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Ecran d'ordinateur avec interface ChatGPT IA générative

Travailler avec les différentes IA : guide des outils IA publics ou personnalisés.

Il existe deux manières de travailler avec les différentes IA. La première est d’utiliser les IA génératives publiques (Saas) sur le web comme Gemnii, Chat-GPT, Notion AI, etc. La deuxième est de s’appuyer sur une IA créée sur mesure pour les besoins spécifiques de l’entreprise.
Le choix se fait selon 2 étapes simples : l’analyse des data de l’entreprise puis des besoins métiers permettent d’identifier la solution la plus adaptée.

Aux côtés de Lenny Daho – ingénieur solutions IA no-code – cet article vous guide pour choisir le meilleur outil IA. Vous y trouverez : critères de sélection, fonctionnalités, outils disponibles et retours d’expérience.

Menu

  1. Etapes pour choisir entre IA en ligne et IA personnalisée
  2. Les différentes IA et leurs fonctionnalités
  3. Les 7 catégories d’IA disponibles
  4. Réussir le déploiement d’une solution d’IA
  5. Comparatif entre IA publique(Saas) et IA personnalisée
  6. Cas d’usage : Interview avec Lenny Daho
  7. Ressources : quelques outils en ligne de différentes IA
  8. Nos articles qui peuvent vous intéresser

1. Deux étapes pour choisir entre IA en ligne et IA personnalisée

Le choix d’une solution IA est déterminé par le type de données de l’entreprise et les besoins métiers.

  • Etape 1 : déterminer le niveau de sensibilité des données. Les données sensibles (données clients par exemple) nécessitent de personnaliser l’IA pour assurer la sécurité, le RGPD et la souveraineté.

  • Etape 2 : identifier le besoin métier. Un besoin spécifique et unique (lié à des processus internes par exemple) oriente vers une solution d’IA sur mesure. Un besoin générique (par exemple la rédaction d’emails, la création d’images) dirige vers une IA publique (Saas) qu’elle soit gratuite, ou payante pour des systèmes pro plus avancés.
infographie pour choisir entre différentes IA : IA publique Saas ou IA personnalisée

Source : infographie réalisée avec Gemini

« Les IA génératives publiques, comme Gemini, ChatGPT ou DALL-E peuvent être suffisantes pour débuter si elles correspondent aux besoins métier identifiés et qu’un cadre de travail est mis en place par l’entreprise. Il faut dans ces cas-là faire attention de ne pas partager de données sensibles avec les IA. » – Lenny Daho

2. Les différentes IA et leurs fonctionnalités

L’intelligence artificielle fonctionne grâce à de volumineuses bases de données. Pour faire simple, voici les différences :

  • IA personnalisées : entraînée avec les données spécifiques de l’entreprise.

  • IA en ligne : entraînée avec des données très variées issues de sources ouvertes. (site web, vidéos en lignes, documentations, etc)
    La fonction d’une IA est liée à la manière dont se construit l’apprentissage à savoir le Machine Learning ou Deep Learning.

Machine Learning ou Deep Learning, quelle différence ?

Imaginons un élève en classe. Il apprend par l’exemple et l’identification de données précises, nommées (étiquetées) pour trouver des modèles de résolution. C’est le Machine Learning. Un élève plus doué est lui aussi entraîné mais parvient à trouver des modèles de résolutions par lui-même, à partir de nouvelles données non étiquetées, car il fait des connexions plus profondes entre les données. C’est le Deep Learning, une version plus avancée du Machine Learning.

Machine LearningDeep Learning
Apprentissage– Avec de grandes quantités de données explicites (étiquetées).
Par exemple, une image de chat sera étiquetée dans la catégorie chat.

– Apprend à identifier des modèles.

– Prend des décisions de manière autonome.
– Avec de très très grandes quantités de données (millions).

– Utilise des neurones artificiels calqués sur le fonctionnement du cerveau humain.

– Crée des connexions plus profondes entre les données.

– Crée des représentations plus abstraites et complexes.
Par exemple, l’IA découvre par elle-même quelles sont les caractéristiques importantes à analyser pour identifier un chat.
ExempleUn logiciel de tri d’emails

– Entraîné à partir d’emails spams et non spam.

– Apprend à reconnaître lui-même les spams lors de nouveaux emails.
La reconnaissance vocale d’un smartphone

– Le système est nourri de millions d’échantillons de voix

– Il extrait lui-même les caractéristiques sonores et les associe à des mots et des phrases même si vous parlez avec un accent ou une voix différente.

Il faut donc retenir de tout cela que la fonction d’une IA dépend de l’objectif visé. Par exemple, les IA génératives sont conçues sur le Deep Learning car elles ont un objectif de création (à partir du langage naturel). Elles doivent posséder une capacité d’analyse et déduire des modèles à partir de nouvelles données non étiquetées. Ceci nécessite un fonctionnement proche du cerveau humain.

3. Les 7 catégories d’IA à disposition des entreprises

Les IA peuvent être classées en 7 catégories de fonctions, basées sur le Machine Learning ou le Deep Learning. Il existe également des IA hybrides qui combinent plusieurs fonctions.

« Il est tout à fait possible de créer des agents IA qui centralisent diverses IA aux fonctions différentes. On peut par exemple relier sur une seule interface IA des applications comme Gemini, DALL-E, WhatsApp et Gmail pour envoyer par exemple des rapports. » – Lenny

Par exemple, pour un service client, le Machine Learning peut classifier et analyser le sentiment d’un e-mail entrant (positif, négatif, urgent), puis l’AI générative peut rédiger une réponse appropriée et personnalisée, en se basant sur la classification effectuée en amont.

Les 7 fonctions des différentes IA

Les IA se répartissent en 7 grandes fonctions :

  1. IA de classification
  2. IA prédictive
  3. IA de regroupement
  4. IA générative
  5. IA de traitement du langage naturel
  6. IA de vision par ordinateur
  7. IA de reconnaissance vocale
Infographie sur les sept grandes fonctions des différentes IA pour travailler

Source : infographie réalisée avec Gemini

Cette classification des IA montre l’importance de déterminer l’objectif final visé par l’entreprise, les données dont elle dispose ainsi que les ressources financières et humaines afin de choisir l’outil approprié.

4. Réussir le déploiement d’une solution d’IA

Il est impératif de suivre un cadre de décision méthodique en plusieurs étapes.

Etape 1 : identifier l’objectif métier

La première question ne doit pas porter sur la technologie, mais sur le problème à résoudre.

  • Si l’objectif est d’optimiser, de prévoir ou de classifier un processus existant, le Machine Learning est la meilleure solution.

    Par exemple ; prévoir les futures ventes. L’IA analyse les données historiques des ventes, la saisonnalité et les tendances de consommation.
  • Si la finalité est de générer du contenu, d’innover ou de transformer un processus créatif, l’IA Générative est plus adaptée.

    Par exemple, accélérer la R&D d’une entreprise. L’IA explore des milliers de solutions de conception possibles et génére de multiples concepts et prototypes virtuels.

Etape 2 : évaluer la qualité des données

La nature des données est le facteur déterminant de la faisabilité du projet.

  • Si les données sont structurées et étiquetées : les modèles de Machine Learning traditionnels sont un choix pertinent.
  • Quand l’entreprise dispose de vastes ensembles de données non structurées (texte, images…) et que l’étiquetage serait trop coûteux, l’IA générative est plus efficace.

Etape 3 : évaluer les ressources

Il est crucial de déterminer si l’entreprise possède les talents nécessaires pour développer une solution en interne ou bien si financièrement elle peut faire appel à un consultant extérieur.
Dans de nombreux cas, il est plus judicieux de recourir à une solution en ligne SaaS, prête à l’emploi ou à une API pour réduire les coûts initiaux et le temps de mise sur le marché.

5. Comparatif entre IA publique (Saas) et IA personnalisée

Si le besoin est général et les données ne sont pas confidentielles, une IA publique SaaS est la meilleure option.

Si le besoin est très spécifique
, les données sont sensibles alors une solution IA personnalisée est la voie à suivre.

Ce tableau comparatif entre les différentes IA met en avant les principales forces et faiblesses de chacune pour un choix éclairé.

IA publique (SaaS)IA personnalisée
Spécificité du besoin métierTâches génériques et non-spécifiques.

Exemple : rédiger un email
Problématique unique à un domaine métier.

Exemple : détection de fraudes spécifiques à un système bancaire
Confidentialité et sécurité des donnéesLes données soumises peuvent potentiellement être utilisées pour entraîner le modèle.Hébergée sur l’infrastructure de l’entreprise (ou dans un cloud privé) et entraînée exclusivement avec ses propres données.
Coût et complexitéAbordable et rapide à mettre en œuvre.Investissement conséquent en temps et en argent.
Contrôle et évolutivitéDépendance totale au fournisseur.Contrôle total et fonctions évolutives.

6. Cas d’usage de deux différentes IA : Interview avec Lenny Daho

Lenny Daho, ingénieur en solutions IA et automatisation no-code, développe des solutions IA pour les entreprises dans des secteurs variés comme la santé ou le marketing.

Pouvez-vous nous donner un cas d’usage (anonyme si besoin) basé sur le Machine Learning ?

« La création d’une IA personnalisée dans le secteur de la santé. L’IA devait répondre au besoin de classification de la pathologie de la Covid19. A partir d’échographie pulmonaires, l’IA devait pouvoir classer les cas patients en quatre taux de gravité, de 0 à 3. La solution développée a été intégrée à un système d’échographie avec aide au diagnostic du taux de sévérité en temps réel. Les compétences du Machine Learning ont suffi pour classer et diagnostiquer. L’IA générative par exemple n’avait pas sa place ici. »

A l’inverse, avez-vous un cas d’usage avec une IA générative ?

« Toujours dans le domaine de la santé pour optimiser le traitement des tumeurs en radiothérapie. L’objectif était de délimiter le plus précisément possible la zone tumorale à cibler par les rayons. Pour cela, il y a besoin d’une image IRM et d’une image scanner qui doivent être superposées et donner une image unique très précise. Dans ce cas, l’IA générative a permis de créer cette image de synthèse finale. Elle a été entraînée en Deep Learning à partir de banques d’images anonymisées de patients.»

