutement est un cap important. En tant que candidat, on souhaite faire la différence. En tant que recruteur on cherche à trouver la personne idéale pour répondre aux besoins de l’entreprise, tant sur le plan opérationnel (savoir-faire) que sur ses valeurs (savoir-être).

Les différents types de « savoir » recherchés par les recruteurs

Il existe trois grands types de compétences recherchées pendant un processus de recrutement, qui permettront de définir le meilleur candidat pour un poste mais aussi pour son intégration au sein de l’entreprise.

Le savoir

Il s’agit de l’ensemble des connaissances acquises durant les études mais également la culture générale autour des sujets liés à l’activité exercée, et bien sûr au travers de l’expérience du candidat. Le savoir a tendance à croitre avec le temps et les apprentissages, mais parfois il peut se dégrader si la personne n’a pas suivi les avancées dans son domaine.

Le savoir est facile à identifier et à nommer, il suffit pour le postulant de lister tout ce qu’il sait, et pour le recruteur d’entendre ces connaissances, voire de les vérifier.

Le savoir-faire, ou hard skills

Dans ce cas, on parle d’expérience pratique, de technicité dans un domaine, de la mise en pratique de la théorie. Tout le savoir-faire réside dans la capacité à mettre en œuvre les compétences.

L’expérience est un bon moyen de mesurer le savoir-faire mais le meilleur moyen de le vérifier se fait au travers de recommandations, ou « vérification de références ». En effet, un précédent employeur pourra facilement attester des hard skills d’un candidat.

Les savoir-faire, une fois identifiés, peuvent être catégorisés par domaine d’intervention.

Le savoir-être, ou soft skills

Ce type de compétences est davantage lié à vos valeurs, votre attitude, ce sont vos qualités personnelles appliquées au domaine professionnel : politesse, courtoisie, relationnel….

La bonne nouvelle, pour certains, c’est qu’en matière de savoir-être, le bagage scolaire ou professionnel n’est pas utile. On parle souvent, pour le définir, d’intelligence comportementale.

Cette combinaison d’aptitudes offre le socle approprié pour une expérience professionnelle couronnée de succès.

L’importance du savoir-être (soft skills) pour optimiser les chances de réussite

A l’arrivée d’un nouvel élément dans l’entreprise, on mesure rapidement ses compétences factuelles, qui ont une valeur productive immédiate pour l’entreprise. Alors que le savoir et le savoir-faire étaient traditionnellement les bases d’un recrutement, le savoir-être gagne désormais en importance, de plus en plus considéré comme un facteur clé de l’évolution professionnelle, lié à la performance de l’entreprise.

L’entreprise, en misant sur des valeurs fortes et en s’assurant de les partager avec ses salariés, garantit la pérennité du fonctionnement, de la cohésion et de l’adaptabilité, gages de réussite.

Le savoir-être, en passe de détrôner les diplômes ?

compétences comportementales

In fine, le ou les diplômes, associés ou non, sont indispensables pour un recrutement. Mais à compétences professionnelles équivalentes, ce qui fera la différence c’est bien le comportement, votre implication… D’autant plus que seulement 9% des employeurs mettent en avant le diplôme comme critère essentiel lors d’un recrutement. A contrario, le savoir-être est retenu par 82% d’entre eux. Si les aptitudes sont indiscutables pour un recrutement, la personnalité, puis la motivation et enfin le dynamisme sont les éléments les plus considérés lors d’une embauche.

Concrètement, le recruteur s’intéressera à la capacité du candidat à ajuster son comportement à différents types de situations ou d’environnements de travail. Quand on connaît la complexité de certains recrutements, cette approche apparaît essentielle pour une expérience professionnelle réussie.

Le savoir-être en pratique !

Quels sont les bons comportements à adopter lors d’un entretien d’embauche ?

  • Être ponctuel, l’idéal étant même d’arriver 5 à 10 minutes avant l’heure du rendez-vous.
  • Être poli et avec toutes les personnes que vous croiserez !
  • Être de bonne humeur et souriant malgré le stress de l’enjeu
  • Montrer votre intérêt, en ayant des connaissances sur l’entreprise et son secteur d’activité

A éviter impérativement !

  • Le regard fuyant, qui ne met pas l’interlocuteur en confiance
  • L’excès de confiance : soyez humble et objectif sur vos capacités
  • Le manque d’honnêteté : mieux vaut jouer cartes sur table pour éviter les déconvenues.

Bon à savoir

Comment valoriser votre savoir-être en entretien de recrutement ? Il s’agit de compétences personnelles, comme évoquées précédemment, mais en vous renseignant au préalable sur les valeurs de l’entreprise et le processus de recrutement, vous aurez déjà quelques éléments pour bien vous préparer. Si vous effectuez certains tests de personnalité, soyez simple et honnête, c’est l’idéal !