7. Ressources : quelques outils en ligne de différentes IA

Texte & rédaction : ChatGPT incontournable

  • pour la majorité des besoins en rédaction professionnelle.
  • Version gratuite efficace.
  • Polyvalent : tous les formats et tons : courriels formels, articles de blog, scripts vidéo, descriptions de produits, etc.

Image et design : Gemini banana Imagen et Runway Gen-2

  • Gemini nano banana : pour les retouches d’image (comme photoshop)
  • Imagen : génération d’image à partir d’un prompt textuel
  • Runway Gen-2 : génération de vidéos à partir de texte ou images

Productivité et bureautique : Notion AI, Google Gemini

  • Notion AI : rédaction de notes, résumé, génération de contenu interne.
  • Google Gemini : génération et résumé dans Google Workspace.
  • Microsoft Copilot (Word, Excel, Outlook) : aide bureautique intelligente.

Cette liste d’outils IA est non exhaustive. La plupart de ces solutions IA publiques sont gratuites avec une limite de fonctionnalité ou sous forme de crédits limités à utiliser.

Pour prendre en main certains de ces outils, Audavia vous accompagne avec des formations sur mesure pour mieux prompter et être à l’aide à l’écrit.

8. Nos articles qui peuvent vous intéresser

En résumé :

Le Machine Learning et l’IA générative ne s’opposent pas mais se complètent. Le premier est idéal pour optimiser et prédire, le second pour innover et créer. Selon les dispositions financières des entreprises, l’intégration de l’IA passe par l’utilisation de solutions publiques ou personnalisées aux besoins spécifique des organisations.

L’avenir de l’IA au travail repose sur des solutions hybrides combinant plusieurs technologies. Le véritable enjeu n’est pas le choix d’un type d’IA, mais la capacité de l’entreprise à aligner les différentes IA sur ses besoins métiers et à les intégrer intelligemment dans sa stratégie.

Nos remerciements à Lenny Daho pour sa participation.

Découvrez nos formations sur mesure. Pour tous renseignements complémentaires, contactez-nous au 0805 690 063 (appel gratuit) ou par e-mail (info@audavia.fr). Audavia est certifié QUALIOPI.

visage mi humain mi robot sur fondréseaux de neurones IA

Le guide IA réconfortant pour la démystifier, la comprendre et l’adopter.

Comprendre l’IA est la condition nécessaire pour ne plus en avoir peur. Avec une multitude d’IA génératives et de tâches liées, de plateformes comme ChatGPT, Gemini, DeepSeek, etc, il est légitime de se sentir submergé et perdu. L’appréhension et l’anxiété liées à l’intelligence artificielle viennent d’une méconnaissance de son fonctionnement et d’un manque d’approche simple et constructive.

Ce guide IA (qui se veut réconfortant) est coécrit avec Lenny Daho – ingénieur en solutions IA et automatisation no-code. Il vous aide à démystifier l’IA, comprendre d’où elle vient, comment elle fonctionne. Découvrez les leviers pour une adoption pro-active et sereine.

Au menu

  1. Le contexte de l’IA : entre peurs et opportunités
  2. Connaître l’IA et la démystifier : qui est-elle ?
  3. L’IA dans le quotidien : elle est présente depuis bien longtemps
  4. Comment adopter une approche offensive sereine ?
  5. L’avis de l’expert : Lenny Daho
  6. Ressources et outils pour adopter l’IA
  7. Conclusion : se préparer et oser l’IA

1. Le contexte de l’IA : entre peurs et opportunités

La peur de l’IA est un mécanisme normal et humain face à une technologie inconnue. De plus, elle est alimentée culturellement par d’innombrables récits de science-fiction depuis la nuit des temps. Ces histoires cultivent l’idée que les machines puissent un jour remplacer l’homme et le dominer.

Quand l’IA générative déferle en 2019 auprès du grand public, les inquiétudes se cristallisent : menace sur l’emploi, menace de domination de la technologie sur l’homme, transhumanisme, etc. Une des grandes craintes est celle d’une capacité à prendre des décisions imprévisibles et autonomes. Le développement (ultra rapide) de l’IA augmente ses propres performances et les risques d’échapper au contrôle humain.

L’utilisation et le déploiement de cette technologie doit donc se faire selon une éthique et des lois règlementées. Telle est la mission de l’IA ACT à l’échelle européenne.

L’histoire rassurante de l’homme et des technologies

Un peu de philosophie positive : l’histoire nous prouve que l’humanité a toujours su s’adapter et dominer ses inventions. L’homme déploie des technologies pour améliorer ses conditions de vie et la société. Bien sûr, ces évolutions ont profondément modifié l’organisation sociale, les rapports entre des hommes entre eux et avec le travail.
Fut un temps où allumer des réverbères était un métier, celui de « falotier ». Il a disparu avec l’avènement de l’éclairage électrique ! Et pourtant l’homme est toujours là, la société a évoluée et la qualité de vie avec elle. Ainsi l’homme est fondamentalement actif, créatif et capable de s’adapter et de contrôler ses propres inventions technologiques.

« L’histoire montre que l’homme a su développer dans le passé une triple capacité à s’adapter au changement technique, à savoir la capacité à trouver de nouvelles solutions aux problèmes qu’il pose, la capacité à appliquer ces solutions et la capacité à en tirer les conséquences »sources Cairn.info – article de Faranak Farzaneh et André Boyer.

Deux approches face à l’IA : défensive et offensive

  • Défensive : l’homme a un rôle passif qui se résume à affronter les changements engendrés par l’intelligence artificielle. Face à cette technologie qui repousse sans cesse les limites de ce qu’elle peut faire, cette approche n’est actionnable qu’à court terme, épuisante, et ne génère aucun bénéfice pour l’homme et la société.
  • Offensive : cette approche met l’accent sur les capacités d’adaptation et de prise de contrôle de l’homme. Elle permet d’identifier des mécanismes pour s’emparer de l’IA et la dominer plutôt que la subir.

2. Comprendre l’IA et la démystifier : définition et fonctionnement de l’IA ?

L’IA est définie comme la capacité d’un ordinateur (ou d’un robot contrôlé par un ordinateur) à effectuer des tâches associées à l’intelligence humaine et de manière plus rapide.

Pour faire simple, l’apprentissage d’une IA (Deep Learning et Machine Learning) est une discipline qui crée des systèmes de réseaux de neurones et de traitement de données pour reproduire nos facultés cognitives.

« C’est une imitatrice des compétences cognitives de l’homme avec une analyse plus rapide. Dans l’apprentissage Deep Learning, le rôle de l’humain est central. Il garde le contrôle de la machine. » – Lenny Daho

Histoire chronologique de l’IA : les grandes dates

  • 1943 : 1er modèle mathématique pour la création de neurones (par les scientifiques Warren McCullough et Walter Pitts)
  • 1950 : 1er ordinateur à réseau de neurones (par Marvin Minsky et Dean Edmonds à Harvard).
  • 1950 : 1er test d’évaluation des IA (Turing Test), encore utilisé de nos jours. Il pose les fondations de l’intelligence artificielle d’aujourd’hui.
  • 1956 : naissance de l’IA telle qu’on la connait en 2025 : ses fondements, sa vision, ses objectifs (conférence « Dartmouth Summer Research Project on Artificial Intelligence » de John McCarthy).
  • 1959 : invention du terme Machine Learning (IBM Arthur Samuel).
  • 1989 : premier réseau de neurones capable de reconnaitre des chiffres manuscrits (Yann Le Cun) à l’origine du Deep Learning.
  • 1997 : 1er système de jeu d’échec qui a battu Garry Kasparov (Deep Blue).
  • 2000 : arrivée des assistants personnels intelligents (Apple Siri, Google assistant, Microsoft Cortana, Amazon Alexa).
  • 2009 : le Deep Learning s’impose dans de nombreux domaines dont la reconnaissance vocale, la traduction, la reconnaissance d’images.
  • 2019 : Arrivée des IA générative pour le grand public (programme GPT-2 Open AI).

Portrait-robot et principes de l’IA

  • L’IA n’est pas consciente : elle fonctionne sur des algorithmes et des données. Elle ne pense pas par elle-même et n’a pas d’émotions.
  • Elle ne cherche pas à dominer le monde. Cassons le mythe d’un terminator destructeur.
  • L’IA est un outil au service de l’humain qui détermine sa finalité et la programme.
  • Elle est « étroite »*, c’est-à-dire qu’elle réalise une seule tâche de manière quasi parfaite pour accélérer ou automatiser un processus. C’est le modèle le plus utilisé aujourd’hui au service du grand public.
  • Elle a trois types de compétences distinctes : la classification, la reconnaissance vocale, l’analyse/réflexion.
  • Elle permet trois types d’interactions utilisateur : exécuter une tâche (selon des règles très précises), discuter avec l’homme (chatbot), générer des réponses en exploitant des sources externes en temps réel, comme NoteBook LM de Google (RAG ou génération à enrichissement contextuel)

*IA générale ou profonde : réalise plusieurs tâches cognitives comme un humain (hypothétique pour l’instant) – IA forte ou superintelligence : signes de conscience, raisonnement philosophique (impossible à créer de nos jours)

3. L’IA dans le quotidien : les algorithmes ce n’est pas nouveau !

Il n’y a rien de nouveau concernant l’IA. Elle est présente dans notre quotidien depuis bien longtemps en termes d’algorithmes, de traitement de données et de restitution : des technologies pour faciliter la vie.
Voici une liste non exhaustive d’applications IA:

  • IA et divertissement : les algorithmes de recommandation (Netflix, Spotify, etc)
  • IA au travail : les filtres anti-spam. Une boîte mail utilise les algorithmes et le traitement de données pour identifier et bloquer les courriers indésirables avant qu’ils n’arrivent dans votre boîte de réception.
  • IA à la maison : les assistants vocaux. Siri, Google Assistant ou Alexa utilisent des technologies d’IA pour comprendre vos commandes et vous fournir des réponses ou accomplir des tâches.
  • IA et santé : elle aide les médecins à diagnostiquer plus rapidement certaines maladies en analysant des images médicales.
  • IA et traduction automatique : des outils comme Google Translate s’appuient sur l’IA pour traduire des textes en temps réel.