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Notation compte formation

Mon compte formation : nouvelles notations utilisateurs

Dans le cadre de la réforme sur la formation professionnelle et son accessibilité à tous, mon compte formation propose, à partir de février 2021, l’affichage des notes qu’auront données les participants aux formations réalisées. L’occasion de valoriser les organismes de formation et d’aiguiller les utilisateurs.

L’intérêt d’évaluer les formations

Dans un objectif de rendre l’accès à la formation plus aisé via mon compte formation, le site va proposer, à compter du mois prochain, la possibilité d’évaluer la formation effectuée .

Les intérêts de cette nouvelle option sont multiples :

  1. Faciliter la recherche sur le site : en mars, ce système de notation sera accompagné d’un filtre permettant aux futurs stagiaires de sélectionner les formations les mieux évaluées.
  2. Valoriser les organismes de formation : le principe de notation sera mis en place, dès que la formation aura une première note et permettra ainsi de mettre en avant les organismes répondant au mieux aux critères des usagers.
  3. Donner accès à une analyse détaillée de chaque formation, favorisant ainsi tant le fond que la forme de façon objective, avec un regard extérieur à l’organisme.
    La notation sera visible de deux façons :
    • Note moyenne de l’action sur le moteur de recherche
    • Note complète sur la fiche de formation

Le processus d’évaluation des formations

L’évaluation est faite en 2 temps, le premier à chaud et le second à froid, permettant ainsi de recueillir des avis sur le déroulement de la formation, mais aussi sur son application en entreprise ou dans son projet professionnel.

L’évaluation de la formation à chaud

Comme son nom l’indique, cette première étape de la notation est basée sur les retours pendant ou juste après la réalisation de la formation.
Elle porte sur les éléments suivants :
• L’accueil 
• Le contenu de la formation 
• L’équipe de formateurs 
• Les moyens mis à disposition 
• L’accompagnement

L’évaluation à froid

Cette partie de l’évaluation sera mise en place dans un second temps, afin d’informer au mieux les stagiaires sur les bénéfices de la formation à court et moyen terme dans l’environnement professionnel.
Cette partie de la notation intègrera des possibilités complémentaires qui valoriseront davantage la formation, son impact professionnel et l’organisme de formation qui la délivre. Elle reposera sur plusieurs notions supplémentaires :
• Augmenter la pertinence de l’évaluation à chaud
• Des données chiffrées : retour à l’emploi, intérêt en fonction du poste exercé, taux d’obtention des certifications.

L’ensemble de ces solutions mises en place permet à la fois d’accompagner au mieux les utilisateurs dans le choix des formations, mais également d’aider les organismes à se structurer et à améliorer l’expérience utilisateur à court et moyen terme.
En tant qu’organisme de formation, Audavia suit ce protocole de notation via le site mon compte formation, pour que l’ensemble des formations proposées puisse bénéficier de l’avis et de la recommandation des principaux intéressés, leurs utilisateurs.
Cette démarche permettra de valoriser les efforts mis en place pour délivrer des formations de qualité. Les stagiaires ayant suivi des formations avec Audavia seront grâce à ce système les meilleurs ambassadeurs pour promouvoir l’organisme au travers de la qualité et du sérieux de ce dernier.


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Co-financer votre formation : les nouvelles possibilités !

Le droit à la formation est valable pour tous les actifs : salariés, professions libérales ou non-salariés, conjoints collaborateurs, mais aussi pour les personnes à la recherche d’un emploi.

Pour accéder à cette opportunité professionnelle, vous disposez d’un Compte Personnel de Formation (CPF), qui vous suit durant toute votre vie professionnelle. Pour rappel, le CPF a remplacé le Droit Individuel à la Formation (DIF), depuis le 1er janvier 2015.

Depuis le 3 septembre 2020, les salariés ont de nouveaux droits pour accéder à la formation. On vous en dit plus.

L’employeur peut abonder le CPF de ses salariés

Depuis la création du DIF/ CPF, les salariés avaient à disposition un crédit annuel de base de la caisse des dépôts, en fonction de leur contrat de travail. Il était donc possible d’accéder à des formations dans le cadre de la montée en compétences au sein de l’entreprise ou pour le développement individuel de chacun.

Aujourd’hui, chaque employeur dispose d’un accès simplifié pour abonder ce compte salarié CPF. Ce dernier vient donc s’ajouter aux droits de base. Cette nouveauté devait être mise en place en milieu d’année mais les conditions sanitaires ont décalé le projet à cette rentrée scolaire.

Il est donc possible, à présent et en collaboration avec l’entreprise d’augmenter son capital CPF et d’accéder aux formations souhaitées via le compte en ligne https://www.moncompteformation.gouv.fr/

Comment alimenter le CPF ?