4. Comment adopter une approche IA offensive et sereine

Adopter une approche offensive face à l’IA, c’est se donner les moyens de la maîtriser et de l’utiliser pour faire progresser la société humaine. L’histoire et la philosophie nous enseignent que l’être humain est par nature « politique » et agit collectivement pour façonner son environnement. La création de l’intelligence artificielle s’est donc faite dans une intention d’améliorer la condition humaine et de répondre à des attentes sociales. L’objectif final est bien d’adapter l’IA à la société humaine et non l’inverse.

L’avènement de l’IA depuis 2019, accessible à tous, mène aujourd’hui à une surenchère fulgurante de solutions : Gemini, chat-GPT, DALL-e, DeepSearch, etc… Comment s’y retrouver parmi tous ces outils et les adopter de manière contrôlée et sereine ?

Quels mécanismes pour s’emparer de l’IA ?

Utiliser l’IA avec une approche offensive comprend trois phases progressives.

  1. Apprendre à travailler avec l’IA : c’est une phase d’adaptation à ce nouveau contexte de travail. Une étape où l’identification des compétences et la formation sont nécessaires (apprendre à prompter par exemple).
  2. S’approprier l’IA : une étape de collaboration homme-machine où l’utilisation de l’outil avec la supervision de l’homme redessine les solutions proposées par les organisations (innovations).
  3. Maîtriser la machine : cette phase est celle où l’IA sert les interactions sociales, où les rapports sociaux sont redéfinis, et où l’IA devient secondaire voire banale. Par analogie, Whatsapp a par exemple façonné de nouvelles façons d’interagir au service du collectif et s’est imposé dans toutes les sphères : étudiants, familles, recrutement … pour devenir une norme de communication sociale.

Les compétences professionnelles utiles pour s’approprier l’IA

La réalisation de ces étapes offensives suppose dès maintenant d’identifier dans les entreprises, les compétences nécessaires pour une interaction avec l’IA réussie :

  • compétences managériales projets et leadership
  • compétences créatives
  • compétences en stratégie et communication
  • compétences en gestion du changement et des conflits
  • compétence en stratégie RSE

5. L’avis de notre expert Lenny Daho, ingénieur solutions IA

Lenny Daho- ingénieur spécialisé IA & automatisation no-code, développe des solutions IA pour les entreprises dans des secteurs variés comme la santé ou le marketing.

Qu’est-ce qu’une IA techniquement ?

Réponse : un raisonnement statistique et de corrélation.

« L’IA est un système de raisonnement statistique basé sur les mathématiques. Plus on lui donne de données plus elle doit les corréler avec ce qu’elle a déjà appris. Elle apprend statistiquement. Elle crée des expériences qu’elle finit par reconnaître et qu’elle valide.»

Qu’est-ce que le Deep Learning pour les non experts ?

Réponse : un entrainement à partir de données précises

« Le Deep Learning consiste à entrainer les IA et les réseaux de neurones avec des bases de connaissances (données) en leur assignant un rôle très précis. C’est comme un enfant qui apprend à lire. Il faudra plusieurs lectures d’un même mot pour qu’il le comprenne. Cette répétition permet aux neurones d’identifier et de valider. Un neurone IA (un peu moins complexe qu’un neurone biologique humain) suit le même schéma. Plus il voit une donnée, plus il la reconnaît facilement et peut alors s’en servir. »

Quel est le rôle de l’homme dans l’apprentissage d’une IA ?

Réponse : classer les données et vérifier l’intégration par l’IA

« Lors de l’entraînement, on définit une base de données. Puis par la suite, on intègre des nouvelles données et on doit vérifier qu’il y a bien une corrélation avec la base déjà apprise. Dans ce processus, l’humain doit classifier en amont puis vérifier que l’IA a bien classé et intégré les nouvelles données. Il garde un contrôle sur toute la chaîne d’apprentissage. »

Quelle est la plus grande idée totalement fausse sur l’intelligence artificielle ?

Réponse : la connaissance absolue

« Croire que l’IA est une source de connaissance absolue. Ce n’est pas vrai. Elle ne connait que les données qu’on lui intègre. De plus, elle répond de manière statistique et non en conscience. »

Pourquoi l’IA fait-elle peur ?

Réponse : les révolutions font peur et sont perçues comme une menace

« C’est légitime, ce qu’on ne connait pas fait peur. Les révolutions technologiques comme l’électricité, l’ordinateur, internet, le nucléaire ont toujours eu mauvaise presse au départ. Mais l’homme s’adapte. Quand il apprivoisera l’IA, sa peur disparaitra. L’IA peut être envisagée comme une menace potentielle sur l’existence humaine, comme le nucléaire. Mais aujourd’hui, on en est loin, même si le Center for AI Safety la considère comme une priorité mondiale en terme de régulation, de réglementation et d’éthique. L’IA Act à l’échelle européenne en est une illustration et une nécessité d’utilité publique. »

Quels conseils donner à un novice qui souhaite travailler avec l’IA ?

Réponse : s’entraîner, tester, se former, prompter.

« Avant de prendre en main un outil dans un contexte professionnel, il faut avoir une connaissance métier approfondie. C’est indispensable pour superviser, analyser et valider les réponses d’une IA. Ensuite, il faut s’entraîner, tester et ne pas hésiter à poser des questions basiques sur l’utilisation. Enfin, maîtriser le prompt est essentiel pour cadrer les réponses dans un objectif métier précis. »

Quelles sont les compétences à déployer pour travailler avec l’IA ?

Réponse : expertise métier, organisation, analyse critique et autocritique

« Quand on travaille avec l’IA, il faut en amont maîtriser son sujet et savoir être organisé dans ses idées. Si vos idées sont floues, les réponses de l’IA le seront aussi. Il faut bien définir ses objectifs et ce que l’IA peut apporter pour les atteindre. Puis il faut rechercher les outils IA qui correspondent à nos objectifs et besoins. Une capacité d’analyse critique des réponses est ensuite indispensable. En ce qui concerne les hallucinations et les biais cognitifs, l’autocritique est également un pilier car l’IA ira toujours dans le sens qu’on lui impose. Elle ne nous contredit pas ! Elle est déjà censurée sur les biais cognitifs sexuels et raciaux par exemple. »

Comment voyez-vous l’évolution de l’IA dans les 5 à 10 prochaines années ?

Réponse : intégrée, contrôlée et banalisée

« Les entreprises implémentent de plus en plus l’IA dans leur systèmes. Elle sera bientôt banalisée et on l’intègrera au quotidien sans s’en rendre compte. Comme on l’a fait avec les ordinateurs. L’être humain finit toujours pas s’adapter, s’approprier et contrôler les technologies. Dans cette perspective, le contrôle de l’IA sur l’alignement est un travail mené pour faire en sorte que l’intelligence artificielle fasse ce qu’on lui demande dans le respect des lois et de l’éthique. »

Sur le terrain, comment les entreprises s’emparent-t-elles de l’IA ?

Réponse : attentes orientées résultats immédiats ou orientées process.

« Il y a deux grands types d’approche auxquels j’ai été confronté. La première, un dirigeant qui ne comprend rien à l’IA et ne cherche pas à comprendre en détail. Il cherche du résultat immédiat et de la productivité en automatisant les tâches. Il a confiance en l’outil IA développé car sa capacité d’analyse critique lui permet de juger de la pertinence et de l’efficacité des résultats donnés par l’IA.
L’autre approche est celle d’un client qui souhaite utiliser une solution IA à laquelle ils pourront implémenter des documents techniques internes pour obtenir des résultats tangibles, sans avoir à consulter ces documents. Cette stratégie suppose de former deux équipes internes. Les administrateurs de l’agent IA pour pouvoir le modifier et le faire évoluer, et les ingénieurs pour l’utiliser efficacement. »

Une phrase d’encouragement pour s’y mettre en toute confiance ?

« C’est le premier pas qui compte. Testez, faites votre analyse critique et voyez ce que vous en tirez. »

6. Ressources et outils pour adopter l’IA

L’arrivée de l’IA massive dans les entreprises impose d’investir dans le développement de nouvelles compétences humaines en formant les salariés. Dans une idée d’approche offensive, les formations en transition digitale, management, conduite du changement, RSE et développement personnel sont incontournables.

Compétences techniques et digitalesInformatique et IAPrompt EngineeringAnalyse de donnéesSEO et réseaux sociaux
Maîtriser les bases de l’IAAppendre à communiquer efficacement avec l’IAApprendre à utiliser des outils de gestion de données (Power BI par exemple)Apprendre à rester visible en ligne avec l’IA
Compétences managériales et humainesManagement et leadershipGestion des risquesRSEDéveloppement personnel
Gérer le changement et animer une équipeIdentifier et anticiper les défis liés à l’IAIntégrer la responsabilité sociale dans l’utilisation de l’IAGérer les conflits, motiver les équipes, favoriser la communication

Notre sélection de formations pour s’approprier l’IA

Compétence digitales :

Compétences managériales

Compétences en développement personnel

Notre sélection d’articles IA pour pousser la réflexion

En résumé : se préparer et oser l’IA

L’Intelligence Artificielle, malgré des inquiétudes légitimes concernant l’emploi, la régulation et l’éthique, offre une opportunité pour l’évolution de la société humaine. Loin d’une approche défensive et passive, l’histoire nous enseigne la capacité de l’homme à s’adapter, à s’approprier et à maîtriser ses innovations technologiques.
Une approche offensive en trois phases – apprendre, s’approprier et maîtriser l’IA – abordée collectivement et orientée vers les besoins sociaux, est alors un levier de progrès, de liberté et de bien-être.
L’IA est un outil que l’homme peut utiliser pour son propre bénéfice dans un cadre éthique et réglementé. Dans ce contexte galopant, le plan « Osez l’IA » de l’Etat a été lancé en juillet 2025 pour accélérer la diffusion de l’intelligence artificielle dans toutes les entreprises françaises.

Nos remerciements à Lenny Daho pour sa participation.

Découvrez nos formations sur mesure. Pour tous renseignements complémentaires, contactez-nous au 0805 690 063 (appel gratuit) ou par e-mail (info@audavia.fr). Audavia est certifié QUALIOPI.

ordinateur et smartphone avec données graphiques

Big Data et IA : le duo gagnant pour faire passer votre entreprise à la vitesse supérieure ?

Les 1er et 2 octobre prochains, le salon Big Data & AI Paris réunira les acteurs clés de la transformation numérique à la Porte de Versailles. Une occasion idéale pour faire le point sur un sujet devenu incontournable : comment les entreprises peuvent tirer parti de la donnée pour créer de la valeur concrète ?

Aujourd’hui, les entreprises sont submergées de données qui affluent de toutes parts : outils métiers, applications, capteurs, interactions clients… Mais comment passer de la donnée brute à des décisions utiles et efficaces ? L’association du Big Data (la collecte et l’organisation de volumes massifs d’informations) et de l’intelligence artificielle (leur traitement intelligent et automatisé) s’impose de plus en plus comme un levier stratégique de compétitivité.

Dans cet article, Edouard Stevenini, expert en transformation Data & IA, décrypte les bonnes pratiques pour structurer sa démarche, éviter les pièges courants, et transformer les données en avantage concurrentiel durable.

Le paysage actuel du big data

Dans un monde où l’IA, l’automatisation et les objets connectés génèrent des données en continu, le volume d’informations explose. Chaque année, la quantité de données produites dans le monde augmente de plus de 20 % (source : Siècle Digital).

Et pourtant, près de 8 entreprises sur 10 accusent un retard dans l’adoption des outils big data. Résultat : elles peinent à transformer cette richesse en valeur, laissant la place à des concurrents plus agiles et mieux armés pour innover, anticiper et décider vite.

Les 4 V du Big Data : des repères utiles, mais loin d’être suffisants

Le Big Data repose classiquement sur quatre grands principes :

  • Volume : des masses de données qui explosent chaque jour
  • Variété : des formats très divers (textes, images, vidéos, capteurs, etc.)
  • Vélocité : une génération de données en continu
  • Véracité : la nécessité de s’assurer de la qualité et de la fiabilité des données

Mais attention, accumuler des données n’a jamais suffi à créer de la valeur comme le rappelle Edouard Stevenini :

« La vraie question n’est pas ‘combien de données j’ai ? Mais quelle valeur métier je peux en tirer ? »

Aujourd’hui, une large part des données collectées reste dormante : stockées, mais jamais analysées ni utilisées. Cela peut concerner des journaux techniques, des historiques de navigation, ou encore des données issues de capteurs jamais connectées à des usages concrets.

« On collecte beaucoup, mais on exploite peu. Il faut apprendre à prioriser les données qui servent vraiment les décisions, les opérations ou l’innovation. »

Pourquoi investir dans l’analyse de données ?

Avant même de parler d’IA, une entreprise doit se poser une question simple : « À quoi vont me servir mes données, concrètement ? »

Sans objectif métier identifié, impossible de justifier les efforts humains, techniques et financiers nécessaires à une démarche data.

« Il existe des milliers de cas d’usage, souligne Edouard Stevenini. Prenons l’exemple des Ressources Humaines. Les données RH peuvent faire bien plus que suivre les absences des collaborateurs : elles permettent d’identifier des talents pour optimiser des parcours internes, de prédire des risques de turn-over, de piloter la masse salariale. Cependant, sans cadre clair ni gouvernance, ces opportunités ne peuvent être exploitées.»

Le premier défi est avant tout humain : faire en sorte que tous les services partagent une même définition des données. Sans ce langage commun, impossible de collaborer efficacement ni de tirer le plein potentiel des informations collectées.

Autre frein courant : les silos. Chaque équipe travaille avec ses propres outils, ses propres fichiers, ses propres définitions. Résultat : une vision éclatée, des données redondantes ou contradictoires, et des décisions bancales.

Investir dans la data, ce n’est pas accumuler des tableaux de bord. C’est créer une base solide, fiable, alignée sur les vrais besoins du terrain.

Pas de Data, pas d’IA

Avant de rêver d’IA performante et d’analyses prédictives bluffantes, il faut revenir à l’essentiel : la qualité des données.

Sans données propres, fiables, structurées, aucun algorithme ne peut produire de résultats utiles.

« L’IA n’est jamais meilleure que les données qu’on lui fournit. Si l’entrée est brouillée, la sortie le sera aussi. » — Edouard Stevenini

Ce travail invisible — souvent long et complexe — repose sur les équipes data : nettoyage, structuration, harmonisation, documentation… C’est ce qu’on appelle la gouvernance de la donnée.

En résumé : pour que l’IA réponde bien, il faut lui poser la bonne question avec les bonnes données.

Être Data Driven est-il réservé aux grands groupes ?

On pourrait croire que seules les grandes entreprises ont les moyens humains, financiers et techniques pour devenir data-driven. Pourtant, la réalité est plus nuancée.

« Les grands groupes ont massivement investi dans la donnée… mais les résultats ne sont pas toujours au rendez-vous. Trop souvent, les cas d’usage peinent à créer de la valeur, freinés par des systèmes complexes et des données mal qualifiées. À l’inverse, certaines PME, plus agiles, réussissent à avancer plus vite. »

Ce qui fait la différence, ce n’est donc pas la taille de l’entreprise, mais la capacité à sensibiliser les équipes, à partager une vision commune et à déployer les bonnes compétences.

Bien pilotée, une stratégie data, même modeste, permet déjà de mieux comprendre, mieux anticiper, et surtout, mieux décider. Et c’est là que se joue l’impact.

Une approche data-driven pragmatique pour les PME

Pas besoin d’un data center ou d’une armée d’experts pour devenir data-driven. Pour les PME, tout commence par une approche simple, concrète et bien ciblée :

  • Partir d’un besoin clair : identifier un enjeu métier précis, comme améliorer l’efficacité des campagnes marketing ou mieux comprendre le parcours client.
  • Cadrer les options : quelles solutions existent ? Quels outils sont déjà disponibles dans l’entreprise ?
  • Valoriser vos talents : détectez ceux qui ont l’envie d’explorer l’IA, formez-les, et faites-en des relais d’innovation au cœur de vos équipes.
  • Valoriser l’existant : inutile d’aller chercher des données complexes. Celles issues d’un CRM, de Google Analytics ou de votre logiciel de facturation sont souvent largement suffisantes pour commencer.
  • S’appuyer sur des outils accessibles : un fichier Excel bien structuré peut faire des merveilles. Des solutions comme Power BI, déjà intégrées dans de nombreuses licences Microsoft, permettent d’aller plus loin sans complexité technique.

« Il ne faut pas vouloir à tout prix mettre de l’IA pour mettre de l’IA : mieux vaut une solution simple bien utilisée qu’un modèle complexe mal compris et mal déployé et non utilisé. »

La recette ? Tester, mesurer, apprendre… et ajuster en continu. C’est cette agilité qui fait la force des PME bien orientées data.

Audavia vous accompagne avec ses formations sur-mesure Power Bi, Excel pour démarrer ou développer votre stratégie data.

Quelles compétences développer pour devenir une entreprise « data driven » ?

Selon Edouard Stevenini, cinq compétences transversales sont essentielles pour ancrer une culture data solide :

  • Compréhension des fondamentaux de la donnée : savoir d’où viennent les données, comment elles sont collectées, et ce qu’elles permettent ou non de dire.
  • Maîtrise des outils métiers orientés data : former les équipes aux outils d’analyse adaptés à leur rôle (Power BI, CRM, tableaux de bord…), sans viser l’expertise technique.
  • Culture d’apprentissage continu sur l’IA : sensibiliser les collaborateurs aux enjeux de l’IA et à ses limites pour en faire un levier pertinent, pas un mirage.
  • Développement de l’esprit critique : apprendre à questionner les chiffres, à détecter les biais et à challenger les recommandations automatiques.
  • Capacité à partager et vulgariser les insights : transformer des analyses en décisions utiles grâce à une communication claire et adaptée aux différents publics.

En résumé

L’IA ne fait pas tout. Dans un projet de transformation data, seulement 10 % relève de l’algorithmie. En réalité, au moins 20 % concerne la tech et la qualité des données, et environ 70 % relève de la conduite du changement, des usages et de l’humain.

L’IA peut certes accélérer et amplifier la gouvernance des données, mais seulement si cette dernière a été solidement construite en amont. Elle n’est pas une baguette magique, mais un levier au service d’une stratégie claire. Intégrée dans des outils comme Power BI, elle permet de mieux exploiter des volumes croissants de données et de gagner en réactivité, à condition d’être guidée par les bons objectifs.

Comme le résume si bien Edouard Stevenini :

 » L’IA n’est pas une solution miracle. Avant tout, il faut des données fiables, une vision claire et la volonté de transformer… »

Nos remerciements à Edouard Stevenini pour sa participation à la rédaction de cet article.

Découvrez nos formations sur mesure . Pour tous renseignements complémentaires, contactez-nous au 0805 690 063 (appel gratuit) ou par e-mail (info@audavia.fr). Audavia est certifié QUALIOPI.

Poignée de mains lors d'un accord commercial

Force de vente digitale et commerciale : comment maximiser son retour sur investissement ?

Le développement commercial d’une entreprise, qu’il s’agisse de TPE, PME, ETI ou grand compte, repose sur une stratégie double : la force de vente commerciale et la force de vente digitale. Ces deux pôles complémentaires doivent être mis en œuvre de manière cohérente pour générer un retour sur investissement significatif.

Dans cet article, nous mettrons en avant les quatre critères indispensables pour maximiser son ROI (acronyme anglais de retour sur investissement), puis nous présenterons nos trois nouvelles certifications en SEO, réseaux sociaux et conseil en vente pour soutenir ceux qui souhaitent se former afin d’améliorer leurs performances commerciales.

Augmenter le taux de conversion en faveur du ROI

Que ce soit dans le développement des actions commerciales terrain ou digitales, le profil client est au centre de la démarche. En effet, la compréhension de ses besoins, de ses attentes (conscientes ou inconscientes) et des points de blocages président à tout processus commercial réussi.

Adopter une démarche conseil dans le processus de vente est un levier puissant de ROI direct. L’équipe commerciale pourra ainsi conclure des ventes plus aisément grâce à des solutions adaptées et une relation de confiance plus forte.

On retrouve sensiblement la même démarche dans la force de vente digitale. Cette dernière s’appuie sur les réseaux sociaux et le référencement naturel ou SEO d’un site web qui, à moyen et long terme, peuvent générer un excellent retour sur investissement. Ces canaux obéissent aux lois du marketing digital et de la segmentation des cibles. Un bon référencement permettra d’attirer et de convertir les internautes en clients sur son site web, tandis que les réseaux sociaux permettront de créer une communauté et de générer des leads avec des opportunités d’actions commerciales comme des jeux concours, des campagnes marketing…

Pour vous aider à auditer vos cibles, les analyser, comprendre leurs intentions de recherche sur le web et leurs attentes, Audavia vous accompagne avec des formations certifiées dédiées en conseil de vente, SEO et réseaux sociaux.