Cette dotation de l’entreprise peut se présenter sous plusieurs formes :

  • Sur la base du volontariat de l’employeur, par exemple, si ce dernier souhaite développer les compétences de son équipe dans un domaine utile à l’entreprise.
  • Sur demande d’un projet de formation du salarié, l’entreprise peut alimenter ce compte permettant ainsi un accompagnement financier pour payer le reste à charge du compte.
  • Les versements obligatoires :
    •  lors du licenciement d’un salarié pour le refus d’un accord collectif, l’employeur doit réaliser un paiement d’un minimum de 3.000 euros
    • si l’entreprise ne respecte pas ses obligations en termes d’entretien professionnel (à compter de janvier 2021).
    • Pour les actifs chômeurs, il y a aussi des solutions d’accompagnement financier sur le crédit du CPF, par pôle emploi. Pour en savoir plus, cliquez ici

Dans tous les cas, il est possible de financer ou co-financer à titre personnel sa formation via le portail mon compte formation.

Côté employeur…

Côté entreprise, l’objectif était de faciliter l’accès et les possibilités des dirigeants, dans la démarche de crédit sur le compte de formation. L’employeur peut tout effectuer via une plateforme internet, en quelques clics seulement.

Pour cela, l’entreprise souhaitant abonder d’un crédit supplémentaire un ou plusieurs de ses salariés se rend sur le portail de déclarations sociales Net-entreprises.fr. Il doit y renseigner quelques données sur les salariés pour lesquels il souhaite réaliser un abondement CPF et le montant qu’il souhaite leur verser. Il suffit ensuite de réaliser un virement à la Caisse des dépôts, qui elle-même crédite directement les comptes de formation des salariés concernés.

Un projet de formation peut donc être l’objet d’un échange avec l’employeur afin qu’il puisse faciliter la montée en compétences de ses salariés, et, par la même occasion, de son entreprise !

Pour tous renseignements complémentaires, contactez-nous au 0805 690 063 (appel gratuit) ou par e-mail.

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Télétravail : entre découverte de libertés et désillusions

Vous en rêviez, la crise sanitaire l’a fait !

Blague à part, la période que nous traversons depuis deux mois a permis à certains de découvrir les avantages et les inconvénients de ce mode de travail qui semble se généraliser. Entendons-nous bien, la rapidité avec laquelle les entreprises ont dû s’adapter pour placer leurs salariés en sécurité à domicile, n’a souvent pas permis de garantir des conditions de travail optimales. Cependant, nous avons souhaité nous servir de cette actualité pour vous éclairer sur un mode de travail qui pourrait prendre une place de plus en plus importante dans nos vies professionnelles.

Le télétravail : ce que les salariés imaginent

Pour les salariés, en général, le télétravail rime avec luxe des indépendants et entrepreneurs. C’est la possibilité : de travailler tout en passant la journée avec son chien et son chat, de faire des pauses au grand air ou de pouvoir profiter de ses enfants le midi plutôt que de les mettre à la cantine.
Vous pourrez aussi organiser vos journées comme vous le souhaitez ! Les matinaux peuvent se mettre au travail dès 7h et finir en milieu de journée ; quand les autres prennent leur temps le matin et finissent leur journée après le dîner.
Mais surtout, pas besoin de subir les blagues un peu vaseuses de Patrice le matin à la machine à café, le regard plein de jugement de votre collègue lorsque vous entamez une tablette de chocolat à 11h ou même d’avoir à justifier les 5 pauses toilettes pour passer 5 min sur Instagram !

Le télétravail : ce que les employeurs imaginent

Évidemment, là encore, on fera une généralité vous l’aurez compris !

Avant que le Covid-19 n’apparaisse dans nos vies (et s’il veut disparaitre cela nous ira aussi !), pour un grand nombre d’employeurs, le télétravail était synonyme de :

  • Comment vais-je surveiller que les heures soient bien faites ?
  • Comment puis-je vraiment contrôler l’avancée des projets au quotidien ?
  • Si mon employé ne me voit pas quotidiennement, qu’en sera-t-il de son attachement à    l’entreprise ?

Bref, l’inquiétude principale pourrait se résumer à : comment garder le lien et manager mes salariés à distance ?

Le télétravail : ce que c’est vraiment !