Accroître la valeur de transaction

Chercher à augmenter la valeur des transactions va automatiquement générer un meilleur retour sur investissement. Au sein du trio « force de vente commerciale, SEO et réseaux sociaux », voici comment cette augmentation de valeur se manifeste :

  • Force de vente commerciale : en proposant des solutions plus pertinentes aux clients grâce à une meilleure maîtrise de leurs besoins spécifiques, les vendeurs peuvent élaborer des offres plus complètes et de meilleure qualité.
  • Référencement naturel SEO : il s’agit d’un levier de trafic organique par opposition au levier de publicité payante digitale (SEA). Les coûts d’acquisition clients sont donc réduits ce qui améliore la valeur des transactions. En effet, l’investissement initial (expert SEO, rédacteur web…) est bien inférieur au frais SEA et plus rentable sur le long terme.
  • Réseaux sociaux : la présence sur ce canal permet de rentrer en contact direct et personnalisé avec votre communauté et les futurs prospects.

Améliorer la satisfaction client

Un client satisfait est un client fidèle. Comment satisfaire vos clients ? Les points d’entrée sont spécifiques à chaque canal :

  • Vente commerciale : la dimension de conseil dans un processus de vente permet à vos clients de se sentir écoutés et compris. Elle contribue à les fidéliser et à mettre en route le fameux bouche-à-oreille.
  • Le SEO : garant d’une meilleure visibilité sur internet, le SEO permet d’améliorer la crédibilité et la notoriété de l’entreprise, de ses produits et services. L’amélioration de votre image et de votre expertise aux yeux des internautes contribue à leur satisfaction et leur passage à l’acte d’achat.
  • Les réseaux sociaux : véritable canal interactif, les réseaux sociaux fidélisent et engagent. Animer sa communauté, répondre aux questions, lever les doutes ou simplement faciliter les démarches commerciales sont des leviers forts de satisfaction.

Créer un cycle de vente plus performant

Les pôles de force de vente commerciale et force de vente digitale sont, vous l’aurez compris, étroitement liés. Quand ils sont développés et gérés de manière efficace, ils interagissent pour optimiser le cycle de vente global.

Les équipes commerciales accélèrent le processus de vente grâce à une démarche conseil et à la compréhension des besoins des clients. Parallèlement, un site internet bien référencé naturellement sur le web offre une bonne visibilité avec un accès plus facile aux informations sur vos produits et services, ce qui facilite le travail des équipes commerciales. Il en va de même pour les réseaux sociaux où les contenus vont informer de manière interactive les prospects et les rediriger vers le site internet ou les équipes commerciales.

Se former pour créer un cercle vertueux commercial et un meilleur ROI

Engendrer un cycle de vente vertueux et maximiser son retour sur investissement relèvent d’une stratégie globale de développement commercial autour des ventes sur terrain, via le site internet et les réseaux sociaux. Pour acquérir une vision globale des enjeux et des pratiques, Audavia propose trois formations certifiées, éligible au CPF.

Adopter la démarche conseil dans le processus de vente

Cette formation permet d’acquérir les outils et techniques tout au long du processus de vente pour co-construire avec le client des solutions répondant à ses besoins. Elle hisse les équipes commerciales au rang d’experts de confiance au plus près des préoccupations des clients.

Adopter la démarche conseil a pour objectif d’améliorer la performance des fonctions commerciales dans le processus de négociation et de compréhension client à travers l’acquisition de nouvelles compétences :

  • Elaborer un questionnement personnalisé
  • Répondre aux enjeux du client
  • Faire évoluer la solution
  • Traduire les avantages de la solution en bénéfices client
  • Introduire le suivi après-vente dans sa conclusion de l’entretien
  • Valoriser votre qualité de conseil et de relation client

Développer son activité avec le référencement naturel

Cette formation certifiante s’adresse aux dirigeants de petites entreprises ou collaborateurs responsables marketing qui souhaitent mettre en place une stratégie de référencement naturel dans les moteurs de recherche en vue de développer l’activité de leur entreprise.

Elle permet d’acquérir les compétences nécessaires au développement d’un projet dans toutes les dimensions du référencement :

  • Élaborer une stratégie de référencement naturel
  • Organiser l’application opérationnelle d’un projet SEO
  • Réaliser un audit sémantique des expressions les plus recherchées par sa cible
  • Identifier les optimisations techniques du site internet
  • Élaborer une stratégie éditoriale optimisée pour le web
  • Développer la popularité de son site
  • Analyser les résultats du référencement naturel
  • Suivre et évaluer l’impact de ses actions

Concevoir et déployer une stratégie social media performante en lien avec ses objectifs commerciaux

Cette formation éligible au CPF permet d’acquérir un rôle d’expert digital grâce à la maîtrise des compétences et connaissances des différentes plateformes sociales dans le cadre du développement de son activité professionnelle et commerciale.

Une pédagogie immersive et des mises en situation sur les outils et méthodes indispensables permettent de mener à bien des stratégies digitales sur les réseaux sociaux.

Les compétences visées sont :

  • Savoir définir les objectifs commerciaux de l’entreprise
  • Savoir définir sa stratégie digitale
  • Gérer les différents réseaux sociaux en lien avec la stratégie
  • Savoir rédiger des contenus pertinents et créer des visuels impactants
  • Créer des vidéos promotionnelles à l’aide d’un smartphone
  • Suivre les retombées et analyser les performances

En résumé

La synergie et la complémentarité des forces de vente commerciale et digitale sont des axes de développement puissants pour générer un retour sur investissement performant. Ce sont des leviers de croissance connectés pour un ROI global important et durable.

Audavia propose aux entreprises et salariés trois nouvelles certifications pour les accompagner efficacement dans cette démarche vertueuse de croissance commerciale.

Découvrez nos formations sur mesure. Pour tous renseignements complémentaires, contactez-nous au 0805 690 063 (appel gratuit) ou par e-mail (info@audavia.fr). Audavia est certifié QUALIOPI.

Deux personnes avec mobile pour du recrutement en ligne

Communication digitale : optimiser son recrutement en ligne des meilleurs talents

Développer une marque employeur forte est un atout majeur pour attirer, recruter et fidéliser les talents. Pour pallier les difficultés de recrutement actuelles et prendre un avantage concurrentiel durable sur le marché du travail, toute entreprise doit aujourd’hui développer une stratégie digitale de recrutement avec une proposition de valeur employeur attrayante.

Audavia examine pour vous, pourquoi et comment optimiser votre recrutement digital afin de renforcer l’attractivité de votre entreprise et l’efficacité de votre recrutement.

Soigner son image de marque avec une stratégie digitale performante

Le recrutement obéit de nos jours aux lois de « l’inbound marketing » : créer du contenu à valeur ajoutée afin d’attirer les candidats et de les convertir en collaborateurs.

Pourquoi ? Parce que la recherche d’emploi se fait sur le web ou les réseaux sociaux selon un processus identifié auquel vos contenus doivent répondre favorablement :

  • recherche d’informations en ligne par les candidats : votre présence digitale et votre message doivent être clairs et attractifs.
  • exploration des avis : l’expérience candidats et collaborateurs doit être réussie, authentique, transparente et valorisée.

Pour parvenir à construire une image de marque employeur engageante, la mise en place d’une stratégie digitale de communication est un prérequis indispensable.

Nous accompagnons les entreprises avec une formation sur mesure qui permettra de :

  • Définir vos cibles digitales, créer des personae selon les types de profils que vous recherchez.
  • Identifier pour chaque cible sur quel canal numérique elle est la plus présente.
  • Définir les messages à véhiculer en accord avec votre proposition de valeur employeur (PVE).
  • Construire une stratégie de communication digitale.
  • Optimiser la gestion de vos canaux de communication comme le site carrière ou les réseaux sociaux.

Se former, en amont, aux principes de base du marketing et de la communication permet d’acquérir les leviers nécessaires pour maîtriser l’ensemble des notions de segmentation et de ciblage, de positionnement et de mix-marketing appliquées au recrutement.

Site carrière, la vitrine virtuelle de votre culture d’entreprise

Votre site carrière doit être attractif, informatif et ergonomique. Il doit véhiculer votre image de marque employeur, vos valeurs, votre culture d’entreprise et valoriser votre PVE tout en offrant une expérience utilisateur efficace.

Imaginez un candidat qualifié en webmarketing en recherche de poste : que pourrait-il demander aux moteurs de recherche ? « emploi webmarketing full remote »,  » offre d’emploi content marketing et qualité de vie » ou encore « offre emploi équilibre vie perso et pro » Essayez ce dernier ! Vous verrez ce qui ressort en 1ère position sur Google !

Positionner son site carrière en première page des moteurs de recherche

Être vu sur le web suppose d’être sur la première page de Google (et autres moteurs) qui représente plus de 91% des clics.

Que vous soyez en phase de création de votre site ou que vous souhaitiez l’optimiser, il faudra respecter les bonnes pratiques suivantes :

Audavia peut vous accompagner avec de nombreuses formations digitales sur mesure généralistes, telles que l’acquisition des clés de l’architecture de l’information ou plus spécifiques comme Google Analytics 4.

Etre actif sur les réseaux sociaux

Les réseaux sociaux sont des canaux de communication privilégiés pour votre marque employeur. Il faudra évidemment choisir les plus pertinents pour votre cible de candidats (LinkedIn, Instagram, Twitter, Facebook, TikTok, etc.), y déployer votre stratégie social média et animer votre réseau.

Cette stratégie tiendra compte des contenus à partager dont voici quelques exemples :

  • Actualités de l’entreprise : nouveaux projets, succès et événements importants.
  • Coulisses de la vie au bureau : photos et vidéos in situ, événements internes, team-building.
  • Mises en avant des employés : portraits d’employés, interviews, success stories.
  • Offres d’emploi : à partager de manière attractive !

Enfin, être actif sur les réseaux sociaux, exige de répondre aux commentaires et aux questions. Engagez la conversation et montrez que vous êtes à l’écoute tout en étant invariablement authentique et transparent.

Gérer sa e-réputation de marque employeur

Pour attirer les talents, votre notoriété et votre image doivent faire envie ! Pas question de laisser de mauvais commentaires sans réponses qui peuvent nuire à votre réputation.

Pour gérer votre e-réputation, la mise en place d’éléments positifs et la surveillance des éléments négatifs sont indispensables. Notre formation dédiée et personnalisée permet d’acquérir les compétences nécessaires pour maîtriser son identité numérique et sa visibilité.

Le content marketing pour valoriser l’expertise et la culture de l’entreprise

Le contenu est l’élément vital d’une présence digitale. Il est à la source de votre image, de votre notoriété et de votre visibilité digitale.
Le content marketing, ou marketing de contenu, consiste donc à créer et à diffuser du contenu de qualité pour attirer et engager votre audience cible : ce peut être du contenu écrit pour le web, de la vidéo, des photos etc.

Quels contenus peuvent être déployés ?

  • Articles de blog : sur la vie d’entreprise, les métiers, les conseils de carrière, les actualités du secteur, etc. Se former à la rédaction web sera un atout majeur pour des articles bien référencés sur le web.
  • Vidéos témoignages d’employés : vidéos courtes et authentiques pour partager l’expérience, le quotidien ou la passion des employés pour leur métier.
  • Podcasts : interviews d’employés, discussions sur des thématiques liées à votre secteur d’activité, à la culture d’entreprise, etc.
  • Infographies, ebooks, guides : contenus téléchargeables et informatifs sur des sujets liés à votre marque employeur et à vos métiers.

En résumé

Le digital est un levier puissant pour un recrutement moderne et efficace.
Développer une marque employeur digitale est alors un atout indispensable pour attirer les talents dans un environnement numérique omniprésent. Se doter des bonnes stratégies et des bons outils est nécessaire pour réussir son recrutement des meilleurs talents.

Selon les lois de l’inbound marketing, les futurs candidats questionnent le web avant de postuler. Soyez présents, avec transparence et authenticité, sur les grands sujets qui les attirent dont « la culture de l’équilibre vie pro et vie perso » et la santé au travail.

Découvrez nos formations sur mesure. Pour tous renseignements complémentaires, contactez-nous au 0805 690 063 (appel gratuit) ou par e-mail (info@audavia.fr). Audavia est certifié QUALIOPI.

visage homme et digital transition numérique IA entreprise

Transition digitale et IA en entreprise : rester compétitif en 2025 !


Les 10 et 11 févier 2025, le sommet pour l’action sur l’IA se tiendra à Paris et réunira une centaine de leaders mondiaux et entreprises de la Tech. L’évènement souligne l’importance de l’intelligence artificielle dans le paysage socio-économique : au programme des thématiques telles que le risque de la fracture numérique, la gestion des données et l’avenir du travail dont l’accompagnement des salariés et entrepreneurs dans la formation sur l’IA pour le développement de ces compétences.

Audavia participe à cette transition digitale avec des formations IA et informatique sur mesure. Notre mission : accompagner les entreprises et leurs salariés pour renforcer leur position sur la scène économique augmentée.

Nous vous proposons ici de faire le point sur la place de l’IA en entreprise aujourd’hui, les tendances à venir et comment s’y préparer pour actionner un levier de croissance incontournable.

L’intelligence artificielle en entreprise et les perspectives futures

L’intelligence artificielle est aujourd’hui un pilier dans le monde des entreprises. A l’heure actuelle, plus de la moitié des entreprises françaises ont adopté l’IA dans leurs processus quotidiens afin d’automatiser les tâches opérationnelles, diminuer les coûts et booster l’efficacité.
De surcroît, l’IA est un moteur d’innovation, stimulant la création de nouveaux produits et services mieux adaptés aux attentes des consommateurs.

Transition digitale et personnalisation à grande échelle de l’IA

2025 signe une autre caractéristique importante de l’IA. Grâce aux progrès technologiques, chaque utilisateur aura accès à des services personnalisés selon ses goûts, ses habitudes, voire son état émotionnel. Dans le secteur du e-commerce, les plateformes emploieront des algorithmes IA pour prédire les besoins des utilisateurs avant même qu’ils ne soient exprimés, fournissant des recommandations produits et des services d’assistance personnalisés.

La formation IA : un pilier pour l’avenir

Dans un monde résolument tourné vers l’avancée technologique, l’intégration de l’intelligence artificielle dans la transition digitale des entreprises n’est plus un luxe mais une nécessité. S’armer de compétences en IA est impératif pour tout professionnel ou entreprise désirant rester compétitif et innover dans un univers professionnel en perpétuelle mutation. Ainsi, l’intégration homogène de l’IA dans les procédures des entreprises marquera une tendance fondamentale. La démocratisation de l’IA générative va concerner l’ensemble des processus opérationnels et décisionnels des sociétés, renforçant l’efficacité et la productivité à grande échelle.

Se former pour assurer une stratégie digitale IA efficace

Pour accompagner la compétitivité des entreprises, la formation en IA et transformation digitale est essentielle pour mettre en œuvre une stratégie digitale globale efficace. Les entreprises vont donc devoir attirer les talents mais aussi sensibiliser les équipes en place aux bénéfices de l’IA dans une approche transversale et favoriser la montée en compétence de ses collaborateurs.

Une approche sur mesure alignée sur la réalité et les objectifs des entreprises est indispensable pour mettre en œuvre une stratégie efficace en matière d’intelligence artificielle et de transition digitale.
Tout au long de nos formations, nos spécialistes vous guident afin d’identifier les opportunités d’optimisation IA, de mettre en place une stratégie d’adoption réussie et de mesurer son impact sur l’activité et les process.

Former ses équipes à l’IA générative et prompt engineering

Cette marche mondiale vers l’IA doit prendre en compte également la capacité des équipes métiers à travailler avec l’IA. Cette dernière s’apprivoise, s’éduque comme un « stagiaire » aux capacités hors norme. Se former à l’IA générative et aux prompts est nécessaire pour acquérir une compétence de base pour tous dans le cadre de la formation continue- le prompt engineering – dans de nombreux domaines métiers (communication, marketing, graphisme, commerce, crédit management…).
Nos formations, en distanciel ou présentiel, permettent ainsi d’entrer dans le « vif de l’IA », ses domaines et ses champs d’application, d’en comprendre les enjeux, les bénéfices et les risques tout en intégrant une éthique d’utilisation.

Le grand défi IA : la sécurité des données « augmentée »

Pour tirer pleinement parti de l’IA, les entreprises doivent également investir dans leurs infrastructures de données et de cloud. A noter, le rapport IDC FutureScape 2025 qui met en évidence dix principales prédictions sur l’avenir de l’industrie IT, et souligne l’importance de la transition stratégique vers l’IA pour créer des entreprises résilientes. Parmi ces prédictions, le cloud et la data !

Acquérir les compétences pour collecter, nettoyer et structurer les data est déterminante pour les entreprises. En effet, la qualité des données est la clé de la performance de vos modèles d’IA et, en 2025, le concept de « Data-as-a-product » sera plus vrai que jamais. Autre versant incontournable : la protection des données et des systèmes informatiques face aux cyberattaques.

Nos formations Data et sécurité des systèmes d’information vous apportent les outils (Power BI, AWS, Talend Open studio), méthodes et process nécessaires à vos décisions stratégiques pour relever les défis qu’impose rapidement l’IA.

Par ailleurs, il faudra apporter une grande flexibilité et scalabilité pour vos projets IA ! Choisir et déployer les bonnes solutions cloud en sont la clé et le défi majeur. Nos formations intra-entreprise sécurité en environnement Microsoft Azure et Microsoft Azure Administrateur vous permettent d’intégrer un outil puissant et polyvalent de cloud computing et data.

En résumé

En 2025, se former à l’intelligence artificielle et aux technologies data et cloud permettra aux entreprises de faire face à l’impact transformateur que promet l’IA et de rester compétitif dans un nouveau paradigme professionnel.
De la stratégie IA en faveur de la transition digitale, du maniement de l’IA générative et des prompts en passant par l’optimisation dans la gestion et la protection de vos données, Audavia vous accompagne dans votre transformation numérique afin d’optimiser vos prises de décision et vos process pour une intégration réussie de l’IA.
Enfin, n’oublions jamais que l’Homme est au cœur de l’IA. Face à cette technologie qui peut nous dérouter, il est plus que nécessaire dès maintenant d’accompagner et de valoriser les compétences humaines de vos salariés.

Découvrez nos formations sur mesure ! Pour tous renseignements complémentaires, contactez-nous au 0805 690 063 (appel gratuit) ou par e-mail (info@audavia.fr). Audavia est certifié QUALIOPI.

Se former à Python

7 bonnes raisons de se former à Python !

Python s’est imposé comme un acteur incontournable, propulsant des projets dans des domaines aussi variés que le développement web, l’analyse de données, l’intelligence artificielle, et bien plus encore. Pourquoi Python joue-t-il un rôle important en tant que logiciel polyvalent et allié puissant, notamment dans le domaine de la virtualisation ? Pourquoi la formation à Python constitue-t-elle une décision stratégique pour les entreprises, ouvrant la voie à la polyvalence, à la productivité et à l’innovation ? Audavia Formation répond à vos interrogations !

À quoi sert le « langage » Python ?

Python est un langage de programmation polyvalent, interprété et de haut niveau. Il est reconnu pour sa simplicité syntaxique, ce qui en fait un choix populaire tant pour les débutants que pour les développeurs expérimentés. Python est utilisé dans divers domaines, tels que le développement web, l’analyse de données, l’intelligence artificielle, l’automatisation, et bien plus encore.

Python fournit un environnement d’exécution pour les programmes écrits dans ce langage. Les développeurs utilisent Python pour créer des applications, des scripts, des sites web dynamiques, des outils d’automatisation et des projets complexes nécessitant un langage puissant et convivial. Il s’agit d’un outil essentiel pour les programmeurs, offrant une flexibilité qui le rend adapté à de nombreuses tâches.

Python peut-il être utilisé en virtualisation ?