Bon, arrêtons un peu les caricatures ! En effet, aujourd’hui de plus en plus d’employeurs font confiance à leurs salariés placés en télétravail, et ont bien compris les avantages de cette solution. Les salariés aussi savent bien que même si cela apporte une certaine liberté d’organisation, cela implique aussi une rigueur et une motivation indispensable pour que cela fonctionne. D’ailleurs, précisons que le télétravail n’implique pas forcément 5 jours à la maison. Cela peut-être que 1, 2 ou 3 jours par semaine. C’est souvent le meilleur compromis pour apporter autonomie aux salariés et conserver le lien avec l’entreprise. Faisons le tour ensemble des avantages et inconvénients pour chaque acteur :

Pour les salariés, un télétravail bien préparé et organisé (comme par exemple : (un bon accès internet, un ordinateur assez puissant pour gérer les gros dossiers, un espace de travail délimité à son domicile…) permet :

  • Un gain de temps non négligeable : pas de temps perdu dans les transports.
  • Un gain de productivité : par exemple pas de collègues trop bavards alors que vous avez une grosse présentation à rendre le lendemain. Sans les dérangements liés au travail en équipe, 1h à la maison vaut souvent 2h au bureau ! Si, bien entendu, les enfants ne sont pas là pour perturber 😉
  • Un gain en autonomie et rigueur : ce sont d’ailleurs les clés de la réussite du télétravail. L’employeur en accordant sa confiance au salarié, le valorise et lui confère une liberté qui améliore le sentiment d’épanouissement et de reconnaissance. Attention au revers de la médaille car la confiance peut vite se briser, si le salarié, enivré par sa liberté en oublie ses engagements.

Sachez tout de même que se retrouver seul chez soi, avec comme seul « ami » son ordinateur, peut parfois être difficile à gérer pour le salarié. Le contact humain et l’échange peuvent parfois manquer. L’isolement est l’une des raisons principales pour laquelle les salariés mettent fin au télétravail.

Pour l’employeur, la confiance qu’il accorde à ses employés peut réellement l’aider :

  • À garder un lien fort avec eux qui lui en seront reconnaissants. Un salarié épanoui est un salarié productif et fidèle.
  • À améliorer la productivité de l’entreprise.
  • À diminuer les frais de l’entreprise (loyer, matériel, chauffage, électricité …).
  • À améliorer son image.

Proposer le télétravail c’est aussi l’occasion pour l’entreprise d’ouvrir des postes à des salariés en situation de handicap qui n’auraient peut-être pas eu accès à l’entreprise autrement.

En résumé, le défi principal restera pour l’employeur de réussir à faire confiance à ses équipes à distance.

Le télétravail : ce que la formation professionnelle en pense

Chez Audavia, la majorité de nos formations sont en présentiel car nous avons pu constater que le rapport en face à face avec le formateur permet une meilleure acquisition des nouvelles compétences. Cependant, nous avons su, main dans la main avec nos experts, adapter nos méthodes pédagogiques et rendre les formations à distance les plus performantes possibles afin de répondre à d’autres besoins ou contraintes. En résumé, que vous soyez en télétravail ou au bureau, nous continuons à dispenser des formations sur mesure de qualité pour votre plus grande satisfaction !

En conclusion, nous constatons que l’urgence de ces derniers mois a accéléré la mise en place du télétravail pour bon nombre de salariés et pas toujours dans les meilleures conditions. Cette situation aura été enrichissante pour tous. En effet, cela a permis à certains employeurs de réaliser que le travail à distance était un peu comme une relation de couple. Pour que cela fonctionne il faut de la confiance, de la communication et aussi de la souplesse ! Quant aux salariés, certains ont réalisé que le travail à domicile n’était pas toujours facile et impliquait une organisation sans faille grâce à une bonne dose de rigueur !

N’hésitez pas à partager avec nous votre expérience du télétravail, afin que nous puissions constamment répondre à vos attentes au-travers de nos formations à distance.

Pour tout renseignement complémentaires, contactez-nous par mail au 0805 690 063 (appel gratuit)

La montée en charge du CPF

montee cpf

La montée en charge du CPF surtout au profit des personnes en recherche d’emploi :

Publication de la direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques (Dares) du ministère du travail / Janvier 2018.

«L’année 2016 a été marquée par une forte croissance du recours au dispositif (+137%) avec un peu plus de 492 000 dossiers acceptés (208 000 en 2015).  Si les personnes en recherche d’emploi constituent, comme en 2015, une grande majorité des bénéficiaires (65% en 2016), la part des salariés du secteur privé est en nette augmentation (+276%), ces derniers représentant plus de 172 000 bénéficiaires en 2016.»

699 840 est le nombre total de dossiers de formation acceptés au 31 décembre 2016 depuis la création du CPF.

Les personnes en recherche d’emploi suivent principalement des formations sans niveau de qualification spécifique.

La majorité des bénéficiaires sont des personnes en recherche d’emploi âgées de 26 à 49 ans.

La durée de formation est plus longue pour les personnes en recherche d’emploi.

Vous avez un projet de formation, contactez-nous !