Python s’avère être un allié puissant dans le domaine de la virtualisation, offrant des capacités d’automatisation et de scripting intéressantes pour simplifier la gestion des environnements virtualisés. En tant que langage de programmation polyvalent, Python permet de créer des scripts personnalisés pour déployer, configurer et gérer des machines virtuelles, facilitant ainsi la tâche des administrateurs système et des développeurs web. De nombreux projets de virtualisation, tels que des solutions basées sur VMware utilisent Python pour automatiser des tâches, gérer des machines virtuelles et orchestrer des environnements cloud. Python offre des bibliothèques et des modules puissants qui simplifient le développement de scripts pour la gestion des infrastructures virtualisées. Ces scripts peuvent être utilisés pour déployer et configurer des machines virtuelles, surveiller les performances ou bien gérer les réseaux virtuels.

Python est devenu une passerelle essentielle pour les administrateurs système et les développeurs travaillant dans des environnements virtualisés, offrant des outils flexibles et puissants pour automatiser des processus complexes et optimiser la gestion des ressources virtuelles.

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7 bonnes raisons de s’y former

Se former à Python présente une multitude d’avantages, notamment pour les entreprises :

  1. Polyvalence : Python est un langage polyvalent utilisé, comme nous l’avons vu, dans divers domaines. La polyvalence de Python en fait un outil précieux pour répondre à divers besoins au sein d’une entreprise ;
  2. Productivité : la syntaxe claire et concise de Python, ainsi que ses bibliothèques riches, permettent de développer des applications rapidement. Cela se traduit par une augmentation de la productivité des développeurs ;
  3. Compréhension facile : la syntaxe simple de Python en fait un langage accessible, ce qui facilite l’apprentissage pour les nouveaux développeurs ;
  4. Communauté active : Python bénéficie d’une communauté active et engagée, cela signifie un accès à une vaste base de connaissances, des bibliothèques tierces étendues et un support continu, ce qui est un avantage significatif pour les entreprises ;
  5. Intégration avec d’autres technologies : Python peut être intégré avec d’autres langages et technologies, facilitant l’interopérabilité avec les systèmes existants. Ainsi, les entreprises peuvent ajouter des fonctionnalités sans avoir à refaire entièrement leur infrastructure ;
  6. Solutions d’automatisation : Python excelle dans l’automatisation de tâches répétitives, ce qui peut améliorer l’efficacité opérationnelle. Les entreprises peuvent automatiser des processus, réduisant ainsi les erreurs humaines et économisant du temps ;
  7. Analyse de données et intelligence artificielle : avec des bibliothèques comme Pandas et NumPy, Python est un choix privilégié pour l’analyse de données. De plus, il est largement utilisé dans le domaine de l’intelligence artificielle grâce à des frameworks comme TensorFlow et PyTorch.

De sa polyvalence à son rôle essentiel en virtualisation, Python dispose de nombreux atouts pour les entreprises. La formation à Python se révèle être le levier stratégique pour les entreprises, stimulant la productivité, facilitant l’intégration avec d’autres technologies et ouvrant la porte à l’automatisation intelligente.

Découvrez plus d’informations sur la formation à Python proposée par Audavia Formation !

Pour tous renseignements complémentaires, contactez-nous au 0805 690 063 (appel gratuit) ou par e-mail (info@audavia.fr). Audavia est certifié QUALIOPI.

Outils de virtualisation

Outils de virtualisation : une révolution pour les entreprises !

Les technologies de l’information (IT) ont redéfini la façon dont les entreprises gèrent leurs infrastructures informatiques. Elles permettent d’apporter de la flexibilité, de l’efficacité et de la sécurité au sein des entreprises. Parmi ces technologies, les outils de virtualisation sont de plus en plus utilisés au sein des entreprises. Que permettent-ils de faire ? Pourquoi s’y former ? Audavia Formation vous en dit plus sur le sujet.

Qu’est-ce que la virtualisation ?

La virtualisation est une technologie qui permet de créer des versions virtuelles d’ordinateurs, de systèmes d’exploitation, de serveurs ou de ressources réseaux.  Elle permet d’optimiser l’efficacité des infrastructures informatiques : serveurs, systèmes de stockage, réseaux, logiciels, bases de données et autres éléments informatiques essentiels au sein d’une entreprise. Concrètement, la virtualisation permet de diviser efficacement les ressources d’un ordinateur pour que plusieurs programmes ou systèmes puissent les utiliser comme s’ils étaient les seuls.

Quel est l’intérêt de faire appel aux outils de virtualisation en entreprise ?

La virtualisation offre un certain nombre d’avantages aux entreprises :

  • Gagner en productivité : grâce à la virtualisation, les entreprises peuvent mettre à disposition de leurs collaborateurs un bureau à distance en utilisant seulement une machine physique et ainsi créer des environnements de travail virtuels afin que les collaborateurs puissent travailler efficacement ;
  • Réduire les coûts : les machines virtuelles sont bien moins coûteuses que d’acheter un ordinateur physique (poste fixe ou portable) pour chaque collaborateur. En effet, certains postes ne nécessiteront que ce qu’on appelle, en informatique un « client léger » : un clavier, un écran et une souris, pour se connecter à distance à un serveur physique permettant d’utiliser des logiciels et d’enregistrer des données. En achetant moins de matériel, une entreprise réduit l’espace physique occupé par ses serveurs ;
  • Accroître la sécurité informatique : puisque la virtualisation permet de réduire le nombre d’outils utilisés, cela évite la propagation de virus ou de malwares sur les outils informatiques de l’entreprise ;
  • Récupérer facilement les données : lors d’une perte de données ou d’une cyberattaque, il est possible de récupérer les données grâce à la machine physique permettant la virtualisation ;
  • Faciliter le développement : avec la virtualisation, les entreprises peuvent disposer de plusieurs systèmes d’exploitation sur plusieurs machines virtuelles (Microsoft, Linux ou encore Mac OS X). Ainsi, les développeurs web peuvent développer différents environnements de travail sans avoir à utiliser plusieurs machines physiques.

Quels sont les outils de virtualisation qui existent à ce jour ?

Aujourd’hui, plusieurs logiciels de virtualisation sont disponibles sur le marché :

  • Microsoft Azure : il s’agit d’une plateforme de cloud offrant une gamme de services pour répondre aux besoins des entreprises. Elle permet le déploiement et la gestion d’applications sur un réseau mondial de centres de données géré par Microsoft. Les services proposés par Azure sont le stockage des données sur cloud, la gestion de bases de données, l’intelligence artificielle, l’analyse de données, la création de machines virtuelles etc. ;
  • Citrix : cet outil offre des solutions de virtualisation et met à disposition des entreprises des postes de travail permettant aux utilisateurs d’accéder à leurs applications et données depuis divers appareils et emplacements. Les principales utilisations de Citrix sont la virtualisation d’applications et de postes de travail, la collaboration sécurisée, l’accès et la gestion à distance des ressources informatiques ;
  • Linux : Linux est un système d’exploitation offrant une alternative aux ordinateurs et serveurs. Il joue un rôle clé dans les entreprises grâce à sa fiabilité, ses performances et son coût nul ou faible. ;
  • VmWare Vsphere : il s’agit d’une plateforme de virtualisation offrant de multiples fonctionnalités pour la gestion des environnements virtualisés et permet la création de machines virtuelles à partir d’un seul serveur physique. Grâce à cette plateforme, il est possible de surveiller, configurer et gérer les performances des machines virtuelles depuis un emplacement centralisé.

L’importance de la formation à ces outils en entreprise

La formation aux logiciels de virtualisation comme celle que nous proposons chez Audavia Formation est aujourd’hui indispensable pour les entreprises puisqu’en investissant dans la formation de leurs équipes, elles peuvent exploiter pleinement les avantages de la virtualisation, réduisant les coûts liés à l’infrastructure et augmentant ainsi la flexibilité opérationnelle. La capacité à déployer rapidement de nouvelles machines virtuelles, à gérer efficacement les ressources et à adapter l’infrastructure aux besoins changeants du marché est donc un atout stratégique. De plus, la formation permet de maîtriser les aspects sécuritaires de la virtualisation, assurant une gestion rigoureuse des politiques de sécurité et la protection des données sensibles. Les équipes formées seront capables de mieux anticiper les défis potentiels et de mettre en œuvre des mesures adaptées. La formation aux logiciels de virtualisation est un investissement essentiel pour les entreprises cherchant à rester compétitives et à optimiser leur infrastructure informatique, en garantissant une utilisation efficace des technologies de virtualisation pour répondre aux exigences complexes de l’environnement numérique actuel.

La virtualisation en entreprise ne peut être sous-estimée, car elle permet l’efficacité opérationnelle, la flexibilité et la sécurité informatique. Il ne s’agit pas simplement d’une technologie, c’est une compétence stratégique qui aide les entreprises à se développer.

Pour tous renseignements complémentaires, contactez-nous au 0805 690 063 (appel gratuit) ou par e-mail (info@audavia.fr). Audavia est certifié QUALIOPI.

Technologies de l'information

Technologies de l’information : qu’est-ce que l’IT ? Pourquoi s’y former ?

Dans un monde en constante évolution, les entreprises sont confrontées à de nouveaux défis. Les nouvelles technologies ont considérablement transformé la manière dont les entreprises travaillent et communiquent. La capacité de ces dernières à s’adapter rapidement aux évolutions technologiques est un atout indéniable sur des marchés de plus en plus concurrentiels. Audavia Formation vous explique dans cet article pourquoi il est essentiel de s’y former.

Qu’est-ce que l’IT (technologies de l’information) ?

Les technologies de l’information ou IT (pour Information Technology, en anglais) désignent l’usage de l’ordinateur, du stockage, des réseaux, des processus pour créer, traiter, stocker, sécuriser ou échanger des données électroniques. Ces technologies de l’information sont de plus en plus utilisées en entreprise. Cette définition englobe tous les appareils informatiques ainsi que toutes les technologies et métiers qui leur sont liés.

En IT, nous pouvons retrouver plusieurs types d’appareils, d’outils de virtualisation , de gestion ou bien d’automatisation et d’applications permettant d’exécuter un certain nombre d’actions :

  • Les appareils et périphériques : ordinateurs, téléphones, tablettes, dispositifs d’enregistrement ;
  • Les applications métier : bases de données, systèmes transactionnels, serveurs de messagerie, serveurs web, systèmes de gestion de la relation client (CRM), systèmes de planification des ressources d’entreprise (ou ERP pour Enterprise Resource Planning) ;
  • Le stockage des informations (fichiers, données téléphoniques, données web ou multimédia etc.) : mémoire vive (RAM), volatile, mémoire non volatile (bandes, disque dur classique ou SSD) ;
  • La virtualisation ou le cloud computing : il s’agit de stocker les ressources de façon dématérialisée grâce à des clouds.

Les nouvelles technologies étant aujourd’hui plus présentes qu’avant dans les entreprises, plusieurs métiers ont vu leurs recrutements s’accentuer au cours des dernières années afin de répondre à ces évolutions :

  • Les techniciens de support informatique ou de networking ;
  • Les experts en cybersécurité ;
  • Les analystes de systèmes informatiques ;
  • Les programmeurs web ;
  • Les développeurs web.

Pour pouvoir accéder à ces métiers, un certain nombre de formations en informatique sont accessibles.

Pourquoi se former à l’IT ?

Les technologies de l’information étant au cœur des entreprises, il est important de s’y former car elles :

  1. Sont indispensables en entreprise : l’informatique permet d’avoir une gestion optimale des informations et des relations en entreprise. Les technologies de l’information facilitent la prise de décision, l’optimisation des opérations et la gestion des ressources ;
  2. Facilitent la communication interne et externe en entreprise : grâce aux outils informatiques et aux plateformes en ligne, la communication interne et externe est plus fluide. Le travail à distance est d’ailleurs tout à fait possible grâce à cela ;
  3. Permettent d’avoir une ouverture complète sur le monde entier : les outils informatiques et internet permettent aux entreprises de s’informer sur tout, depuis n’importe où et à tout moment, il s’agit d’une véritable arme concurrentielle qu’il ne faut pas négliger, bien au contraire, et dont les entreprises doivent impérativement se servir ;
  4. Aident à gagner en productivité : que ce soit pour la communication, la gestion de la relation client ou des stocks, l’automatisation de tâches chronophages, les technologies de l’information permettent aux entreprises et aux salariés de gagner du temps et d’être plus productifs sur des tâches plus porteuses de valeur pour l’entreprise.

Si les chefs d’entreprises doivent être informés des dernières évolutions technologiques, les collaborateurs eux aussi doivent l’être pour diverses raisons :

  1. Meilleures opportunités professionnelles : les compétences informatiques sont de plus en plus recherchées par les entreprises, ce qui peut leur ouvrir de nouvelles opportunités de carrière ;
  1. Adaptabilité : les formations en informatique aident les collaborateurs à rester à jour avec les dernières technologies et actualités, ce qui les rend plus adaptables aux changements au sein de l’entreprise ;
  2. Résolution de problèmes : la formation en informatique permet aux collaborateurs de développer des compétences pour résoudre des problèmes complexes, ce qui peut être précieux dans de nombreux domaines professionnels ;
  3.  Sécurité des données : en se formant, les collaborateurs peuvent contribuer à renforcer la sécurité des données de l’entreprise en comprenant comment les menaces informatiques fonctionnent.

En résumé, les technologies de l’information constituent un réel atout tant pour les entreprises que pour les collaborateurs en individuel, il est donc pertinent de s’y former. Pour tous renseignements complémentaires, contactez-nous au 0805 690 063 (appel gratuit) ou par e-mail (info@audavia.fr). Audavia est certifié QUALIOPI.

Métiers du digital

Métiers du digital : le top 10 des métiers qui recrutent

La transformation digitale s’opère depuis plusieurs années au sein des entreprises, et le monde du travail adopte de nouvelles habitudes en intégrant les nouvelles technologies. Les besoins liés au digital étant de plus en plus importants dans les entreprises, de nombreux métiers ont vu le jour, pour lesquels les entreprises ne cessent de recruter. Si vous souhaitez suivre une formation liée au digital et que vous ne savez pas encore laquelle choisir, Audavia Formation vous livre le top 10 des métiers du digital qui recrutent !

1. Webdesigner

Le webdesigner conçoit le design graphique des sites web et des applications mobiles. Ses missions comprennent :

  • la conception de maquettes pour définir la structure du site ;
  • la sélection des couleurs, polices et images permettant de créer une identité visuelle attractive ;
  • la création d’éléments graphiques (logos, icônes et illustrations).

Le webdesigner doit également s’assurer que le design d’un site internet est responsive, c’est-à-dire qu’il s’adapte aux différents supports numériques (ordinateurs, tablettes, smartphones) afin d’offrir une expérience utilisateur plus agréable. Le webdesigner travaille régulièrement avec des développeurs web afin d’intégrer le design sur le site final, dans ses différentes versions.

2. Développeur web

Le développeur web est responsable de la programmation et du développement de sites web interactifs et fonctionnels. Il traduit des maquettes et des conceptions graphiques en code HTML, CSS, JavaScript, PHP ou d’autres langages de programmation. Le développeur web vérifie que le site internet est compatible avec différents navigateurs. Il est également responsable de la gestion des bases de données et de l’intégration de fonctionnalités avancées, telles que les formulaires, les systèmes de paiement en ligne, etc.

3. Chargé de SEO

Le chargé de SEO (Search Engine Optimization) veille à l’optimisation des sites web pour les moteurs de recherche tels que Google. Diverses missions lui sont attribuées :

  • l’analyse des mots clés pertinents en lien avec le secteur d’activité de l’entreprise ;
  • l’optimisation du contenu du site en utilisant les mots-clés sélectionnés ;
  • la création de liens internes et externes pour améliorer la visibilité du site et faciliter la navigation entre les pages ;
  • la mise en œuvre de bonnes pratiques techniques pour améliorer le classement du site dans les résultats des moteurs de recherche ;
  • la surveillance des performances du site à l’aide d’outils d’analyse, et l’ajustement régulier des stratégies pour attirer davantage de trafic organique sur le site.

4. Consultant SEA

Le consultant SEA (Search Engine Advertising) est spécialisé dans la gestion des campagnes de publicité en ligne (Google Ads, ou liens sponsorisés), sur les moteurs de recherche. Il définit des objectifs de campagnes, identifie des mots-clés et des audiences cibles, créé de campagnes publicitaires, gère des budgets et des enchères et analyse les performances des campagnes à l’aide d’outils d’analyse adaptés. Le consultant SEA cherche à obtenir un retour sur investissement positif en attirant un trafic ciblé et qualifié vers le site internet de l’entreprise. Le métier de Consultant SEA est complémentaire à celui de Chargé de SEO.

5. Data Scientist

Le Data Scientist collecte, traite et analyse de grandes quantités de données pour en tirer des informations exploitables. Pour cela, il utilise des algorithmes d’apprentissage automatique et des techniques statistiques pour identifier des tendances ainsi que des modèles et des relations cachées dans les données. Le Data Scientist travaille souvent sur des projets complexes : prédiction de tendances du marché, recommandation de produits et analyse du comportement des utilisateurs afin d’aider les entreprises à prendre des décisions stratégiques éclairées.

6. Community manager

Le community manager s’occupe de la gestion et de l’animation des communautés de l’entreprise sur les réseaux sociaux. Ses missions sont :

  • la création et la publication de contenus engageants pour susciter l’intérêt et l’interaction des abonnés ;
  • la gestion des commentaires et des messages ;
  • la réponse aux questions des membres de la communauté.

De plus, le community manager a pour objectif de renforcer la présence en ligne de l’entreprise, augmenter l’engagement des utilisateurs et améliorer l’e-réputation de la marque. Il peut également mettre en place des campagnes de publicité sur les réseaux sociaux, ou sponsoriser certains posts de manière plus ponctuelle.

7. Expert en cybersécurité

L’expert en cybersécurité est responsable de la protection des systèmes informatiques, des réseaux et des données contre les cyberattaques et les menaces en ligne. Il met en place des mesures de sécurité telles que :

  • des pares-feux ;
  • des antivirus ;
  • des systèmes d’authentification ;
  • des programmes de détection d’intrusion, etc.

L’expert en cybersécurité surveille également les activités suspectes, enquête sur les incidents de sécurité et tente de résoudre les problèmes de sécurité. Il travaille en partenariat avec les équipes informatiques afin de renforcer la sécurité de l’entreprise sur internet.

8. Responsable e-commerce

Le responsable e-commerce s’occupe du développement, de la gestion et de l’optimisation de la boutique en ligne de l’entreprise. La gestion des produits et des catalogues en ligne, la mise en œuvre de stratégies marketing pour augmenter les ventes en ligne, la gestion des commandes et des expéditions, ainsi que l’analyse des performances de la boutique en ligne font partie des missions du Responsable e-commerce. Par ailleurs, le Responsable e-commerce met en place des actions pour améliorer l’expérience d’achat des clients, augmenter les conversions et maximiser les revenus générés par le site e-commerce.

9. Rédacteur web

Le rédacteur web est en charge de la création de contenus écrits pour les sites web, blogs et médias sociaux. Les missions du rédacteur web sont la rédaction d’articles, de descriptions de produits, de contenus promotionnels et de newsletters. Le rédacteur web doit s’assurer que le contenu qu’il produit est qualitatif et pertinent pour son public cible mais aussi optimisé pour les moteurs de recherche. Le contenu rédigé par le rédacteur web cherche à attirer et retenir l’attention des utilisateurs, accroître le trafic du site web et améliorer le positionnement du site web parmi les résultats de recherche.

10. CRM Manager

Le CRM manager gère la relation client au sein de l’entreprise. Il collecte et analyse des données clients, effectue une segmentation des clients en fonction de leurs comportements et de leurs préférences, crée des campagnes de marketing personnalisées, met en place des programmes de fidélisation des clients et cherche à améliorer l’expérience client globale. Pour l’aider dans ses missions, le CRM manager utilise des outils de gestion de la relation client (ou CRM pour Customer Relationship Management) afin de suivre et gérer les interactions entre l’entreprise et les clients tout au long du cycle de vie du client et ainsi optimiser les efforts marketing sur l’amélioration de la satisfaction client.

Les métiers liés au digital sont nombreux, il ne vous reste plus qu’à trouver celui qui correspondra à votre personnalité ainsi qu’à vos objectifs professionnels ! Vous aimeriez vous former au digital ? Découvrez notre dernier article à ce sujet ! Pour tous renseignements complémentaires, contactez-nous au 0805 690 063 (appel gratuit) ou par e-mail (info@audavia.fr). Audavia est certifié QUALIOPI.